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Ecole Flamande du XVIIe siècle, huile sur cuivre, suiveur de Rubens
3800,00 €Ce tableau, réalisé par un suiveur de Rubens, est une huile sur cuivre datant du XVIIe siècle.
Il représente la scène biblique du martyre de sainte Catherine, une figure emblématique de la chrétienté.
Le cadre, d’époque Louis XIV, ajoute une touche de grandeur et de raffinement à cette œuvre d’art.
Description de la Scène
La composition est dynamique et dramatique, caractéristique du style baroque que Rubens a si bien maîtrisé.
Au centre de la scène, sainte Catherine est représentée dans un moment de grande souffrance, entourée de ses bourreaux.
Son visage, bien que marqué par la douleur, reflète une sérénité et une résignation qui témoignent de sa foi inébranlable.
Les personnages autour d’elle sont animés par des mouvements expressifs, accentuant la tension et l’émotion de la scène.
Technique et Style
L’utilisation de l’huile sur cuivre permet une grande précision dans les détails et une luminosité particulière, typique des œuvres de cette époque.
Les couleurs sont riches et vibrantes, avec des contrastes marqués entre les teintes sombres et les éclats de lumière qui mettent en valeur les figures centrales.
Le style de Rubens, avec ses formes voluptueuses et ses jeux de lumière, est ici fidèlement reproduit par son suiveur.
Symbolisme et Iconographie
Le martyre de sainte Catherine est un thème récurrent dans l’art chrétien, symbolisant la victoire de la foi sur la persécution.
Sainte Catherine, souvent représentée avec une roue brisée (symbole de son martyre), est ici montrée dans un moment de grande vulnérabilité, mais aussi de grande force spirituelle.
Les anges et les chérubins qui l’entourent ajoutent une dimension céleste à la scène, suggérant que sa souffrance terrestre sera récompensée par une gloire éternelle.
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Chambre photo-Hall à Paris avec objectif Dérogy N°1 Paris Londre
550,00 €La photographie est un art qui a évolué au fil des siècles, et les appareils photo anciens sont des témoins précieux de cette évolution.
La chambre photographique que nous avons ici est un exemple remarquable de cette histoire.
Il s’agit d’une chambre photo-Hall fabriquée à Paris, équipée d’un objectif Dérogy N°1, un modèle qui a marqué son époque par sa qualité et sa précision.
Cette chambre photographique porte la référence N°14841, un détail qui ajoute à son authenticité et à son charme.
L’objectif Dérogy, reconnu pour sa qualité optique, était utilisé par de nombreux photographes professionnels de l’époque.
La mention « Paris Londres » sur l’objectif indique que ce modèle était probablement distribué dans ces deux grandes villes, centres culturels et artistiques majeurs de l’époque.
Le soufflet de cette chambre photographique est en bon état, ce qui est remarquable pour un appareil de cette ancienneté.
Le soufflet est une partie cruciale de la chambre photographique, permettant de régler la distance entre l’objectif et le plan focal, et donc de contrôler la mise au point et la profondeur de champ.
Un soufflet en bon état est essentiel pour obtenir des images nettes et de haute qualité.
Cependant, il est à noter que cette chambre photographique manque la plaque arrière.
La plaque arrière est une composante importante de l’appareil, car c’est là que le photographe place la plaque photographique ou le film.
L’absence de cette pièce peut limiter l’utilisation de l’appareil, mais elle n’enlève rien à la valeur historique et esthétique de cette chambre photographique.
La construction de cette chambre photo-Hall est un témoignage de l’artisanat de l’époque.
Le bois utilisé pour le corps de l’appareil est en bois noble, choisi pour sa solidité et sa résistance.
Les finitions en laiton ajoutent une touche d’élégance et de durabilité.
Les mécanismes de réglage, bien que simples, sont précis et fonctionnels, permettant au photographe de contrôler avec précision les paramètres de la prise de vue.
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Vase Majolica Palissy, datant de l’époque victorienne vers 1890
580,00 €Ce superbe vase Majolica Palissy, datant de l’époque victorienne vers 1890, est une véritable œuvre d’art qui témoigne du savoir-faire et de la créativité de son époque.
La majolique, une technique de céramique italienne, a été popularisée en Angleterre au XIXe siècle, et ce vase en est un exemple remarquable.
Le décor en relief de ce vase est particulièrement impressionnant.
Il représente une scène de nature luxuriante, où grenouilles, salamandres, papillons et autres insectes cohabitent harmonieusement sur une végétation de lierre.
Chaque détail est minutieusement sculpté, donnant vie à ces créatures et à leur environnement.
Les grenouilles semblent prêtes à bondir, les salamandres à se faufiler entre les feuilles, et les papillons à prendre leur envol.
Cette représentation réaliste et dynamique de la faune et de la flore est caractéristique du style Palissy, inspiré par les observations naturalistes de Bernard Palissy, un céramiste et naturaliste français du XVIe siècle.
Le vase présente une belle harmonie de couleurs, avec des tons verts et bruns qui évoquent la nature.
Les nuances de vert, allant du vert clair au vert foncé, rappellent les différentes teintes des feuilles de lierre, tandis que les touches de brun ajoutent de la profondeur et du contraste.
Les couleurs sont appliquées avec une grande finesse, soulignant les reliefs et les détails du décor.
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VENDU
Pendulette type officier Hour Lavigne / L’Epée , mouvement mécanique
La pendulette de voyage HOUR LAVIGNE, successeurs de l’Epée, est un véritable chef-d’œuvre d’horlogerie qui allie élégance, fonctionnalité et précision.
Cette pendulette, souvent appelée « pendulette d’officier », est un témoignage de l’artisanat horloger du début du 20ème siècle, une époque où la précision mécanique et l’esthétique raffinée étaient des valeurs fondamentales.
Description Générale :
La pendulette se distingue par son boîtier en bronze, un matériau noble et résistant qui confère à l’objet une allure à la fois classique et robuste.
Le verre biseauté qui protège le cadran ajoute une touche de sophistication et permet une lecture claire et précise de l’heure.
La pendulette est accompagnée de sa clef, un élément essentiel pour remonter le mécanisme et régler l’heure.
Caractéristiques Techniques :
Le mouvement mécanique de cette pendulette est un exemple de l’ingéniosité horlogère de l’époque.
Il est équipé d’une fonction réveil, ce qui en fait un compagnon idéal pour les voyages.
La clef amovible permet de remonter le mécanisme avec précision, tandis que l’arrêt de sonnerie situé au sommet de la pendulette permet de désactiver le réveil si nécessaire.
Les aiguilles Breguet noires, finement ouvragées, contrastent élégamment avec le cadran blanc orné de chiffres romains.
Ce design classique et intemporel rend la pendulette non seulement fonctionnelle mais aussi esthétiquement plaisante.
Dimensions et Portabilité :
Avec des dimensions de 13 x 9 cm, cette pendulette est parfaitement adaptée pour les voyages.
Sa taille compacte permet de la transporter facilement, tout en offrant une lisibilité optimale.
Que ce soit sur une table de chevet dans une chambre d’hôtel ou sur un bureau lors d’un déplacement professionnel, cette pendulette trouve sa place partout.
Histoire et Héritage :
HOUR LAVIGNE, successeurs de l’Epée, est une maison horlogère renommée qui a su perpétuer la tradition d’excellence initiée par l’Epée. Fondée en 1755, l’Epée est l’une des plus anciennes manufactures horlogères suisses, connue pour ses créations innovantes et son savoir-faire artisanal.
HOUR LAVIGNE a repris cet héritage avec brio, en continuant à produire des pendulettes de haute qualité qui allient tradition et modernité.
Utilisation et Entretien :
Pour garantir la longévité et la précision de cette pendulette, il est essentiel de la remonter régulièrement à l’aide de la clef fournie.
Le mécanisme mécanique nécessite un entretien périodique pour assurer son bon fonctionnement.
Il est recommandé de faire vérifier la pendulette par un horloger qualifié tous les quelques années pour un nettoyage et une lubrification adéquats.
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Cheval de manège, attribué à Friedrich Heyn et datant d’environ 1910
2800,00 €Ce cheval de manège, attribué à Friedrich Heyn et datant d’environ 1910, est un magnifique exemple d’art forain allemand de la Neustadt du début du XXe siècle.
Il incarne l’élégance et la nostalgie des carrousels d’autrefois, témoins d’un art populaire précieux et d’un savoir-faire artisanal exceptionnel.
Sculpté en bois polychrome d’origine, ce cheval de manège témoigne d’une finition artisanale de haute qualité.
Chaque détail a été soigneusement travaillé pour offrir un rendu réaliste et expressif.
La hauteur de la pièce est de 117 cm, tandis que sa longueur atteint 103 cm, ce qui en fait une œuvre imposante et majestueuse.
La tête du cheval est particulièrement expressive, avec une gueule ouverte révélant des dents sculptées avec minutie.
Les yeux en sulfure ajoutent un réalisme saisissant, donnant l’impression que le cheval est prêt à s’élancer à tout moment.
Les membres sont chevillés, une technique traditionnelle de fabrication qui assure solidité et durabilité à la structure.
La queue, en crin véritable, conserve son authenticité et son charme, ajoutant une touche de réalisme supplémentaire.
Le harnachement est décoré de motifs géométriques en miroirs et d’éléments polychromes, soulignant le caractère festif et joyeux de l’objet. Ces décorations, typiques des manèges de l’époque, évoquent les fêtes foraines et les moments de plaisir partagés par les enfants et les adultes.
Chaque élément du harnachement a été conçu pour capter la lumière et attirer l’œil, créant un spectacle visuel éblouissant.
Malgré quelques usures dues au temps, telles qu’une oreille endommagée et la perte d’un étrier, la pièce reste en bon état général.
Ces signes de vieillissement ne font qu’ajouter à son charme et à son authenticité, racontant l’histoire de nombreuses années de service et de joie apportée aux visiteurs des fêtes foraines.
La patine actuelle de l’objet est un témoignage de son passé riche et en fait un objet de collection unique et précieux.
Quelques restaurations sont à prévoir pour lui rendre son éclat d’origine.
Une restauration minutieuse pourrait inclure la réparation de l’oreille endommagée, le remplacement de l’étrier manquant, et peut-être un léger polissage pour raviver les couleurs et les détails.
Cependant, il est important de préserver autant que possible la patine et les marques du temps, qui font partie intégrante de l’histoire de l’objet.
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VENDU
Une éclatante paire de bougeoirs anciens en bronze doré et argenté
Une Éclatante Paire de Bougeoirs Anciens en Bronze Doré et Argenté – Témoins du Raffinement du XIXe Siècle
Plongez dans l’élégance intemporelle du XIXe siècle avec cette magnifique paire de bougeoirs anciens en bronze doré et argenté.
Ces pièces remarquables illustrent l’excellence artistique et le savoir-faire exceptionnel des artisans de l’époque.
Parfaitement conservées, elles représentent non seulement des objets utilitaires, mais également de véritables œuvres d’art, témoins du style néo-classique en vogue à cette époque.
Une Composition Harmonieuse
Chaque bougeoir est conçu pour accueillir deux bougies, une configuration qui ajoute une dimension symétrique et équilibrée à leur design. Les bras qui soutiennent les porte-bougies sont élégamment sculptés et ornés de chaînes décoratives finement travaillées, témoignant de la minutie des détails propres à l’artisanat du XIXe siècle.
Ces chaînes, d’une délicatesse, relient les différents éléments de manière à la fois fonctionnelle et décorative, accentuant l’harmonie visuelle de l’ensemble.
L’Éclat des Figures Néo-Classiques
Au cœur du design, des personnages féminins sculptés dans un style néo-classique dominent la composition.
Ces figures gracieuses, inspirées de l’Antiquité, incarnent le raffinement et la sophistication de leur époque.
Drapées dans des étoffes délicatement travaillées et rehaussées de dorures, elles se tiennent dans des poses dynamiques, donnant vie et mouvement à l’ensemble.
Les visages finement ciselés, empreints de douceur et d’expression, traduisent une maîtrise exceptionnelle dans la sculpture du bronze.
Ces figures ne sont pas seulement des éléments décoratifs, mais elles apportent une narration subtile, rappelant les mythes et légendes antiques.
Elles tiennent en hauteur les bras soutenant les bougies, leur posture conférant une majesté naturelle à l’ensemble.
Une Base d’une Richesse Exceptionnelle
Les bougeoirs reposent sur des bases solidement travaillées, elles-mêmes décorées avec une grande richesse.
Ces bases sont ornées de motifs floraux et géométriques délicats, caractéristiques des tendances ornementales du XIXe siècle.
Les pieds courbés, à la fois élégants et robustes, offrent une stabilité impeccable tout en apportant une touche supplémentaire de raffinement.
L’Alliance Parfaite entre Esthétique et Fonctionnalité
Au-delà de leur aspect décoratif, ces bougeoirs témoignent d’une fonctionnalité parfaitement pensée.
Le choix des matériaux – bronze doré et argenté – ne reflète pas seulement une recherche esthétique, mais aussi une durabilité exceptionnelle.
Cette combinaison de matériaux crée un contraste visuel saisissant, renforçant leur attrait.
Ces bougeoirs sont idéals pour illuminer une table ou une cheminée, apportant une ambiance chaleureuse et sophistiquée à n’importe quel intérieur.
Leur design intemporel permet une intégration harmonieuse dans des décors classiques comme modernes, tout en racontant une histoire riche et fascinante.
Une Pièce de Collection
Cette paire de bougeoirs constitue un ajout inestimable pour les amateurs et collectionneurs de mobilier d’époque.
Elle incarne l’alliance parfaite entre l’art et l’artisanat, offrant une fenêtre sur le savoir-faire et l’esthétique du XIXe siècle.
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Julien Leroy à Paris, belle pendule en bronze doré XIXe siècle
1400,00 €La pendule en bronze doré du XIXe siècle, circa 1880, est un véritable chef-d’œuvre de style Louis XVI, incarnant une élégance rare et un savoir-faire horloger exceptionnel.
Cette pièce, d’une beauté intemporelle, est ornée de deux amours gracieux qui ajoutent une touche de charme et de délicatesse à l’ensemble. Surmontée d’un bouquet fleuri délicatement travaillé, elle célèbre la nature et la finesse artistique de l’époque.
La pendule est ceinturée de tores de lauriers, symboles de victoire et d’éternité, qui encadrent la borne centrale, élément principal de la composition.
Ces motifs végétaux, finement ciselés, rappellent les couronnes de lauriers des héros antiques, ajoutant une dimension historique et symbolique à la pièce.
La borne centrale est encadrée par des allégories des arts libéraux, témoignant de l’influence culturelle et artistique de l’époque.
Ces allégories, représentant des disciplines telles que la musique, la géométrie et l’astronomie, soulignent l’importance des arts et des sciences dans la société du XIXe siècle.
Le cadran émaillé, sublimé par ses chiffres romains, porte la signature prestigieuse de Julien Le Roy à Paris.
Cette signature est un gage de qualité et de raffinement, renvoyant à une tradition horlogère reconnue et respectée.
Julien Le Roy, horloger du roi Louis XV, était célèbre pour ses créations précises et élégantes, et sa signature sur cette pendule atteste de son héritage et de son savoir-faire.
L’ensemble repose sur des pieds toupies, caractéristiques du style Louis XVI, apportant stabilité et finesse à cette pièce unique.
Ces pieds, élégamment tournés, confèrent à la pendule une allure gracieuse et équilibrée, typique du mobilier de cette époque.
Datée de l’époque Napoléon III, cette pendule incarne parfaitement l’harmonie entre l’héritage classique et l’esthétique du XIXe siècle.
Elle témoigne de la continuité et de l’évolution des styles, mariant la rigueur classique du XVIIIe siècle avec les innovations et les influences artistiques du XIXe siècle.
Avec ses dimensions harmonieuses (H : 48 cm, L : 37 cm, P : 17 cm), cette pendule saura trouver sa place dans tout intérieur élégant, apportant une touche d’histoire et de raffinement à votre décoration.
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Rare vierge chryséléphantine en bois sculpté époque XVIIIe siècle
650,00 €Cette sculpture chryséléphantine du 18e siècle est un exemple rare et précieux de l’artisanat de l’époque.
Fabriquée en bois sculpté, elle se distingue par son visage en ivoire finement ciselé, rehaussé d’yeux en verre qui lui confèrent une expression saisissante de réalisme et de profondeur.
La technique chryséléphantine, qui combine l’ivoire et le bois, était particulièrement prisée pour sa capacité à créer des œuvres d’une grande finesse et d’un réalisme frappant.
Cette sculpture en est un parfait exemple, avec un visage en ivoire qui contraste magnifiquement avec le corps en bois sculpté.
Les détails du visage, notamment les yeux en verre, ajoutent une dimension supplémentaire de réalisme et de sophistication à l’œuvre.
La sculpture mesure 42 cm de hauteur, ce qui en fait une pièce de taille respectable, idéale pour être exposée de manière visible dans un intérieur raffiné.
Les proportions harmonieuses et les détails minutieux témoignent du savoir-faire exceptionnel de l’artisan qui l’a créée.
Il est à noter que les mains de la sculpture, probablement en ivoire également, sont manquantes.
Cette absence, bien que regrettable, n’enlève rien à la beauté et à la valeur historique de l’œuvre.
Elle ajoute même une dimension supplémentaire à son histoire, invitant à imaginer les péripéties qu’elle a pu traverser au fil des siècles.
Le bois utilisé pour le corps de la sculpture est finement travaillé, avec des motifs et des textures qui témoignent d’un grand soin apporté à chaque détail.
Les vêtements, en particulier, sont rendus avec une précision qui donne l’impression de tissus réels, ajoutant à l’illusion de réalisme.
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VENDU
Bureau de dame, réalisée par Paul Sormani sur le modèle de Bernard II Van Risen Burgh (BVRB)
Bureau de dame en placage de bois de violette
Ce bureau de dame, remarquable par sa richesse et son raffinement, illustre parfaitement l’art de l’ébénisterie du XIXe siècle, période Napoléon III.
De forme mouvementée, il est conçu en placage de bois de violette, une essence précieuse, prisée pour son veinage élégant et sa teinte chaude.
Le bureau s’ouvre à trois tiroirs en façade, une caractéristique fonctionnelle associée à une esthétique recherchée.
Ses quatre pieds cambrés, signature du style Louis XV, ajoutent une légèreté visuelle à l’ensemble.
L’ornementation en bronze ciselé et doré apporte une touche supplémentaire de sophistication.
Chaque élément, qu’il s’agisse de la lingotière, des chutes, des sabots, des entrées ou des encadrements, témoigne d’un savoir-faire exceptionnel.
Le dessus est habillé de cuir, à la fois pratique et luxueux, offrant une surface de travail noble et durable.
Ce meuble, d’une largeur de 100 cm, d’une profondeur de 51 cm et d’une hauteur de 76 cm, est un exemple éloquent de la fusion entre utilité et élégance.
Une inspiration signée BVRB
Le modèle s’inspire directement des créations de Bernard II Van Risen Burgh (dit BVRB), célèbre ébéniste parisien du XVIIIe siècle.
Les œuvres de BVRB, souvent conservées dans des collections prestigieuses comme celle du musée du Louvre, sont réputées pour leur raffinement et leur équilibre entre opulence et subtilité.
En reprenant ce style, Paul Sormani rend hommage à l’héritage de l’ébénisterie française tout en l’inscrivant dans l’esthétique de son époque.
Une réalisation de Paul Sormani
Ce bureau porte l’estampille de Paul Sormani, un des plus illustres ébénistes du XIXe siècle.
D’origine italienne, Sormani s’installe à Paris et fonde son atelier en 1847 au 7 rue du Cimetière-Saint-Nicolas.
À ses débuts, il se spécialise dans la création de meubles inspirés des styles Louis XV et Louis XVI, combinant élégance classique et perfection technique.
En 1867, il transfère son atelier au 10 rue Charlot, où il poursuivra son activité jusqu’à sa mort en 1877.
Sormani se distingue par sa capacité à reproduire avec une extrême fidélité les meubles des grands maîtres tout en y ajoutant une touche contemporaine propre à l’époque Napoléon III.
Ses meubles séduisent l’élite parisienne et la cour impériale, ce qui le consacre comme l’un des artisans les plus recherchés de son temps.
Sa production est variée : elle inclut des bureaux, des commodes, des tables, mais également des pièces d’artisans de luxe, destinées à des expositions universelles où il remporte régulièrement des prix.
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Rare grand porte bougies, en fer forgé XIXe siècle, religieux
1600,00 €Ce porte-bougies ancien en fer forgé est un témoignage exceptionnel de l’artisanat du XIXe siècle, sublimant le savoir-faire des maîtres ferronniers de l’époque.
Avec une hauteur imposante de 170 cm, il impressionne par son allure majestueuse et son riche décor, qui reflètent à la fois l’élégance et la profondeur symbolique des objets sacrés d’autrefois.
Probablement destiné à un usage religieux dans une église ou une chapelle, cet objet a traversé les époques en conservant son authenticité et son histoire.
Son design soigné et ses détails minutieux évoquent l’atmosphère spirituelle et le raffinement esthétique caractéristique du romantisme.
En effet, cette période visait à réconcilier le sacré et la beauté, créant des œuvres aussi fonctionnelles qu’artistiques.
Le travail du fer forgé, remarquable par sa finesse, est au cœur de cette pièce.
On peut admirer de délicates volutes harmonieusement entrelacées, qui confèrent à l’ensemble une fluidité et une légèreté visuelle malgré sa structure solide.
Ces arabesques témoignent d’une maîtrise parfaite de la technique, où chaque courbe semble soigneusement pensée pour créer un équilibre esthétique.
Une barre centrale ornée de motifs végétaux raffinés ajoute une dimension poétique à l’ensemble. Ce décor, évoquant des feuillages, symbolise la vie, la foi et la connexion avec la nature divine, thèmes chers à l’art religieux de l’époque.
Bien au-delà de sa fonction première de porte-bougies, cette pièce peut être considérée comme une véritable œuvre d’art.
Ses lignes gracieuses et solides incarnent l’esthétique romantique, où chaque objet religieux se voulait porteur de sens tout en étant visuellement captivant.
Ce mariage entre spiritualité et sophistication confère à ce porte-bougies une place unique parmi les objets anciens.
Pour les amateurs d’antiquités religieuses ou de décorations authentiques, cet objet rare représente une trouvaille exceptionnelle.
En plus d’être une pièce de collection, il peut enrichir un intérieur en apportant une atmosphère intemporelle et une touche spirituelle.
Placé dans une pièce, il capte naturellement l’attention, devenant à la fois un point focal et un rappel du patrimoine artisanal et religieux.
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VENDU
Très grande sculpture bronze art nouveau, femmes nues à la cascade
Cette remarquable sculpture en bronze, datant du début du XXe siècle, illustre avec brio le talent artistique et l’imaginaire mythologique ou naturaliste de son créateur.
Avec une hauteur de 77 cm, cette œuvre imposante captive par son esthétique raffinée et sa patine médaille d’origine, qui lui confère une profondeur et un éclat particuliers.
Bien qu’elle présente des signes d’oxydation et d’encrassement, typiques d’un état de grenier, ces marques n’altèrent en rien sa qualité artistique et peuvent être corrigées par un nettoyage doux et minutieux.
Une scène aquatique dynamique
La sculpture représente une scène vibrante et immersive mettant en scène trois femmes nues dans un environnement aquatique.
La composition, d’une grande complexité, joue sur différents niveaux pour guider l’œil du spectateur à travers l’œuvre.
L’une des figures féminines est assise avec grâce au sommet d’un rocher, dominant la scène d’un air serein et majestueux.
Les deux autres femmes semblent quant à elles émerger ou glisser dans un torrent, leurs corps s’intégrant harmonieusement aux textures fluides de l’eau sculptée.
Détails minutieux et naturalisme
Un des points forts de cette œuvre réside dans l’extraordinaire finesse des détails.
Chaque élément a été réalisé avec un soin méticuleux, contribuant à enrichir l’ensemble de la composition.
Le socle, qui simule un environnement rocheux et aquatique, regorge de détails naturalistes tels que des coquillages, un poisson et une anguille qui semblent s’animer sous nos yeux.
Ces éléments accentuent l’idée que les trois figures féminines évoluent à proximité d’une cascade, dans une scène vibrante et presque tangible.
L’artiste a su capter le mouvement et l’interaction entre les figures humaines et leur environnement, créant un équilibre subtil entre sensualité et dynamisme.
Les textures des rochers, la fluidité de l’eau et la douceur des courbes féminines témoignent du talent exceptionnel du sculpteur, capable de donner vie au bronze avec une précision rare.
Une thématique évocatrice
Cette sculpture se distingue également par la richesse symbolique qu’elle dégage.
L’interaction entre les femmes et leur cadre aquatique pourrait suggérer une inspiration mythologique, évoquant par exemple des nymphes ou des naïades, figures classiques de la culture occidentale associées aux eaux et aux cascades.
Alternativement, elle pourrait s’inscrire dans un courant naturaliste, célébrant la beauté et l’harmonie de la nature.
Ce type de thématique, prisé au début du XXe siècle, reflète un intérêt marqué pour la fusion entre l’humain et le monde naturel, ainsi qu’une exploration de la sensualité et de la vitalité féminine.
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Hermann Haase-Ilsenburg (1869-1960), l’enlèvement d’Europe, sculpture bronze
2500,00 €Je vous présente une sculpture en bronze exceptionnelle, une création captivante qui illustre l’histoire mythique d’Europe, la belle princesse phénicienne enlevée par Zeus, le roi des dieux de l’Olympe » L’enlèvement d’Europe « .
Ce récit fascinant, parmi les plus célèbres de la mythologie gréco-romaine, a inspiré les artistes depuis des siècles.
Ici, cette légende prend vie dans une interprétation magistrale de l’artiste Hermann Haase-Ilsenburg (1869-1960), un sculpteur allemand renommé, particulièrement apprécié pour ses contributions remarquables dans le style Art déco primitif.
Un sujet mythologique intemporel
La légende d’Europe est un symbole puissant de transformation, de beauté et de mystère.
Dans ce mythe, Zeus se métamorphose en un majestueux taureau blanc pour approcher Europe, la séduire et l’emmener loin de son foyer. Cette scène dramatique, riche en symbolisme, a été maintes fois réinterprétée dans l’histoire de l’art, de la peinture à la sculpture en passant par la littérature et les arts décoratifs.
Hermann Haase s’inscrit dans cette tradition en offrant une version unique, marquée par une sensibilité contemporaine et une maîtrise technique exceptionnelle.
Une œuvre d’Art déco primitif
La sculpture reflète le style Art déco primitif, un mouvement qui conjugue l’élégance moderne et des influences inspirées des cultures anciennes.
Avec sa patine brune, la surface du bronze capte subtilement la lumière, mettant en valeur les détails soigneusement travaillés.
Chaque courbe et chaque expression traduisent la maîtrise artistique de Haase.
La figure repose sur un socle en marbre gris moucheté, ajoutant une base contrastée et raffinée à l’ensemble.
Ce choix de matériaux confère à la sculpture une stabilité et une sophistication qui enrichissent l’impact visuel global de l’œuvre.
Hermann Haase-Ilsenburg : un maître sculpteur
Hermann Haase-Ilsenburg, né en Allemagne en 1869 et décédé en 1960, a marqué le domaine de la sculpture par son talent exceptionnel et sa capacité à capturer l’émotion humaine à travers des formes matérielles.
Formé dans des académies d’art prestigieuses, il a développé un style personnel mêlant les influences classiques et modernes.
Son travail se distingue par une attention rigoureuse aux détails, une expressivité saisissante et un sens aigu de l’équilibre formel.
Il a consacré sa carrière à traduire des récits intemporels et des émotions universelles en œuvres d’art palpables, comme en témoigne cette pièce.
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Magnifique pendule horloge en bronze cathédrale néo gothique XIXe siècle
1600,00 €Cette pendule en bronze doré, mesurant 44 cm de hauteur, est une pièce décorative remarquable datant de la fin du XIXe siècle.
Inspirée par l’architecture gothique, elle se distingue par sa forme évoquant une cathédrale et par une ornementation riche et minutieuse, qui illustre les prouesses artistiques et artisanales de cette époque.
Une architecture miniature d’inspiration gothique
L’ensemble de la pendule s’inscrit dans une esthétique gothique, reprenant les éléments caractéristiques de ce style architectural.La base est ornée d’arcatures finement sculptées, supportées par des colonnes élancées qui rappellent les piliers majestueux des grandes cathédrales médiévales.
Ces détails accentuent l’élan vertical et la complexité ornementale de la pièce, offrant une impression de hauteur et de légèreté.
Le sommet de la pendule est surmonté d’une flèche gothique élancée, symbole architectural par excellence de ce style.
Ce détail renforce l’impression de verticalité, tandis que les ornements ajourés, combinant des motifs floraux et géométriques, enrichissent encore son apparence.
Ces éléments témoignent d’un travail de ferronnerie d’art particulièrement sophistiqué, où chaque détail semble pensé pour capturer l’essence du gothique tout en la transposant à une échelle domestique.
Un cadran raffiné et fonctionnel
Au centre de la structure, un cadran en émail blanc constitue le cœur fonctionnel de la pendule.Ce cadran circulaire est cerclé de motifs floraux délicats qui s’harmonisent avec les autres éléments décoratifs.
Les chiffres romains noirs, associés aux aiguilles en acier finement travaillées, offrent un contraste visuel élégant tout en facilitant la lecture de l’heure.
Ce cadran est également doté d’un mécanisme ingénieux qui permet de le retirer pour le remontage, soulignant à la fois la fonctionnalité et l’ingéniosité technique de l’objet.
Un éclat patiné par le temps
Le bronze doré, utilisé comme matériau principal, confère à la pendule une lumière douce et chaleureuse.Avec le temps, la dorure a acquis une légère patine, accentuant l’impression d’ancienneté et d’authenticité.
Cette combinaison de dorure brillante et de patine subtile rappelle la richesse des intérieurs bourgeois de la fin du XIXe siècle, où de tels objets étaient prisés pour leur capacité à conjuguer utilité et beauté.
Un témoignage du goût historiciste
Cette pendule illustre le goût historiciste caractéristique de la fin du XIXe siècle, période marquée par une réinterprétation des styles artistiques du passé.À travers cette pièce, le style gothique est revisité non pas pour sa fonction architecturale originelle, mais pour sa valeur décorative et symbolique.
L’objet témoigne d’un dialogue entre histoire et modernité, où les formes anciennes sont adaptées aux besoins et aux sensibilités esthétiques de l’époque.
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VENDU
Grande statue XIXe en plâtre représentant un guerrier africain
Je vous présente une pièce rare et spectaculaire : une grande statue en plâtre datant du XIXe siècle, représentant un guerrier africain, une figure iconique et majestueuse.
Avec une hauteur impressionnante de 203 cm (sans compter la lance en bois peint en blanc), cette œuvre combine une présence saisissante et une finesse d’exécution remarquable.
Description et détails
La statue représente un guerrier africain debout, dans une pose noble et affirmée.D’une main, il tient une lance en bois, tandis que l’autre repose sur sa hanche, exprimant force et confiance.
Le visage du guerrier est particulièrement expressif, avec des traits finement sculptés qui témoignent du savoir-faire de l’artiste.
Sa coiffure texturée, son regard fier dirigé vers l’horizon, et les détails soignés des ornements autour de son cou reflètent un réalisme et une sensibilité artistiques caractéristiques de l’époque.
Le vêtement est également élaboré avec soin : le guerrier est vêtu d’un pagne sculpté avec précision, comportant des plis et textures qui accentuent le rendu réaliste de la sculpture.
La base circulaire sur laquelle repose la statue assure stabilité et élégance.
La lance, en bois peint d’une teinte blanche pour s’harmoniser avec la pièce, donne une dynamique supplémentaire à l’ensemble, rappelant les codes du XIXe siècle où les objets exotiques étaient magnifiés dans les arts décoratifs.
Un contexte historique et artistique
Cette statue s’inscrit parfaitement dans l’esprit du XIXe siècle, une période marquée par un fort attrait pour l’exotisme et les représentations idéalisées des cultures du monde.En Europe, cet exotisme romantique influença de nombreux artistes, qui cherchaient à immortaliser des figures emblématiques et à célébrer la diversité culturelle.
Ces sculptures étaient souvent commandées pour des salons, des galeries ou des collections privées, où elles occupaient une place de choix, symbolisant à la fois un goût pour l’art et une fascination pour l’ailleurs.
Les œuvres de cette envergure, tant par leur taille que par leur qualité artistique, sont devenues rares sur le marché de l’art.
Ce modèle particulier pourrait également avoir été conçu comme une œuvre commémorative ou une interprétation libre destinée à valoriser les cultures extra européennes dans un contexte colonial.
Un atout pour vos espaces
Avec ses proportions imposantes et son allure grandiose, cette statue s’intègrera parfaitement dans divers environnements : une galerie d’art, un hall spacieux, un intérieur à la décoration classique ou éclectique.Elle ne manquera pas de devenir une pièce maîtresse, attirant l’attention et suscitant l’admiration des visiteurs.
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Joli miroir en laiton dit « de sorcière », circa 1950, style Louis XVI
Ce magnifique miroir dit « de sorcière », datant de la fabrication autour des années 1950, est une pièce remarquable qui conjugue élégance et tradition artisanale.
Avec son décor richement orné et son style Louis XVI, il évoque le raffinement intemporel des créations classiques tout en étant représentatif des réinterprétations du milieu du XXᵉ siècle.
Ses dimensions équilibrées et sa qualité de fabrication en font un objet aussi décoratif que fonctionnel, idéal pour agrémenter une variété d’intérieurs.
Un miroir bombé au charme unique
Le miroir présente un verre bombé, caractéristique des miroirs dits « de sorcière ».
Ce type de miroir, souvent associé aux XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles, se distingue par sa surface convexe qui offre une vision élargie et légèrement déformée de l’espace.
Cela confère à la pièce une aura mystique et en fait un point focal captivant dans n’importe quelle pièce.
Ici, le diamètre du miroir bombé, mesuré à vue, est de 30 cm, une taille idéale pour capter la lumière et élargir visuellement un espace sans dominer le décor.
Un cadre raffiné dans le style Louis XVI
Le cadre, en laiton travaillé, s’inscrit dans une esthétique classique propre au style Louis XVI.
Il arbore des ornements minutieusement façonnés qui rappellent les codes décoratifs du XVIIIᵉ siècle, réinterprétés ici avec une maîtrise typique des productions d’après-guerre.
Parmi les éléments décoratifs figurent des flambeaux élégamment disposés sur le fronton supérieur.
Ces motifs symbolisent la lumière et la connaissance, renforçant l’idée d’un miroir comme source d’éclat et de clarté.
Des nœuds de rubans délicatement sculptés viennent compléter le décor, évoquant la douceur et l’harmonie souvent associées à l’art ornemental Louis XVI.
Des branchages et des feuillages stylisés, soigneusement agencés autour du cadre, ajoutent une touche organique, ancrant la pièce dans une esthétique naturaliste.
Enfin, une frise de perles souligne le contour du miroir, un détail emblématique des créations Louis XVI qui traduit un goût pour la symétrie et le raffinement.
Des proportions harmonieuses
Ce miroir atteint une hauteur totale de 57 cm, ce qui en fait une pièce d’une présence affirmée mais non envahissante.
Cette hauteur, combinée au diamètre du miroir bombé de 30 cm, offre des proportions équilibrées.
Il peut être suspendu au-dessus d’une cheminée, intégré dans un mur de cadres ou placé dans un vestibule pour apporter une note de distinction.
Une fabrication circa 1950
Bien que ce miroir s’inspire des créations Louis XVI, il a été fabriqué autour des années 1950.
Cette époque a vu un regain d’intérêt pour les styles historiques, souvent revisités avec des techniques modernes de production.
Le choix du laiton, à la fois durable et esthétique, témoigne de cette approche, tandis que le savoir-faire dont il est issu garantit une qualité exceptionnelle.
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Sculpture en terre cuite patinée – Le Fleuve – D’après Jean Jacques Caffieri
2800,00 €Sculpture en terre cuite patinée – « Le Fleuve »
d’après Jean-Jacques Caffieri, école française du XVIIIe siècleCette sculpture en terre cuite patinée, intitulée « Le Fleuve », est une œuvre d’une grande finesse, inspirée du modèle original en marbre du sculpteur français Jean-Jacques Caffieri (1725-1792), figure emblématique de l’école française du XVIIIe siècle.
Réalisée probablement vers la fin du XIXe siècle, elle témoigne de la fascination pour les chefs-d’œuvre classiques et de l’engouement pour les reproductions d’artistes illustres de cette époque.
Un hommage à l’excellence de Caffieri
Signée sur la base « Monsieur Caffier 1759 », cette pièce rend hommage à l’œuvre originale de Caffieri, conservée au musée du Louvre à Paris. Jean-Jacques Caffieri, connu pour ses portraits sculptés et ses allégories, a marqué le XVIIIe siècle par son élégance et son attention méticuleuse aux détails.
Ce modèle marbre, créé dans une période de faste artistique, représente une figure allégorique d’un fleuve, symbole de puissance et de continuité.
Cette version en terre cuite témoigne d’un savoir-faire remarquable.
Le matériau utilisé, patiné avec soin, imite avec subtilité la noblesse du marbre tout en offrant une chaleur et une légèreté propres à la terre cuite.
Sa patine confère à l’œuvre un caractère intemporel, renforçant l’impression d’avoir affaire à un original d’époque.
Description et détails
Haute de 58 cm, cette sculpture attire immédiatement le regard par ses proportions harmonieuses et la délicatesse de ses détails.
La figure allégorique, probablement masculine, est représentée dans une posture majestueuse.
Les drapés fluides et dynamiques soulignent le mouvement de l’eau, tandis que les muscles finement sculptés traduisent la force et la vigueur associées aux cours d’eau puissants.
Les traits expressifs et le travail minutieux des cheveux témoignent de l’influence baroque sur Caffieri, qui mêle puissance et grâce.
Les courbes douces et les contrastes subtilement marqués entre les surfaces lisses et texturées ajoutent à l’attrait visuel de l’œuvre. L’inscription sur la base, évoquant la date de 1759, renforce la filiation avec l’original tout en ajoutant une touche d’authenticité et d’histoire à cette version postérieure.
Une sculpture d’époque, mais intemporelle
Bien que cette œuvre ait été réalisée à la fin du XIXe siècle, elle s’inscrit dans une longue tradition d’admiration et de réinterprétation des maîtres du XVIIIe siècle.
À cette époque, les reproductions d’œuvres célèbres étaient très recherchées par les amateurs d’art et les collectionneurs, désireux de posséder une part de l’héritage artistique français.
Ce type de création, qui marie un sujet classique à une technique raffinée, reflète également l’essor de la bourgeoisie et l’élargissement de l’accès à l’art.
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Grand plateau ovale, époque Napoléon III (XIXe siècle), en carton bouilli
240,00 €Je vous présente un splendide plateau de forme ovale, témoin du raffinement artistique et des techniques de fabrication caractéristiques de la seconde moitié du XIXe siècle, sous le règne de Napoléon III.
Cet objet d’art et d’usage courant, confectionné en papier mâché ou carton bouilli, illustre l’excellence des artisans de cette époque qui combinaient habilement innovation technique et goût pour l’ornementation délicate.
Un décor floral peint à la main et nacré
Le centre du plateau dévoile un magnifique bouquet de fleurs, peint à la main avec une finesse remarquable.
Ce décor, typique de l’art décoratif sous Napoléon III, met en scène une composition florale vibrante aux couleurs délicates.
L’ajout d’incrustations en nacre rehausse le design en apportant des reflets irisés qui captent la lumière et attirent l’œil.
Ces incrustations, très en vogue à l’époque, témoignent du souci du détail et de l’élégance recherchée dans les objets de ce style.
Une fabrication typique du XIXe siècle
Le plateau est fabriqué à partir de papier mâché ou de carton bouilli, des matériaux prisés au XIXe siècle pour leur légèreté et leur résistance, mais aussi pour leur capacité à être façonnés et décorés avec minutie.
Ce procédé de fabrication consistait à superposer des couches de papier ou de carton, solidifiées par la chaleur et la pression, puis vernies pour leur donner un aspect laqué.
Durant cette période, ces plateaux servaient tant pour leur fonction pratique que pour leur rôle décoratif.
Ils étaient souvent utilisés dans les salons bourgeois ou les demeures élégantes, où l’on appréciait les objets au charme à la fois fonctionnel et esthétique.
Le charme des traces du temps
Comme beaucoup de pièces utilitaires ayant traversé les décennies, ce plateau porte les traces d’un usage intensif et présente quelques anciennes réparations.
Ces marques du temps n’enlèvent rien à son authenticité ni à son charme.
Au contraire, elles racontent une histoire et soulignent la robustesse et la valeur sentimentale de l’objet.
Ce plateau est donc bien plus qu’un simple accessoire : c’est un fragment d’histoire qui saura trouver sa place dans une décoration intérieure où le vintage et l’authentique sont mis à l’honneur.
Dimensions et disponibilité
Avec ses dimensions généreuses de 49 cm x 61 cm, ce plateau s’impose comme un objet aussi pratique que décoratif.
Il peut servir à la fois pour présenter des mets lors de vos réceptions ou pour embellir un espace, tel un élément décoratif accroché au mur ou posé sur un buffet.
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Belle et ancienne aiguière en étain art nouveau signé de Noel Ruffier
580,00 €Noël Ruffier, sculpteur et orfèvre français actif à la fin du XIXᵉ siècle et au début du XXᵉ siècle, est connu pour ses créations alliant symbolisme et virtuosité technique.
Né en 1847, il s’inscrit dans le mouvement de l’Art Nouveau, qui privilégie l’expression organique, les motifs naturalistes et une vision esthétique souvent empreinte de mystère et de sensualité.
L’aiguière qu’il a créée, une pièce remarquable datant d’environ 1900, témoigne de ce style et de l’habilité de Ruffier à marier fonctionnalité et art sculptural.
**Description de l’œuvre**
L’aiguière, d’une hauteur de 39 cm, est réalisée en bronze avec une sculpture en relief en étain sur sa panse.
Elle adopte une forme saisissante et narrative : celle d’un *Kantor* ou d’un satyre, créature mythologique symbolisant souvent les instincts primaires et la séduction, tendant une embuscade à une belle femme endormie.
Ce choix iconographique évoque des thématiques classiques mêlées à l’imaginaire romantique de l’Art Nouveau.
La scène sculptée présente un contraste frappant entre la douceur paisible de la femme et l’énergie dynamique du satyre.
La femme, représentée dans une pose alanguie et vulnérable, incarne un idéal de beauté gracieuse, tandis que le satyre, caractérisé par des muscles tendus et un regard intense, exprime une tension dramatique.
Ces détails donnent vie à la composition et plongent l’observateur dans une scène théâtrale où le désir et le rêve se confondent.
L’aiguière n’est pas seulement une pièce fonctionnelle destinée à contenir un liquide ; elle s’impose comme un objet d’art à part entière.
Le mélange du bronze et de l’étain enrichit l’œuvre en apportant des textures variées.
Le bronze confère une robustesse et une patine qui accentuent la richesse visuelle, tandis que l’étain, utilisé pour la scène en relief, offre un contraste subtil et raffiné.
**Signature et authenticité**
La signature de Noël Ruffier figure sur la panse de l’aiguière, confirmant son attribution à l’artiste.
Ce détail témoigne de l’importance qu’il accordait à ses créations, qu’il voyait comme des œuvres uniques et précieuses.
Ruffier, bien que moins connu que certains de ses contemporains comme René Lalique ou Emile Gallé, partage leur ambition de repousser les limites des matériaux pour créer des objets empreints de poésie et d’une qualité technique irréprochable.
**Contexte artistique et symbolisme**
À travers cette aiguière, Ruffier reflète les aspirations de l’Art Nouveau, qui s’inspire des mythes antiques et de la nature tout en explorant des thèmes psychologiques et émotionnels.
Le choix du satyre, figure de la mythologie gréco-romaine, est emblématique.
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VENDU
Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Rare fauteuil pivotant ancien de Paquebot, Le France, Le Normandie
850,00 €Ce rare fauteuil de paquebot incarne toute la splendeur et le raffinement des voyages maritimes de l’âge d’or des transatlantiques, comme ceux qui ont équipé des navires légendaires tels que le *Titanic* et le *Normandie*.
Véritable pièce de collection, ce fauteuil est un hommage aux lignes élégantes et aux matériaux nobles que l’on retrouvait dans les intérieurs de ces navires prestigieux.
Conception et matériaux nobles
Ce fauteuil impressionne dès le premier regard par sa boiserie massive et finement sculptée, qui révèle un travail artisanal d’exception.
Les détails gravés dans le bois témoignent d’un savoir-faire riche et minutieux, sans doute réalisé par des ébénistes spécialisés, formés à produire des meubles pour les espaces de première classe.
Contrairement aux sièges standards, la partie supérieure de ce fauteuil est taillée dans un unique morceau de bois, ce qui permet une continuité parfaite et un design harmonieux, renforcé par les accoudoirs qui semblent faire corps avec l’ensemble.
Cette approche monobloc n’était réservée qu’aux mobiliers les plus exclusifs de l’époque, destinés à des espaces luxueux.
L’assise est revêtue d’un cuir bordeaux qui complète le bois sculpté, ajoutant une touche de confort et d’élégance supplémentaire.
Cette couleur profonde contraste harmonieusement avec la structure en bois, tout en évoquant l’atmosphère feutrée et distinguée des salons de première classe des grands paquebots.
Le cuir, en plus d’être d’une grande qualité, est légèrement patiné, ce qui ajoute encore au charme de cette pièce historique.
Mécanisme pivotant et fixation au sol
Le fauteuil est également doté d’un mécanisme pivotant, permettant à l’occupant de se tourner sans effort, offrant à l’origine la possibilité d’admirer le panorama marin ou de participer aux conversations avec plus d’aisance.
Ce pivotement était un luxe rare, réservé aux sièges les plus prestigieux de ces paquebots.
Ce fauteuil a été conçu pour être fixé au sol, avec une base en fonte solidement ancrée en son centre, offrant ainsi une stabilité inégalée.
La base en fonte elle-même est sculptée, avec des motifs qui ajoutent encore à la beauté et au caractère de la pièce.
Au niveau des pieds, sous l’emplacement de fixation, des protections en caoutchouc ont été ajoutées pour éviter d’endommager les parquets, même lorsque le fauteuil est solidement vissé au sol.
Ces protections sont amovibles, ce qui permet de les retirer aisément si nécessaire.
Cet ajout montre que les concepteurs ont non seulement pris en compte l’esthétique, mais aussi le souci de préserver les matériaux précieux environnants.
Historique et hypothèse d’utilisation
Bien que nous ne connaissions pas avec certitude le navire auquel ce fauteuil était destiné, sa conception, sa qualité et son luxe laissent fortement supposer qu’il équipait les salons ou cabines de première classe d’un paquebot célèbre.
Les premiers transatlantiques se distinguaient par une décoration somptueuse et un confort exceptionnel pour attirer une clientèle fortunée, et ce fauteuil incarne parfaitement cet esprit.
Sa construction robuste et son allure imposante suggèrent qu’il pourrait avoir appartenu à un paquebot de renom, où chaque détail était soigneusement pensé pour garantir un confort et un prestige sans égal.
Un fauteuil polyvalent et intemporel
Aujourd’hui, ce fauteuil rare peut être intégré dans un espace moderne ou classique.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste J. Cavana, est une représentation saisissante de l’élégance et du raffinement propres à son époque. L’œuvre illustre une femme gracieuse, dont l’allure et les traits sont immortalisés avec une précision remarquable. La minutie apportée à la réalisation de cette miniature est évidente, des plis soyeux de la robe aux teintes subtiles du visage de la dame. Chaque détail témoigne de l’expertise de Cavana, qui parvient à capturer non seulement l’apparence physique de son sujet, mais aussi une certaine aura, une présence presque palpable, malgré la petite taille du support.
Jean Cavana, né en 1830 en Italie, est un artiste qui a su se forger une place de choix dans le milieu artistique français de la fin du XIXe siècle. Il s’est installé en France, où son talent pour la miniature l’a rapidement fait connaître. Formé dans la lignée des grands maîtres, Cavana a acquis une maîtrise technique exceptionnelle qui lui permettait de traduire avec finesse les émotions et les caractéristiques de ses modèles. Sa renommée a grandi au fil des ans, notamment grâce aux nombreuses commandes qu’il recevait de la part de la haute société, qui voyait en lui un peintre capable de saisir l’essence de ses contemporains avec une rare justesse.
Cavana s’est distingué par son art de la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, car il permettait d’immortaliser les traits des personnes dans des formats réduits, souvent sous forme de portraits intimes. Il était capable de retranscrire à la perfection les moindres détails, de la texture des étoffes aux expressions faciales les plus subtiles, apportant à chaque portrait une profondeur psychologique singulière. La précision de son pinceau lui permettait de transformer de simples portraits en véritables témoignages visuels de l’âme de ses modèles.
Mais si Cavana est principalement reconnu pour ses miniatures, il ne s’est pas limité à ce genre. Son œuvre s’étendait également à d’autres domaines, comme le paysage ou des scènes plus complexes, où il exprimait son goût pour la beauté et la mélancolie. Ses créations, empreintes d’une certaine nostalgie, invitent à la contemplation et à la réflexion, révélant une sensibilité artistique raffinée. Il utilisait la miniature pour célébrer non seulement la beauté physique, mais aussi l’esprit et la personnalité des personnes qu’il représentait. Ainsi, chaque œuvre qu’il réalisait devenait un hommage à son époque et à la tradition du portrait intime, dont il s’est fait le maître incontesté.
La miniature en question est un exemple parfait de son savoir-faire. L’élégance et la grâce du sujet, rehaussées par la finesse de l’exécution, sont autant de preuves du talent exceptionnel de Cavana.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Table à ouvrage en laque de Chine du XIXe siècle, garnis de détails en os
850,00 €Cette table à ouvrage en laque de Chine, datée du XIXe siècle, est un véritable chef-d’œuvre de l’artisanat.
Ses origines chinoises sont évidentes dans son esthétique, où la laque noire et les motifs dorés se rencontrent dans une harmonie visuelle qui reflète le raffinement de l’époque. Ce type de mobilier, conçu pour les travaux d’aiguille et le rangement d’accessoires de couture, se distingue par sa double fonction : pratique et décorative.
La table se présente avec un corps entièrement orné sur ses quatre faces. Le décor en laque noire, rehaussé de motifs dorés, offre un contraste saisissant. Le noir de la laque, qui symbolise souvent la profondeur et la mysticité dans la culture asiatique, est enrichi par des scènes de pagodes dorées, des paysages empreints d’une touche poétique typiquement orientale. Ces pagodes, éléments architecturaux emblématiques de la Chine, évoquent la tranquillité et la spiritualité, conférant à la pièce un air d’exotisme et de sérénité. L’utilisation de l’or, à la fois précieux et décoratif, magnifie ces motifs et apporte une dimension de luxe et de sophistication à l’ensemble.
L’intérieur de la table s’ouvre par un abattant astucieusement dissimulé. Ce dernier découvre un ensemble de compartiments destinés à ranger les différents outils de couture. Les compartiments sont ingénieusement disposés pour optimiser l’espace de rangement, avec certains d’entre eux pourvus de couvercles. Ces espaces ont été conçus pour contenir les divers instruments de couture, comme des ciseaux, des aiguilles et des bobines de fil. Ce rangement soigné et compartimenté reflète le souci de praticité et de fonctionnalité de cette table à ouvrage. Certains de ces compartiments sont garnis de détails en os, finement travaillés, apportant une touche d’élégance supplémentaire à l’objet. L’os, matériau noble et délicat, a été utilisé avec une grande dextérité, révélant le savoir-faire artisanal de l’époque.
Le plateau supérieur de la table repose sur un mécanisme de glissière, permettant son ouverture en douceur pour révéler des compartiments supplémentaires. Ceux-ci étaient initialement conçus pour accueillir un panier en tissu, aujourd’hui manquant, destiné à ranger les coupons de tissus ou autres articles de couture plus volumineux. Ce mécanisme astucieux montre l’attention portée à l’aspect fonctionnel de l’objet, tout en restant fidèle à son apparence élégante.
La structure même de la table est un modèle d’équilibre entre solidité et finesse. Elle repose sur deux pieds sculptés, se terminant par des griffes, un détail qui rappelle les motifs animaliers souvent utilisés dans le mobilier d’époque pour symboliser la force et la protection. Les griffes, délicatement sculptées, donnent à la table une assise solide tout en restant légères et gracieuses. Les deux pieds sont reliés par une entretoise, élément souvent utilisé pour renforcer la stabilité de la pièce sans alourdir visuellement l’ensemble. Cette entretoise participe à l’harmonie globale du meuble, tout en lui conférant une dimension structurée et raffinée.
Un détail notable sur cette table est la présence de la signature « Patent » gravée sur la serrure. Ce marquage indique une reconnaissance officielle du design ou du mécanisme utilisé, témoignant de l’ingéniosité technique de l’époque. Il s’agit là d’une indication précieuse sur l’importance accordée à la qualité de fabrication et à la protection des inventions au XIXe siècle, un signe que cette table à ouvrage n’était pas seulement un objet utilitaire, mais également une création innovante et exclusive.
Malgré l’usure du temps et quelques petits accidents signalés sur la surface, cette table conserve toute sa beauté et son charme. Ces signes d’usure sont en réalité les témoins d’une longue histoire, d’un usage fréquent, et confèrent à l’objet une patine authentique. Les pièces de laque de cette époque sont connues pour leur fragilité, mais aussi pour leur capacité à traverser les âges en conservant leur éclat, ce qui rend cette table à ouvrage encore plus précieuse.
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Magnifique petite armoire de maitrise en bois et marqueterie, fin XIXe siècle
Cette petite armoire de maîtrise du XIXe siècle est un superbe exemple du savoir-faire artisanal de l’époque, probablement réalisée en France, comme en témoignent son style et son exécution minutieuse. L’armoire est construite avec une attention particulière aux détails, en particulier dans son décor en marqueterie, qui couvre presque toute la surface de la pièce. La marqueterie est un procédé où différents types de bois sont soigneusement sélectionnés, découpés, puis assemblés pour former des motifs complexes et artistiques, ici principalement géométriques, avec une prédominance de losanges et d’étoiles.
Les côtés et la façade de cette armoire sont ornés de ces motifs de marqueterie, contrastant le bois clair et foncé pour créer un jeu de couleurs et de textures qui attire le regard. Ce travail de marqueterie est un indicateur de la maîtrise technique du créateur, démontrant non seulement une habileté manuelle exceptionnelle, mais aussi un sens esthétique sophistiqué. Le choix des bois et l’harmonie des couleurs révèlent une grande connaissance des matériaux, associée à une volonté de produire une œuvre qui soit aussi décorative que fonctionnelle.
La porte centrale est un élément clé de cette armoire. Elle est agrémentée d’un miroir à glace argentée, qui reflète légèrement l’âge de la pièce tout en ajoutant une dimension pratique à l’ensemble. Ce miroir, bien que modeste en taille, donne de la profondeur à l’armoire, créant un effet d’espace supplémentaire dans une pièce. Encadré par la marqueterie, le miroir devient un point focal qui renforce le style élégant de l’armoire. Il s’ouvre sur un compartiment intérieur qui, bien que de petite taille, est conçu pour le rangement de petits objets. Cette porte est équipée d’une poignée blanche, probablement en porcelaine ou en os, apportant une touche de délicatesse à l’ensemble et contrastant avec les teintes riches du bois environnant.
Sous cette porte se trouve un tiroir, élément tout aussi décoratif que fonctionnel. Le tiroir est lui aussi orné de marqueterie, avec des motifs géométriques reprenant les formes de losanges et de triangles présents sur le reste de la pièce. Ce tiroir offre un espace de rangement supplémentaire et rappelle l’équilibre entre utilité et esthétique qui caractérise les pièces de mobilier de cette époque. La poignée du tiroir est assortie à celle de la porte, créant une continuité visuelle dans l’ensemble du meuble.
Le haut de l’armoire est couronné par un fronton décoratif surmonté de petits pinacles finement tournés. Le fronton présente un motif circulaire en marqueterie, avec un motif d’étoile en bois clair et foncé, encadré par une forme demi-circulaire. Cette partie supérieure, bien que décorative, est en harmonie avec l’ensemble du meuble, reprenant les mêmes tons et motifs, tout en apportant une touche de hauteur et d’élégance supplémentaire.
Les dimensions modestes de l’armoire, ainsi que son travail de marqueterie très élaboré, indiquent qu’il s’agit très probablement d’une pièce de maîtrise. Les pièces de maîtrise étaient des objets souvent fabriqués par les apprentis ébénistes pour démontrer leur savoir-faire et obtenir leur statut de maître dans leur guilde ou corporation. Ces objets étaient souvent de petite taille, mais mettaient en valeur une gamme de compétences, incluant la marqueterie, le tournage du bois et l’assemblage précis de différents éléments de mobilier. L’armoire que nous observons ici est une illustration parfaite de cette tradition. Elle est à la fois un objet d’art et un meuble pratique, symbolisant l’alliance entre la beauté et la fonctionnalité dans le mobilier du XIXe siècle.
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Belle cave à liqueur ancienne, époque XIXe siècle, Napoléon III, Baccarat
Cette cave à liqueur, d’une grande beauté et d’une remarquable finesse, est un exemple exceptionnel de l’art décoratif du XIXe siècle, en plein dans la période du style Napoléon III. À cette époque, l’Empire français connaît un regain d’intérêt pour le faste et l’ornementation, et cette œuvre s’inscrit parfaitement dans cette tendance artistique.
La cave est réalisée en bois de placage de loupe de thuya, un matériau précieux et recherché pour son aspect décoratif unique. Le thuya, grâce à ses veines tourmentées et ses nœuds, offre un effet visuel sophistiqué, plein de relief et de contrastes, qui confère une élégance discrète à l’objet. Ce placage est encadré par du bois de rose, un autre bois noble, très prisé pour sa teinte chaude et sa texture fine, souvent utilisé dans l’ébénisterie de luxe. À cela s’ajoute un décor de bois noirci, qui vient accentuer le contraste des matériaux et donner une touche de sobriété, tout en mettant en valeur les filets de laiton qui parcourent l’ensemble de la cave. Ces filets, d’une finesse admirable, soulignent les contours et les volumes de l’objet, lui apportant une certaine légèreté et un raffinement supplémentaire.
L’une des particularités de cette cave à liqueur réside dans sa façade mouvementée. Loin des formes géométriques strictes ou des lignes droites qui caractérisaient parfois les productions antérieures, cette façade adopte des courbes sinueuses et harmonieuses, propres au style Napoléon III. Cette forme mouvementée confère à l’ensemble un dynamisme et une fluidité qui captent immédiatement le regard et témoignent du grand savoir-faire de l’artisan qui a réalisé cet objet. Le travail de la façade se prolonge sur l’abattant, qui se distingue par un cartouche feuillagé incrusté de laiton et de nacre. Cette ornementation, réalisée avec une grande précision, évoque un motif végétal riche et délicat, typique des décors de la seconde moitié du XIXe siècle. La combinaison du laiton et de la nacre apporte non seulement une brillance et une richesse visuelle, mais aussi une certaine douceur grâce aux reflets irisés de la nacre, qui varie selon la lumière. Fait intéressant, ce cartouche n’est pas monogrammé, ce qui laisse supposer qu’il n’était pas destiné à une commande spécifique, ou que son propriétaire n’a pas souhaité y apposer ses initiales, permettant ainsi à cette cave de conserver une certaine universalité.
En ouvrant cette cave, on découvre un ensemble tout aussi raffiné de 4 carafes et de 16 verres à liqueur, tous réalisés en cristal de Baccarat, un nom qui incarne l’excellence dans l’art de la verrerie et du cristal depuis le XVIIIe siècle. Chaque pièce est finement décorée de rehauts de dorure, un ornement qui ajoute une touche d’éclat et de luxe à l’ensemble. Le cristal de Baccarat, réputé pour sa pureté, sa transparence et son éclat, est ici sublimé par cette dorure délicate, qui vient rehausser les courbes des carafes et des verres. Ces derniers, de taille idéale pour déguster des liqueurs, sont non seulement des objets fonctionnels, mais aussi des pièces décoratives qui témoignent du goût raffiné de l’époque.
L’agencement interne de la cave est étudié avec soin, permettant de ranger et de protéger chaque carafe et chaque verre dans un compartiment spécifique, afin d’éviter tout choc ou dommage. Ce souci du détail montre l’importance accordée non seulement à l’apparence extérieure de l’objet, mais aussi à sa fonctionnalité.
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Belle et ancienne lampe à pétrole en bronze doré, attribué à Georges Leleu
850,00 €La grande lampe à pétrole en bronze massif que je vous présentes est une pièce d’exception, à la fois par sa richesse sculpturale et par son appartenance à l’époque de l’Art nouveau, un mouvement artistique qui a marqué la fin du XIXe siècle et le début du XXe.
Attribuée à Georges Leleu, artiste et créateur reconnu pour ses œuvres dans le domaine des arts décoratifs, cette lampe se distingue par son design floral raffiné et son exécution minutieuse.
La lampe, haute de 47 cm, est un exemple remarquable de la fusion entre fonctionnalité et esthétisme, deux principes chers aux créateurs de l’Art nouveau.
L’Art nouveau, dont l’influence s’est propagée dans toute l’Europe entre 1890 et 1910, était caractérisé par l’utilisation de formes naturelles et organiques.
Ce style visait à rompre avec les traditions académiques et à intégrer la beauté dans les objets du quotidien. Les créateurs de cette époque, qu’ils soient architectes, peintres ou artisans, cherchaient à fondre l’art dans la vie quotidienne.
La lampe en question s’inscrit pleinement dans cette démarche, en alliant l’aspect utilitaire d’un éclairage à pétrole avec une recherche artistique poussée.
Georges Leleu, bien qu’étant moins connu que certains de ses contemporains comme Emile Gallé ou Hector Guimard, a laissé une empreinte dans le domaine des arts décoratifs.
Sa maîtrise du bronze et sa capacité à retranscrire la nature dans ses créations font de lui un créateur typique de l’Art nouveau. La lampe attribuée à Leleu présente un riche motif floral, gravé dans le bronze massif, qui semble presque en mouvement, comme si les fleurs se déployaient au contact de la lumière.
La technique de sculpture du bronze, maîtrisée ici avec un soin particulier, témoigne du savoir-faire artisanal propre à cette époque. Les lignes souples et sinueuses des motifs floraux, emblématiques de l’Art nouveau, viennent adoucir la robustesse du bronze.
On y retrouve également un travail de ciselure remarquable, notamment dans les détails des pétales et des tiges, qui accentue le relief et la profondeur des motifs.
Cette dualité entre la solidité du matériau et la légèreté des formes est caractéristique des objets d’art de cette période.
Cette lampe ne se distingue pas seulement par son esthétique, mais aussi par son mode d’éclairage.
Fonctionnant à l’origine au pétrole, ce type de lampe était très répandu avant l’avènement de l’électricité dans les foyers.
Les lampes à pétrole étaient non seulement des objets pratiques, mais aussi des symboles de modernité et de confort à la fin du XIXe siècle. En tant qu’objet décoratif, elles étaient souvent réalisées avec un soin tout particulier, afin de s’intégrer harmonieusement dans les intérieurs bourgeois de l’époque.
Le design floral de la lampe fait écho aux mouvements artistiques qui cherchaient à réhabiliter les éléments naturels dans les objets quotidiens.
Les artistes de l’Art nouveau considéraient la nature comme une source d’inspiration infinie, et les motifs végétaux, floraux ou animaliers étaient souvent stylisés pour orner des meubles, des lampes et d’autres objets décoratifs.
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Sculpture bronze de la fin du XIXe siècle, représentant Molière assis dans un fauteuil avec la plume à la main, signé Pradier
1400,00 €Cette sculpture en bronze de la fin du XIXe siècle, signée Pradier, représente Molière, l’un des plus grands dramaturges français de tous les temps, assis dans un fauteuil, une plume à la main. Avec ses dimensions relativement modestes de 26 cm de haut, cette pièce se distingue par la précision de ses détails et l’expressivité de sa posture, qui incarnent l’essence même de l’artiste pensif et créatif.
Le personnage principal de la sculpture est Molière, vêtu de manière élégante avec une longue robe aux plis riches et fluides. L’attention aux détails est frappante, chaque pli de son vêtement étant soigneusement travaillé pour donner une impression de mouvement et de réalisme. La texture du tissu est finement ciselée, créant une juxtaposition entre la douceur de la robe et la dureté du bronze, matériau utilisé pour la réalisation de l’œuvre. Le bronze patiné confère à la sculpture une profondeur et une chaleur qui accentuent son caractère solennel. Molière est représenté dans une posture contemplative, avec la tête appuyée sur sa main gauche, le regard vague, comme s’il était en plein processus créatif ou en réflexion profonde.
L’autre main de Molière tient une plume, symbole indéniable de son métier d’écrivain. La plume, représentée avec une finesse délicate, renforce l’idée que cette sculpture capture un moment de création intellectuelle. Ce détail évoque non seulement la carrière prolifique de Molière, mais aussi son rôle primordial dans l’histoire de la littérature et du théâtre. Molière est connu pour avoir écrit certaines des plus grandes pièces de théâtre comique de l’histoire, telles que *Le Malade imaginaire*, *Tartuffe* et *L’Avare*. Sa plume, ici mise en avant, est l’instrument par lequel il a marqué de manière indélébile le patrimoine culturel français.
Le fauteuil sur lequel Molière est assis est lui aussi une œuvre d’art en soi. De style classique, il est richement décoré avec des motifs sculptés qui démontrent l’expertise du sculpteur. La base du fauteuil, ornée de franges et de motifs géométriques, porte également la signature de Pradier, gravée de manière lisible, affirmant ainsi l’authenticité et la qualité artistique de l’œuvre. Jean-Jacques Pradier, sculpteur de renom du XIXe siècle, est célèbre pour ses œuvres d’une grande finesse et son talent pour capturer les détails anatomiques et textiles de ses sujets.
Cette sculpture reflète parfaitement les tendances artistiques du XIXe siècle, marquées par un retour à des formes classiques et une admiration pour les grands hommes de lettres et d’art. L’art de cette période met souvent en avant les personnages historiques dans des poses héroïques ou méditatives, et cette œuvre ne fait pas exception. Molière est ici montré non pas comme un comédien sur scène, mais comme un penseur, un créateur dans un moment d’introspection. Cette représentation statique mais intense nous rappelle que l’éclat de ses œuvres vient avant tout de son génie créatif.
Le choix de représenter Molière dans un tel moment de quiétude intellectuelle témoigne également de la manière dont la fin du XIXe siècle a vu une réévaluation de la figure de l’écrivain. Molière, autrefois acteur et auteur comique, est ici érigé au rang de penseur profond, presque philosophe, soulignant la dimension intellectuelle de son travail.
Enfin, cette œuvre illustre également le savoir-faire technique des sculpteurs de cette époque.
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Coffret de 12 porte couteaux en métal chromé de Benjamin Rabier
Cet ensemble de douze porte-couteaux en métal argenté, inspiré par les célèbres Fables de La Fontaine, constitue une œuvre remarquable de l’époque Art déco. Créés par Benjamin Rabier (1869-1939), un artiste français de renom, ces porte-couteaux sont non seulement des objets d’art, mais aussi des témoignages d’une époque où l’élégance et le raffinement se reflétaient jusque dans les moindres détails du quotidien.
Benjamin Rabier, né en 1869, est souvent considéré comme l’un des précurseurs de la bande dessinée moderne. Il est particulièrement connu pour ses illustrations animalières, qui ont su capturer l’imaginaire populaire grâce à leur vivacité et leur humour subtil. Rabier a travaillé pour de nombreux journaux et éditeurs, et ses dessins ont marqué plusieurs générations. L’une de ses créations les plus célèbres est « La Vache qui rit », un logo emblématique qui est toujours utilisé aujourd’hui.
Rabier avait une affinité particulière pour les animaux, qu’il parvenait à humaniser sans pour autant leur faire perdre leur essence. Cette capacité se retrouve dans les illustrations qu’il a réalisées pour les Fables de La Fontaine, où chaque animal devient un personnage à part entière, doté de caractéristiques expressives et souvent humoristiques. Il a ainsi contribué à rendre ces fables, déjà populaires, encore plus accessibles et vivantes pour le grand public.
Les douze porte-couteaux de cet ensemble sont chacun une représentation minutieuse des animaux des fables de La Fontaine, signée « Benjamin Rabier » en creux sur la base. Ces petites sculptures traduisent la finesse du travail de l’artiste, qui a su donner vie aux histoires de La Fontaine à travers des figures telles que la Cigale et la Fourmi, le Corbeau et le Renard, ou encore le Loup et l’Agneau. Chaque porte-couteau raconte une histoire, capturant l’essence même des leçons morales que La Fontaine a voulu transmettre à travers ses récits.
Le choix de l’argenté pour ces objets n’est pas anodin. L’orfèvre Dilecta, reconnu pour la qualité de son travail durant la période Art déco, a collaboré avec Rabier pour créer des pièces qui allient esthétique et fonctionnalité. Le poinçon d’orfèvre apposé sur chaque porte-couteau atteste de la qualité du métal utilisé et du savoir-faire artisanal mis en œuvre. La période Art déco, avec son goût pour les lignes épurées et l’élégance sobre, se reflète parfaitement dans ces porte-couteaux qui allient tradition et modernité.
Les dimensions des porte-couteaux, variant entre 8 cm et 10 cm de longueur pour une largeur d’environ 2,5 cm, en font des objets à la fois pratiques et décoratifs.
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Grand mannequin articulé d’attraction foraine, automate vers 1980
1200,00 €Le grand mannequin de foire des années 1980, souvent placé à l’entrée d’attractions telles que les châteaux hantés, est un exemple fascinant d’automate conçu pour captiver l’attention et créer une expérience immersive dès l’abord d’une attraction. Mesurant environ 180 cm, ce mannequin se distingue non seulement par sa taille, mais aussi par sa capacité à interagir avec les passants, offrant une dimension interactive et presque humaine à ce qui aurait autrement pu être un simple décor.
Vêtu d’un costume élégant, peut-être inspiré des tenues formelles du XIXe siècle avec un chapeau haut de forme, l’automate possédait une allure à la fois imposante et accueillante. Son rôle n’était pas simplement décoratif. Il était conçu pour saluer les visiteurs, les complimenter sur leur apparence, et les inviter à pénétrer dans l’attraction. Cette interaction verbale, bien que simple, ajoutait une couche de personnalisation à l’expérience foraine, donnant aux visiteurs le sentiment d’être reconnus et accueillis personnellement.
L’automate était équipé de mécanismes permettant des mouvements articulés, une caractéristique qui, à l’époque, témoignait de l’ingéniosité des fabricants. La tête et les yeux du mannequin pouvaient bouger, suivant les visiteurs ou les fixant lorsqu’il leur adressait la parole. Ces mouvements, bien que limités comparés aux standards d’aujourd’hui, conféraient à l’automate une présence quasi vivante, renforçant l’atmosphère mystérieuse et immersive du château hanté ou de toute autre attraction où il se trouvait.
L’utilisation de tels automates dans les foires et parcs d’attractions des années 1980 s’inscrivait dans une tradition plus large de l’animation mécanique, un art qui remonte à plusieurs siècles. Toutefois, les modèles des années 1980, comme celui-ci, étaient souvent plus sophistiqués grâce aux avancées technologiques de l’époque. Les enregistrements sonores et les mécanismes de mouvement étaient plus fiables et réalistes, permettant à ces automates de fonctionner de manière plus fluide et convaincante.
Ces automates n’étaient pas seulement des objets d’animation, mais aussi des pièces d’ingénierie complexe, nécessitant un entretien régulier pour rester en bon état de fonctionnement. Avec le temps, et surtout avec l’évolution des technologies numériques et des effets spéciaux, ces mannequins mécaniques ont progressivement disparu des foires, remplacés par des dispositifs plus modernes et interactifs. Toutefois, leur rareté actuelle sur le marché de la brocante en fait des objets de collection très prisés, particulièrement lorsqu’ils sont en état de marche.
Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de trouver des automates de cette époque en bon état, surtout ceux qui ont conservé leur capacité à parler et à bouger. Le fait qu’ils soient encore fonctionnels ajoute une valeur significative, non seulement en tant qu’objets historiques, mais aussi en tant que témoins d’une période spécifique de l’histoire des foires. Ils représentent une époque où l’innovation technique se mêlait à l’art de la mise en scène pour créer des expériences inoubliables pour le public.
La popularité actuelle de la culture vintage et rétro a contribué à la redécouverte de ces automates, avec un regain d’intérêt pour les objets qui rappellent l’enfance de nombreux adultes d’aujourd’hui. Les collectionneurs et passionnés cherchent à retrouver ces pièces pour leur valeur esthétique, historique, et émotionnelle. En outre, ces automates incarnent une forme de technologie ancienne qui, bien qu’obsolète à certains égards, continue de fasciner par son ingéniosité et son charme.
Le grand mannequin de foire des années 1980, lorsqu’il est conservé et présenté dans des collections privées ou des expositions, évoque une époque où la technologie et l’artisanat se combinaient pour donner vie à des créations uniques.
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Belle table basse ronde en laiton de la maison Baguès, deux plateaux
650,00 €Belle Table Basse Ronde de Baguès : Élégance Intemporelle du XXe Siècle
La maison Baguès, synonyme de luxe et de raffinement, propose une somptueuse table basse de forme ronde, qui illustre parfaitement l’élégance intemporelle du mobilier du XXe siècle. Cette pièce distinctive, véritable chef-d’œuvre de décoration intérieure, se caractérise par une structure en laiton et deux plateaux en verre, conjuguant harmonieusement des matériaux nobles et un design raffiné.
Structure en Laiton : Éclat et Robustesse
Le laiton, un alliage précieux de cuivre et de zinc, est réputé pour sa durabilité et son apparence luxueuse. Dans cette table basse, la structure en laiton n’est pas seulement un choix esthétique mais également une déclaration de qualité et de solidité. Les artisans de Baguès ont façonné ce métal avec une précision exceptionnelle, créant une structure délicate mais robuste, capable de traverser les décennies sans perdre de son éclat ni de sa stabilité.
Les finitions en laiton poli confèrent à la table une brillance subtile qui capte la lumière de manière exquise, rehaussant ainsi son attrait visuel. Cette brillance est accentuée par les formes élégantes et arrondies de la structure, qui apportent une sensation de fluidité et de mouvement à l’ensemble. Les pieds de la table, finement travaillés, ajoutent une touche de sophistication supplémentaire, témoignant de l’attention portée aux moindres détails par les artisans de Baguès.
Plateaux en Verre : Transparence et Modernité
Cette table basse se distingue également par ses deux plateaux en verre, qui ajoutent une dimension de transparence et de légèreté. Le verre, matériau noble par excellence, apporte une touche de modernité tout en conservant une esthétique intemporelle. Les plateaux sont méticuleusement polis pour offrir une surface lisse et brillante, idéale pour mettre en valeur les objets décoratifs ou les livres disposés dessus.
Les deux niveaux de plateaux offrent une fonctionnalité supplémentaire. Le plateau supérieur, spacieux, est parfait pour y poser des magazines, des vases ou des tasses de café, tandis que le plateau inférieur offre un espace de rangement discret pour d’autres objets, permettant de garder la surface principale dégagée et ordonnée. Cette conception à deux niveaux est non seulement pratique, mais elle ajoute également une dimension visuelle intéressante, créant un jeu de perspectives et de reflets.Conception et Fabrication Artisanale
La maison Baguès est reconnue pour son savoir-faire artisanal et ses créations de haute qualité. Chaque table basse est le fruit d’un travail minutieux, où chaque détail est soigneusement pensé et réalisé. La combinaison de laiton et de verre n’est pas seulement esthétique mais aussi technique, nécessitant une précision et une maîtrise parfaite des matériaux.
Les artisans de Baguès utilisent des techniques traditionnelles, transmises de génération en génération, pour garantir la perfection de chaque pièce. Le processus de fabrication comprend plusieurs étapes, allant de la sélection des matériaux à l’assemblage final, chaque étape étant réalisée avec une attention particulière aux détails. Cette approche artisanale garantit que chaque table basse est unique, portant la signature de l’excellence et de l’authenticité.
Un Mobilier Intemporel
La table basse ronde de Baguès est plus qu’un simple meuble; c’est une œuvre d’art qui traverse le temps. Son design intemporel permet de l’intégrer aussi bien dans un intérieur classique que contemporain, apportant à chaque fois une touche de raffinement. Cette pièce s’inscrit parfaitement dans l’héritage de la maison Baguès, connue pour ses créations élégantes et ses techniques de fabrication traditionnelles.
Posséder une telle table, c’est s’offrir un morceau d’histoire du design et de l’artisanat français. Chaque élément de cette table, du laiton aux plateaux en verre, raconte une histoire de passion et de savoir-faire, reflet d’une époque où le mobilier était conçu pour durer et pour être admiré.
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Grand pique cierge ancien en bois sculpté, époque 17e siècle
1300,00 €Le grand pique-cierge ancien en bois sculpté que nous présentons est une œuvre remarquable datant du XVIIe siècle. Ce type de mobilier liturgique était couramment utilisé dans les églises pour soutenir de grands cierges, participant ainsi à l’atmosphère solennelle des cérémonies religieuses. Cet exemplaire, mesurant 156 cm de hauteur totale, se distingue par son design élégant et sa finesse de réalisation, caractéristiques du savoir-faire artisanal de l’époque.
Description détaillée
Bois sculpté : Le bois utilisé pour ce pique-cierge est finement sculpté, témoignant d’une grande maîtrise technique et artistique. Chaque détail est travaillé avec soin, ce qui confère à l’objet une grande richesse visuelle. Les motifs sculptés pourraient inclure des éléments floraux, des arabesques ou des motifs géométriques typiques de l’époque baroque, bien que l’usure du temps puisse en avoir atténué certains aspects.
Piétement tripode : Le support repose sur un piétement tripode, une configuration classique qui assure une stabilité optimale. Chaque pied est magnifiquement sculpté en forme de griffe, une caractéristique stylistique qui évoque la force et la majesté. Sous chaque griffe, une boule décorative ajoute une touche supplémentaire de sophistication et de stabilité visuelle.
Conversion en lampe : À une période ultérieure de son histoire, ce pique-cierge a été transformé en lampe. Cette adaptation témoigne de la polyvalence de l’objet et de sa capacité à traverser les époques en s’adaptant à des usages divers. Cette transformation a probablement impliqué l’ajout de composants électriques, tout en respectant l’intégrité esthétique de la pièce originale.
État de conservation
Malgré les siècles écoulés, ce pique-cierge est en relativement bon état. Les signes d’usure naturelle, tels que les petites fissures, les éraflures ou les altérations mineures du bois, ajoutent à son charme et attestent de son authenticité. Le bois a probablement été traité et entretenu au fil des ans pour prévenir la dégradation et conserver sa beauté d’origine.
Importance historique et esthétique
Ce grand pique-cierge est plus qu’un simple objet décoratif. Il représente un morceau d’histoire, une fenêtre sur les pratiques et l’artisanat du XVIIe siècle. À cette époque, les objets liturgiques étaient souvent conçus avec une grande attention aux détails et à la symbolique, chaque élément ayant une signification particulière. Les pieds en forme de griffe, par exemple, pouvaient symboliser la protection divine ou la force spirituelle.
Utilisation contemporaine
Dans un contexte moderne, ce pique-cierge peut être intégré dans divers environnements. Dans une collection privée, il servira de pièce maîtresse, illustrant le goût pour les antiquités et l’art sacré.
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Statuette de prière, moine Bouddhiste fin XVIIIe en bois sculpté
Voici une magnifique et ancienne sculpture en bois polychromé, représentant un moine bouddhiste en prière. Datant de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle, cette œuvre est un exemple remarquable de l’artisanat de cette époque. Le bois utilisé pour la sculpture est exceptionnellement léger, un détail qui souligne l’habileté et la maîtrise des artisans de l’époque. Cette légèreté pourrait également indiquer l’utilisation de bois de haute qualité, soigneusement sélectionné pour ce type de travail délicat.
La statuette présente une particularité intrigante : sa tête est amovible, se détachant comme un bouchon. Cette caractéristique unique suggère que la sculpture pouvait être utilisée pour cacher un objet de valeur ou une lettre de prière. Dans les traditions bouddhistes, il n’est pas rare que des objets sacrés soient dissimulés à l’intérieur de statues, ajoutant ainsi une dimension mystique et fonctionnelle à l’œuvre. Cette possibilité confère à la statuette un intérêt supplémentaire, transformant un simple objet de dévotion en un réceptacle de secrets spirituels.
Mesurant 19,5 cm de hauteur, la statuette est d’une taille idéale pour être manipulée et exposée avec élégance. Sa taille compacte n’enlève rien à la richesse de ses détails. Les traits du visage du moine et la position de ses mains en prière sont finement sculptés, reflétant une profonde dévotion et une sérénité intérieure. La polychromie, bien que partiellement usée par le temps, reste visible et ajoute une dimension colorée et vivante à l’œuvre. Les pigments utilisés sont typiques de l’époque et apportent une touche d’authenticité supplémentaire à cette pièce ancienne.
Il est important de noter que, malgré son ancienneté, la statuette a conservé une grande partie de sa beauté originale. Quelques imperfections sont visibles, comme en témoignent les photos, mais ces marques du temps ne font qu’ajouter à son charme et à son authenticité. Elles racontent l’histoire de l’objet, témoignant de son passage à travers les siècles et de son utilisation par des générations de fidèles. Ces imperfections ne sont pas des défauts, mais des preuves de l’histoire riche et complexe de cette œuvre.
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Ensemble de 4 Moineaux en Cristal Lalique France, par Marc Lalique
Ensemble de 4 moineaux en cristal de la maison Lalique, signé en sur le devant de la terrasse, fabrication de la période de Marc Lalique.
Marc Lalique (1900-1977), fils de René Lalique, a su perpétuer et enrichir l’héritage de la célèbre maison Lalique, fondée par son père en 1888. René Lalique, maître-verrier et joaillier de renommée mondiale, était connu pour ses créations Art Nouveau et Art Déco. Marc, ayant grandi dans cet environnement artistique, a naturellement été imprégné de l’expertise et de la vision de son père, qu’il a su adapter et transformer avec son propre style et ses innovations techniques.
Après la mort de René Lalique en 1945, Marc a pris les rênes de l’entreprise familiale. L’une de ses premières grandes contributions a été la transition de la production Lalique vers le cristal. Avant cette époque, les créations Lalique étaient principalement en verre. Marc a compris que le cristal offrait de nouvelles possibilités en termes de pureté, de brillance et de subtilité des détails. Cette transition a marqué un tournant décisif pour la maison Lalique, consolidant sa réputation de créateur de pièces de luxe d’une qualité inégalée.
Les moineaux en cristal, un des thèmes récurrents et iconiques de la maison Lalique, illustrent parfaitement la vision de Marc. Sous sa direction, la maison a continué à produire des œuvres d’une beauté saisissante et d’une qualité exceptionnelle, alliant des techniques de soufflage et de taille de cristal héritées de son père à des innovations modernes. Chaque moineau est sculpté avec une minutie exemplaire, capturant la légèreté et la délicatesse de l’oiseau, tout en jouant avec la transparence et la luminosité du cristal. La signature sur le devant de la terrasse témoigne de l’authenticité et de la qualité de l’œuvre.
Marc Lalique n’a pas seulement maintenu l’excellence de la maison, il a aussi su la faire évoluer. Sous sa direction, Lalique a étendu sa gamme de produits pour inclure des luminaires, des vases, des flacons de parfum et des objets décoratifs, tout en continuant à produire des bijoux de haute qualité. Il a également collaboré avec des designers et des artistes de renom, élargissant ainsi l’influence et l’attrait de la marque.
La période de Marc Lalique est souvent considérée comme une époque d’innovation et de consolidation. Ses créations ont su capter l’esprit de leur temps tout en restant fidèles aux principes esthétiques et techniques de la maison Lalique. Ses œuvres sont aujourd’hui très recherchées par les collectionneurs et les amateurs d’art, témoignant de leur valeur artistique et historique.
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Deux meubles vintage rares de la marque Canson Meuble, en bois
Deux Meubles Vintage de la Marque Canson : Une Rareté pour les Amateurs de Design
Vous avez l’opportunité d’acquérir deux meubles vintage d’exception de la prestigieuse marque Canson. Ces pièces uniques en bois sont conçues pour répondre à des besoins de rangement spécifiques tout en apportant une touche esthétique indéniable à votre intérieur. Voici en détail ce que ces meubles peuvent offrir.
Caractéristiques et Fonctionnalités
Chaque meuble est équipé de cinq tiroirs spacieux, idéaux pour le rangement de feuilles au format Raisin (50 x 65 cm). Ces tiroirs permettent de stocker entre 500 et 600 feuilles selon le grammage du papier. Ce large espace de rangement est parfait pour les artistes, les architectes ou toute personne ayant besoin de conserver des documents de grande taille en parfait état.
Les dimensions de chaque meuble sont les suivantes : une hauteur de 38 cm, une largeur de 72,5 cm, et une profondeur de 57 cm. Ces mesures compactes permettent aux meubles de s’intégrer facilement dans divers espaces de votre maison ou de votre bureau.
Esthétique et Polyvalence
Le design vintage de ces meubles en bois ajoute une touche d’élégance rétro à n’importe quelle pièce. Leur finition soignée et leur allure intemporelle les rendent parfaits pour des usages variés. Outre leur fonction première de rangement de papier, ces meubles peuvent être détournés en éléments de décoration uniques.
Par exemple, en tant que tables de chevet, ils apporteront une note de charme et de caractère à votre chambre. Leurs tiroirs peuvent accueillir non seulement du papier, mais également des livres, des accessoires, ou tout autre objet que vous souhaitez garder à portée de main. De même, placés dans un salon, ils peuvent servir de tables d’appoint ou de rangements élégants pour divers objets de décoration.
Un Investissement Durable
Investir dans ces meubles Canson, c’est choisir la durabilité et la qualité. La marque Canson est reconnue pour son expertise et son engagement envers des produits de haute qualité. Le bois utilisé pour ces meubles est robuste et résistant, garantissant une longévité remarquable. Ce sont des pièces qui ne se démodent pas et qui peuvent même prendre de la valeur avec le temps, grâce à leur caractère vintage et leur rareté.
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Série complète de 12 porte-couteaux YER en verre dans sa boîte d’origine
250,00 €Je propose une série complète de 12 porte-couteaux YER, soigneusement conservés dans leur boîte d’origine, datant des années 1930. Ces porte-couteaux en verre moulé sont une œuvre d’art raffinée de la marque française YER, nommée d’après la vallée de la rivière Yerre dans l’Essonne. Ils incarnent un savoir-faire d’époque et un design intemporel qui ravira les amateurs de pièces de collection et les passionnés de décoration vintage.
La série se compose de douze porte-couteaux, chacun mesurant environ 10 cm. Chaque pièce présente un motif distinctif représentant un animal, apportant ainsi une touche de charme et de diversité à votre table. Les motifs inclus sont deux canards, deux chiens, deux poissons, deux oiseaux de paradis, deux escargots et deux écureuils. Ces animaux sont sculptés avec une précision remarquable, chaque détail du design reflétant l’excellence artisanale de YER. La qualité du verre moulé permet de capturer des détails fins et des textures variées, donnant vie aux animaux représentés.
Les porte-couteaux sont en parfait état, sans fissures, éclats ou autres imperfections, ce qui témoigne de leur conservation minutieuse au fil des décennies. Le verre est transparent, brillant et opaque, avec une finition lisse qui accentue les détails sculptés. Chaque pièce est non seulement fonctionnelle pour maintenir les couteaux en place, mais aussi esthétiquement plaisante, ajoutant une touche de sophistication à toute présentation de table.
La boîte d’origine, également en excellent état, complète cette série de manière élégante. Elle est conçue pour protéger les porte-couteaux tout en les exposant de manière raffinée. Le design de la boîte reflète le style de l’époque, avec une attention particulière aux détails qui la rend aussi précieuse que les porte-couteaux eux-mêmes.
Les porte-couteaux YER des années 1930 sont devenus des pièces de collection recherchées, non seulement pour leur beauté mais aussi pour leur rareté. En effet, la marque YER est reconnue pour sa production limitée et son engagement envers la qualité, ce qui confère à chaque pièce une valeur accrue. Cette série complète représente donc une opportunité unique d’acquérir un ensemble d’objets historiques et décoratifs.
En possédant cette série de porte-couteaux, vous ne faites pas seulement l’acquisition de pièces fonctionnelles pour vos repas, mais vous investissez également dans un morceau d’histoire du design français. Ils sont parfaits pour les collectionneurs d’objets vintage, les amateurs de verrerie ancienne ou toute personne cherchant à ajouter une touche d’élégance à ses réceptions.
En résumé, cette série de porte-couteaux YER est une pièce rare qui allie l’élégance du design des années 1930 à une qualité de fabrication exceptionnelle. En parfait état et conservée dans sa boîte d’origine, elle constitue une opportunité précieuse pour enrichir une collection ou embellir une table avec un charme d’antan. Ne laissez pas passer cette chance d’acquérir un ensemble de porte-couteaux qui raconte une histoire et ajoute une touche de sophistication à chaque repas.
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Très beau Bonheur-du-jour à système, milieu XIXe siècle en acajou
Parmi les meubles anciens, certains se distinguent par une beauté indéniable. Ce bonheur-du-jour à système du milieu du XIXe siècle en est un exemple remarquable. Ce bureau de dame, entièrement réalisé en acajou de Cuba massif et en placages, est un témoignage d’une élégance rare et d’un savoir-faire artisanal d’exception.
Le meuble est conçu autour d’un miroir biseauté central, flanqué de chaque côté par deux colonnes de quatre tiroirs chacune, surmontées d’un plateau de marbre. Les tiroirs, les montants, la ceinture et la galerie sont ornés de bronze doré finement ciselé, présentant des motifs en filets et draperies délicatement travaillés. Sous le miroir, un large tiroir central renforce la symétrie parfaite de ce meuble classique.
L’une des caractéristiques les plus remarquables de ce bonheur-du-jour est son plateau amovible. En le tirant, on découvre une élégante tablette d’écriture recouverte de tissus type velours de couleur moutarde. Ce geste déclenche un mécanisme ingénieux qui déverrouille simultanément le tiroir vitrine central et les deux tiroirs latéraux. Le motif central, riche en entrelacs, rappelle les goûts néogothiques et l’éclectisme naissant de l’époque. À gauche du bureau se trouve un encrier, tandis qu’à droite, on trouve une saupoudreuse.
La ceinture du meuble est ornée de fines draperies, créant une harmonie visuelle avec le plateau. Les pieds cannelés du bureau sont agrémentés de bronze doré et se terminent en pieds toupie. Le grand tiroir central, habilement divisé visuellement en trois sections, poursuit l’idée de symétrie inspirée du néoclassicisme. En tout, ce bureau de dame comporte dix tiroirs, tous en parfait état de fonctionnement.
Ce bonheur-du-jour ne se distingue pas seulement par son apparence, mais également par la complexité de son mécanisme. En effet, le système qui permet de déverrouiller les tiroirs est une merveille d’ingénierie du XIXe siècle, intégrant à la fois esthétique et fonctionnalité. La présence de ces tiroirs et de leurs mécanismes sophistiqués montre bien l’importance accordée à la praticité et à l’organisation, tout en restant fidèle à une ligne élégante et décorative.
Le miroir biseauté, central dans la conception du meuble, non seulement ajoute à son allure majestueuse, mais reflète également la lumière, illuminant ainsi l’ensemble de la pièce où il est placé. Le marbre du plateau ajoute une touche de luxe, complétant ainsi l’acajou et le bronze doré pour un effet visuel harmonieux.
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Grand buste en plâtre ancien, Jean de La Fontaine, 77 cm, début XXe
Grand Buste en Plâtre Ancien de Jean de La Fontaine
Ce grand buste en plâtre, datant du début du XXe siècle, représente l’une des figures les plus illustres de la littérature française : Jean de La Fontaine. D’une hauteur impressionnante d’environ 80 cm, cette œuvre dégage une présence imposante et majestueuse qui capte immédiatement l’attention.
Jean de La Fontaine : Une Figure Éminente
Jean de La Fontaine (1621-1695) est surtout connu pour ses fables, des récits allégoriques mettant en scène des animaux pour transmettre des leçons morales et philosophiques. Ses œuvres, parmi lesquelles « Le Corbeau et le Renard » et « La Cigale et la Fourmi », font partie intégrante du patrimoine culturel français et ont influencé de nombreuses générations. La Fontaine a su capturer l’essence de la nature humaine avec une simplicité et une élégance littéraire qui demeurent inégalées.
Description et Analyse Artistique
Le buste en plâtre capture La Fontaine dans une posture classique, souvent attribuée aux grands penseurs et écrivains. Les détails minutieusement sculptés reflètent le talent et la dextérité de l’artiste anonyme qui a su donner vie à ce personnage historique.
– Expression Faciale : Le visage de La Fontaine est finement sculpté, avec une expression sereine mais contemplative. Ses yeux semblent perdus dans une réflexion profonde, évoquant l’image du poète philosophe en pleine méditation.
– Chevelure et Détails Vestimentaires : La chevelure, abondante et bouclée, est représentative des portraits classiques de La Fontaine, conférant un aspect à la fois réaliste et idéalisé. Les plis de son vêtement sont rendus avec une grande précision, soulignant le soin apporté à chaque détail.
– Matériau : Le plâtre, matériau souvent utilisé au début du XXe siècle pour la réalisation de bustes et de sculptures, permet un niveau de détail élevé tout en étant plus accessible que le marbre ou le bronze. Bien que plus fragile, le plâtre donne une texture douce et une finition lisse qui accentuent les traits du visage et les courbes du vêtement.
Contexte Historique et Artistique
Au début du XXe siècle, la France connaît un renouveau artistique, avec un intérêt croissant pour les grands auteurs et figures historiques du passé. Les bustes en plâtre de personnalités littéraires deviennent des objets de décoration prisés, symboles de culture et d’érudition.
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Taureau en pleine action, épreuve en bronze massif à patine vert nuancée
L’œuvre que nous vous présentons est une épreuve en bronze à patine brun vert nuancé, représentant un taureau en pleine action, prêt à charger. Cette sculpture dynamique et pleine de vie est l’œuvre de Pierre Chenet, un sculpteur renommé qui possède toujours sa propre fonderie d’art à Apt, en France.
Pierre Chenet est particulièrement connu pour ses œuvres animalières, qu’il réalise avec une grande maîtrise technique et artistique. Son expertise dans l’art de la patine est indéniable, et chaque pièce en bronze qu’il crée bénéficie d’une patine unique qui confère à chacune un caractère particulier et inimitable. Bien que les éditions en bronze soient nombreuses, cette capacité à offrir à chaque sculpture une finition singulière fait toute la différence dans son travail.
Cette épreuve-ci est signée et réalisée par l’auteur lui-même, attestant de l’authenticité et de la qualité de l’œuvre. La patine brun vert nuancé de ce taureau en charge accentue les détails et les lignes de la sculpture, mettant en valeur la puissance et la détermination de l’animal. Le taureau est représenté dans un moment de grande intensité, prêt à bondir, les muscles tendus et l’expression féroce. Cette représentation réaliste et énergique témoigne du talent de Chenet pour capturer l’essence et l’esprit des animaux dans ses sculptures.
L’œuvre date du XXe siècle et est en bon état général, ce qui témoigne de la qualité de la fonte et de la durabilité des matériaux utilisés. Les dimensions de la sculpture sont de 41 cm de largeur et de 28 cm de hauteur, ce qui en fait une pièce imposante mais équilibrée, capable d’attirer le regard et d’animer l’espace dans lequel elle est exposée.
La fonderie de Pierre Chenet, toujours en activité à Apt, est un lieu où l’art et la technique se rencontrent pour donner naissance à des œuvres d’exception. En tant qu’artiste, Chenet met un point d’honneur à superviser et à participer directement à la création de ses pièces, de la conception à la réalisation finale. Cela garantit non seulement la qualité de chaque œuvre, mais également sa singularité.
Cette sculpture de taureau en pleine action est donc une pièce remarquable pour plusieurs raisons. Elle illustre le talent de Pierre Chenet pour capturer la vitalité et la force des animaux, sa maîtrise de la patine qui rend chaque pièce unique, et son engagement personnel dans chaque étape du processus de création.
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Bronze à patine brun vert nuancé, buste d’un homme dénudé et musclé
L’épreuve en bronze à patine brun vert nuancé représente le buste d’un homme dénudé et musclé. Cette sculpture captivante est une fonte d’édition, signée et réalisée par Pierre Chenet, un artiste renommé. Chenet possède une fonderie d’art à Apt, où il se consacre principalement à la création d’œuvres animalières. Cependant, cette pièce montre sa capacité à capturer la beauté et la force du corps humain avec une grande précision et sensibilité.
Pierre Chenet est un maître dans l’art de la patine, et bien que ses éditions en bronze soient nombreuses, il confère à chaque pièce une patine particulière, rendant chacune unique. La patine brun vert nuancé de cette sculpture apporte une profondeur et une richesse de ton qui accentuent les détails de la musculature et les contours du visage. La technique de patine utilisée par Chenet donne à cette œuvre une apparence vivante et dynamique, reflétant la lumière de manière subtile et élégante.
Cette sculpture date du XXe siècle et est en bon état général, ce qui témoigne de la qualité et de la durabilité du travail de Chenet. Le buste a des dimensions imposantes avec une largeur de 17 cm, une hauteur de 48 cm et une profondeur de 15 cm. Ces dimensions, associées à la qualité de la patine et à la précision des détails, lui confèrent une présence majestueuse et impressionnante. La musculature est finement travaillée, chaque courbe et chaque saillie sont rendues avec un réalisme saisissant. L’expression du visage est également remarquablement détaillée, capturant une intensité et une sérénité qui ajoutent à l’impact visuel de la pièce.
Pierre Chenet, bien que principalement connu pour ses sculptures animalières, démontre à travers ce buste son talent polyvalent. Il est capable de capturer non seulement l’essence des animaux, mais aussi la beauté et la force du corps humain. Cette œuvre est un excellent exemple de sa capacité à transposer son expertise en sculpture animalière à la représentation humaine, en maintenant un niveau de détail et de réalisme exceptionnel.
La patine brun vert nuancé choisie par Chenet pour cette sculpture est particulièrement réussie. Elle apporte une richesse de couleur qui met en valeur les détails de la sculpture tout en ajoutant une dimension de profondeur et de texture.
La patine est appliquée avec une grande maîtrise, créant des variations subtiles de couleur et de ton qui rendent chaque pièce unique. Cela témoigne du savoir-faire artisanal de Chenet et de son engagement à créer des œuvres d’art uniques et de haute qualité.
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Bureau en capucin ou bureau à culbute de style Louis XV, époque début du XXe siècle
Le bureau capucin est un meuble à transformation, caractérisé par un plateau qui se rabat pour révéler un gradin de forme circulaire. Ce gradin rappelle le capuchon de l’ordre religieux des Capucins, d’où le meuble tire son nom. Ce type de meuble est également désigné sous le nom de « secrétaire à culbute » ou « bureau en capucin ».
Le secrétaire à culbute se présente comme une table de salon élégante. Son plateau, lorsqu’il est relevé, forme une table de lecture. Une tigette métallique maintient le plateau en position, et le bord du plateau est conçu pour retenir des ouvrages ou des partitions. Le gradin, qui peut être en forme de capuchon de moine, se rétracte astucieusement dans le plateau. Grâce à un bouton poussoir situé sur le flanc du meuble, le dos d’âne se libère et culbute sous le plateau, transformant la table en écritoire. Ce dos d’âne comprend souvent un compartiment secret et des tiroirs. Parfois, un écran de tissu peut être relevé à l’arrière du meuble, ajoutant une touche de mystère et de fonctionnalité.
Ce type de meuble fit son apparition au milieu du XVIIIe siècle, une époque marquée par le goût des Lumières pour les meubles transformables et les mécanismes ingénieux. Cette période voyait la curiosité et l’innovation se refléter dans le mobilier, où les meubles devaient non seulement être esthétiques mais aussi multifonctionnels. Des exemples notables de cette tendance incluent des commodes se transformant en lit pour femme de chambre, des tables à la Bourgogne, et d’autres meubles à secrets dotés de mécanismes de serrures complexes.
Le succès des bureaux capucin, ou secrétaires à culbute, atteignit son apogée dans les années 1750 et 1760. Cette popularité peut être attribuée à Antoine Gaudreaux (vers 1680-1751), l’inventeur du premier secrétaire en dos d’âne, livré pour Marie Leszczynska à Fontainebleau en 1733. Ce meuble innovant combinait élégance, praticité et ingéniosité mécanique, capturant l’essence de l’époque. L’importance de ces meubles est également soulignée par Roubo, qui en a détaillé la construction dans son Encyclopédie publiée en 1774.
Plusieurs exemplaires de secrétaires à culbute sont conservés aujourd’hui, témoignant de leur importance historique et artistique.
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Alexandre Falguière (1831-1900) sculpture en bronze de Diane, déesse Romaine
Alexandre Falguière : Un Maître de la Sculpture Française
Alexandre Falguière, né Jean Alexandre Joseph Falguière le 7 septembre 1831 à Toulouse et décédé le 20 avril 1900 à Paris, est une figure emblématique de la sculpture française du XIXe siècle. Il a marqué son époque par son talent exceptionnel, son inventivité artistique et son influence durable sur les générations suivantes de sculpteurs.
Jeunesse et Formation
Falguière a grandi dans une famille modeste. Très tôt, il montre un intérêt marqué pour les arts. Son talent est rapidement remarqué, et il reçoit une bourse pour étudier à l’École des Beaux-Arts de Toulouse, où il se forme sous la direction de sculpteurs locaux. À 18 ans, il part pour Paris pour poursuivre sa formation à l’École des Beaux-Arts de Paris, une institution prestigieuse qui forme les plus grands artistes de l’époque.
En 1859, Falguière remporte le grand prix de Rome de sculpture pour son bas-relief « Méphistophélès apparaissant à Faust dans son cabinet ». Ce prix lui permet de séjourner à la Villa Médicis à Rome, où il s’imprègne de l’art classique et de la Renaissance italienne, influençant durablement son style. À son retour en France, il commence à exposer régulièrement au Salon, où ses œuvres attirent l’attention du public et des critiques.
En 1864, il réalise « Le Vainqueur au combat de coqs », une sculpture en bronze qui remporte un immense succès et le propulse au premier plan de la scène artistique. Cette œuvre, caractérisée par son dynamisme et sa précision anatomique, révèle son talent pour capter le mouvement et l’émotion.
Œuvres Majeures
Parmi ses œuvres les plus célèbres figure « Diane Chasseresse » (1882), une sculpture en bronze patiné représentant la déesse de la chasse, Diane, en buste. Cette œuvre, signée et portant le cachet du fondeur «Thiébaut Frères fondeurs Paris», est remarquable par sa finesse et son élégance. Falguière excelle dans l’art de rendre la beauté et la grâce féminine tout en respectant les canons classiques de la sculpture.
Enseignement et Influence
Au-delà de sa carrière de sculpteur, Falguière a joué un rôle crucial en tant qu’enseignant. En 1882, il devient professeur à l’École des Beaux-Arts de Paris, où il forme de nombreux élèves qui deviendront à leur tour des sculpteurs renommés. Son enseignement, basé sur une solide compréhension de l’anatomie et du mouvement, a influencé une génération entière d’artistes.
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Rare grande tasse couverte en porcelaine Allemande Berlin KPM XIXe
La pièce en question est une superbe tasse couverte en porcelaine allemande, fabriquée à Berlin par la célèbre Manufacture royale de porcelaine, plus connue sous l’acronyme KPM (Konigliche Porzellan Manufaktur Berlin). Datant approximativement de la période 1820-1840, cette tasse représente une véritable œuvre d’art de son époque.
Le paysage représenté sur cette tasse transporte l’observateur dans une ambiance paisible et nostalgique. Le pont, symbole de passage et de connexion, est magnifiquement dessiné, et les ruines ajoutent une touche de mystère et de romantisme. Ce genre de décor était très apprécié à l’époque, car il évoquait à la fois la beauté de la nature et les vestiges du passé.
La tasse elle-même est d’une élégance indéniable. Sa forme est gracieuse et équilibrée, avec des lignes fluides et harmonieuses. Le couvercle assorti ajoute non seulement à la fonctionnalité de la pièce, mais aussi à son esthétique globale. La dorure qui orne la tasse et son couvercle apporte une touche de luxe et de sophistication supplémentaire. Bien que la pièce soit en très bon état général, il convient de noter un léger manque de dorure sur le couvercle, signe discret du passage du temps mais n’altérant en rien la beauté et la valeur de l’objet.
La Manufacture royale de porcelaine de Berlin, fondée en 1763 sous les auspices du roi Frédéric II de Prusse, a toujours été synonyme de qualité et de perfection dans le domaine de la porcelaine. Les pièces produites par KPM sont prisées des collectionneurs du monde entier pour leur beauté, leur finesse et leur durabilité. La manufacture a su maintenir des standards de production élevés, alliant tradition et innovation pour créer des pièces uniques et précieuses.
La porcelaine de Berlin, réputée pour sa qualité exceptionnelle et son raffinement, est ici parfaitement illustrée. La tasse arbore une signature distinctive avec le sceptre bleu, une marque de fabrique de KPM, garantissant son authenticité et son origine prestigieuse. Le sceau du sceptre bleu est un symbole de la qualité et de l’excellence des productions de la manufacture royale.
Le décor de cette tasse est particulièrement remarquable. Elle présente un paysage lacustre pittoresque, mettant en scène un pont et de vieilles ruines. Le choix du motif témoigne d’un goût prononcé pour les scènes romantiques et idylliques, très en vogue au début du XIXe siècle. Les détails du décor sont finement exécutés, chaque élément étant peint avec une grande précision et une délicatesse qui reflètent le savoir-faire des artisans de KPM.
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Joseph d’Aste, superbe statue de l’enfant Bacchus en marbre blanc
2200,00 €Une Œuvre Magnifique : L’Enfant Bacchus de Joseph d’Aste
Introduction
La sculpture de l’Enfant Bacchus, une œuvre en marbre blanc signée par Joseph d’Aste, est une pièce exceptionnelle qui attire l’œil par sa beauté et sa finesse. Né en 1181 et décédé en 1945, d’Aste a laissé derrière lui un héritage artistique impressionnant, et cette sculpture en est un témoignage remarquable. Haute de 51 cm, elle repose sur un socle aux teintes éclatantes de jaune, bordeaux et blanc, ajoutant une touche de vivacité et de contraste à la pureté du marbre.
Description de l’Œuvre
La sculpture représente Bacchus enfant, le dieu romain du vin et des festivités, avec une expressivité et une vivacité qui captivent immédiatement l’observateur. Dans une main, l’enfant Bacchus tient une coupe, symbole de célébration et de délices dionysiaques. Dans l’autre main, il tient son vêtement délicatement drapé, qui porte une grappe de raisin, emblème de l’abondance et de la fertilité.
Détails du Socle
Le socle de la sculpture, avec ses couleurs mouchetées de jaune, de bordeaux et de blanc, offre un contraste saisissant avec le marbre blanc immaculé de la statue. Les nuances vives du socle rehaussent l’éclat et la délicatesse de la figure en marbre, tout en apportant une dimension supplémentaire à l’ensemble de l’œuvre. Cette base soigneusement choisie et colorée semble souligner l’importance de la sculpture tout en la mettant subtilement en valeur.
Expression et Posture
L’expression du jeune Bacchus est d’une douceur et d’une innocence désarmantes, capturant parfaitement la joie insouciante de l’enfance divine. Sa posture, à la fois gracieuse et naturelle, témoigne de la maîtrise de d’Aste dans le rendu des formes humaines et de la vitalité. Chaque détail, des boucles de ses cheveux aux plis de son vêtement, est exécuté avec une précision minutieuse, révélant le talent exceptionnel de l’artiste.
Signification Symbolique
L’Enfant Bacchus, tenant une coupe et des raisins, symbolise la jeunesse, la vitalité et l’abondance. Cette représentation d’un dieu souvent associé à l’excès et à la joie de vivre, mais ici en version enfantine, offre une interprétation fraîche et touchante de la mythologie classique. Elle rappelle également l’importance de la nature et des cycles de croissance, des thèmes chers à d’Aste et souvent présents dans ses œuvres.
L’Héritage de Joseph d’Aste
Joseph d’Aste, dont la vie s’étend sur plusieurs siècles, a su marier tradition et innovation dans ses créations.
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Magnifique coffret Français fin du 17e siècle en écaille de tortue
Découvrez un trésor exceptionnel : un magnifique et rare grand coffret du 17e siècle, véritable chef-d’œuvre de l’artisanat de l’époque. Ce coffret, probablement d’origine française, incarne l’élégance et le raffinement caractéristiques de cette période historique. Son esthétique et sa patine, témoignages de son authenticité, en font une pièce incontournable pour les amateurs et collectionneurs d’antiquités.
Ce coffret est remarquable par son matériau principal : l’écaille de tortue. Utilisé dès l’Antiquité pour ses qualités esthétiques et pratiques, l’écaille de tortue était particulièrement prisée au 17e siècle pour la fabrication d’objets de luxe. Sa teinte naturellement riche, variant du brun doré au noir profond, et ses motifs uniques créent un effet visuel à la fois somptueux et sophistiqué. Le coffret présente une belle patine, un indicateur de son âge et de son authenticité, ainsi que du soin avec lequel il a été conservé au fil des siècles.
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Coffre fort de Nuremberg ancien datant du XVIIe siècle en fer forgé
Voici un magnifique coffre-fort ancien en fer forgé, un véritable joyau provenant de Nuremberg et datant du 17e siècle. Témoignage d’une époque révolue, cet objet historique est exceptionnellement bien conservé et demeure en parfait état de fonctionnement. Avec des dimensions généreuses de 70 cm de longueur, 40 cm de largeur et 33 cm de hauteur, ce coffre-fort impressionne par sa robustesse et sa beauté.
Ce coffre-fort en fer forgé est une œuvre d’art à part entière, révélant la maîtrise artisanale des forgerons de Nuremberg du 17e siècle. Chaque détail, de la structure solide aux motifs décoratifs finement travaillés, illustre l’excellence de la fabrication de l’époque. La patine qui recouvre ce coffre ajoute une profondeur visuelle, témoignant de son ancienneté et de son authenticité. Ce fini patiné, résultat des années écoulées, confère au coffre une aura unique, le rendant encore plus précieux aux yeux des collectionneurs et des amateurs d’antiquités.
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Superbe présentoir de magasin, marque Siegel à Paris en laiton
Voici une magnifique et rare pièce d’antiquité : un présentoir de magasin en laiton datant d’environ 1925. Ce présentoir, signé par la prestigieuse maison Siegel Paris, est une véritable œuvre d’art qui se distingue par son design raffiné et son allure sophistiquée. Siegel Paris, connue pour son savoir-faire exceptionnel en matière de mobilier de luxe, a produit ce modèle unique qui est devenu aujourd’hui une rareté très prisée sur le marché des antiquités.
Ce présentoir se compose de trois étagères en verre biseauté, chacune soigneusement façonnée pour offrir non seulement une fonction pratique, mais également une esthétique élégante. Le verre biseauté ajoute une touche de raffinement et de brillance qui capte et reflète la lumière, créant ainsi une présentation visuelle attrayante pour les objets exposés. Les étagères sont réglables à la fois horizontalement et verticalement, offrant une flexibilité maximale pour l’affichage de divers articles de différentes tailles et formes.
Les dimensions du présentoir sont impressionnantes avec une hauteur totale de 118 cm, ce qui en fait une pièce de choix pour tout espace de vente cherchant à attirer l’attention. Sa taille imposante permet d’exposer une variété d’objets de manière élégante et organisée, tout en conservant une empreinte relativement compacte qui s’intègre facilement dans divers environnements.
Le cadre en laiton de ce présentoir est un véritable chef-d’œuvre de fabrication. Le laiton, connu pour sa durabilité et sa résistance à la corrosion, confère à la structure une longévité exceptionnelle tout en ajoutant une touche de luxe. La finition en laiton poli donne au présentoir une allure éclatante et attrayante qui s’harmonise parfaitement avec les étagères en verre.
Le piétement tripode est une caractéristique distinctive de ce présentoir, non seulement pour sa contribution à la stabilité de l’ensemble, mais aussi pour son design unique et élégant. Ce type de piétement est à la fois fonctionnel et décoratif, apportant une touche de sophistication supplémentaire à l’ensemble de la structure. La conception tripode assure une base solide et équilibrée, garantissant que le présentoir reste stable même lorsqu’il est chargé d’objets.
Le nom Siegel Paris est gravé sur ce présentoir, signe de son authenticité et de sa qualité supérieure. La maison Siegel Paris a une réputation bien établie pour la création de mobilier de luxe, et ce présentoir ne fait pas exception.
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Ensemble de luminaires par Flam & Luce pour Roche Bobois vers 1960
1600,00 €Présentation d’un Ensemble de Luminaires Flam & Luce pour Roche Bobois
L’ensemble de luminaires que nous avons ici comprend un grand lampadaire et une paire de lampes, conçus par Flam & Luce pour la prestigieuse marque Roche Bobois. Datant probablement des années 1960-1970, ces pièces se distinguent par un design sophistiqué et l’utilisation de matériaux de haute qualité, typiques de l’époque.
Description des Pièces :
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Grand Lampadaire :
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Matériaux : Le pied du lampadaire est fabriqué en bois exotique, peut-être du palissandre, un matériau apprécié pour sa durabilité et son allure luxueuse. Ce bois confère au lampadaire une présence imposante et élégante.
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Abat-jour : L’abat-jour en tissu écru, de forme trapézoïdale, diffuse une lumière douce et agréable, créant une ambiance chaleureuse et invitante. Le contraste entre le bois sombre et le tissu clair accentue l’aspect raffiné du design.
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Dimensions : Ce lampadaire de grande taille attire immédiatement l’attention, devenant un point focal dans n’importe quelle pièce. Sa hauteur impressionnante et sa silhouette élancée ajoutent une touche de grandeur et de modernité.
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Paire de Lampes :
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Matériaux : Les pieds des deux lampes sont également en bois exotique, assurant une continuité esthétique avec le lampadaire. Le choix de ce matériau reflète l’importance accordée à la qualité et à la durabilité.
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Abat-jour : Les abat-jours en tissu écru, similaires à ceux du lampadaire, garantissent une diffusion uniforme de la lumière, créant une ambiance cohérente et harmonieuse dans la pièce. La forme géométrique des abat-jours ajoute une touche de modernité.
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Dimensions : Ces lampes, de taille plus modeste que le lampadaire, sont idéales pour une utilisation sur des tables de chevet, des buffets ou des bureaux. Leur design compact et élégant les rend polyvalentes et faciles à intégrer dans divers espaces.
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Caractéristiques Distinctives
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Style Vintage : L’ensemble reflète parfaitement l’esthétique des années 60 et 70, une période marquée par une exploration audacieuse des formes et des matériaux. Les lignes géométriques et l’utilisation de bois exotique sont caractéristiques de cette époque.
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Qualité de Fabrication : La collaboration entre Flam & Luce et Roche Bobois est synonyme de qualité exceptionnelle. Les matériaux soigneusement sélectionnés et la précision dans la fabrication témoignent du savoir-faire artisanal.
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État de Conservation : Malgré leur âge, ces luminaires semblent avoir été bien entretenus. Leur état de conservation exceptionnel en fait des objets de collection prisés, capables d’ajouter une valeur esthétique et historique à tout intérieur.
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Marque Réputée : Roche Bobois est une marque emblématique dans le domaine du design d’intérieur. Posséder des pièces de cette marque, en particulier celles issues de collaborations avec des designers renommés comme Flam & Luce, est un gage de sophistication et de bon goût.
Utilisation et Intégration
Cet ensemble de luminaires est idéal pour les amateurs de design vintage et les collectionneurs. Il peut être intégré dans divers styles de décoration intérieure, du moderne au classique, en passant par l’éclectique. Voici quelques suggestions d’intégration :
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Salon : Le grand lampadaire peut être placé dans un coin de salon, à côté d’un canapé ou d’un fauteuil, pour créer un coin lecture élégant et lumineux. Les petites lampes peuvent être disposées sur des tables d’appoint pour un éclairage d’ambiance subtil.
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Œuvre de Gérard Dechamps, peinture technique de cousage et craie
750,00 €Présentation de l’œuvre de Gérard Deschamps
Né en 1937 à Lyon, Gérard Deschamps est un artiste phare du mouvement du Nouveau Réalisme, célèbre pour ses panoplies qui marient objets du quotidien et expressions artistiques. Le Nouveau Réalisme, apparu à la fin des années 1950 en pleine période d’après-guerre, a été l’un des premiers mouvements qualifiés de « contemporain » dans le panorama artistique français. Les artistes de ce courant se sont distingués par leur utilisation innovante d’objets trouvés, qu’ils intégraient dans leurs œuvres pour incarner les réalités de la société de consommation.
L’œuvre de Deschamps que nous présentons ici est datée de 1981. Elle est emblématique du Nouveau Réalisme par son approche matérielle et conceptuelle. Il s’agit d’une peinture réalisée à partir de cousage et de craie, mesurant 60 x 60 cm avec son encadrement. Cette œuvre s’inscrit dans une période de transition pour l’artiste, qui, depuis le milieu des années 1980, a exploré de nouvelles directions en incorporant des couleurs fluorescentes et des textures innovantes dans ses panoplies. Il s’est intéressé à des thèmes modernes tels que le surf et les ballons de plage, enrichissant ainsi son répertoire visuel.
Deschamps est notamment reconnu pour ses « pneumostructures » plus récentes, qui continuent de repousser les limites de son art en jouant avec les formes et les matériaux de manière audacieuse et créative. Cependant, cette œuvre de 1981 se situe juste avant cette période de transformation, offrant un aperçu fascinant de son travail antérieur tout en préfigurant ses expérimentations futures.
Le Nouveau Réalisme, tel que théorisé par Raymond Hains, se caractérise par l’utilisation d’objets de consommation courante, lesquels sont réappropriés par les artistes pour créer des œuvres d’art qui interrogent et reflètent les réalités sociales et économiques de leur époque. Dans cette œuvre, Deschamps utilise la technique de cousage, qui implique l’assemblage de divers matériaux textiles. L’utilisation de la craie, quant à elle, introduit une dimension éphémère et tactile, contrastant avec la permanence des matériaux cousus.
L’approche de Deschamps se distingue par son habileté à transformer des objets ordinaires en artefacts artistiques chargés de signification. Chaque élément de l’œuvre, qu’il s’agisse des matériaux textiles ou de la craie, est choisi pour sa capacité à évoquer des aspects spécifiques de la culture contemporaine et de la société de consommation. Par cette technique, Deschamps ne se contente pas de représenter le réel ; il l’incarne et le transcende, offrant au spectateur une nouvelle manière de voir et de comprendre le monde qui l’entoure.
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Imposante sculpture du faucon Horus des année 1950
650,00 €La grande sculpture en question est un moulage en plâtre réalisé vers 1950, représentant le faucon Horus avec une patine blanche et un aspect géométrique prononcé. Ce type de sculpture était probablement vendu à la sortie du Louvre dans les années 50, témoignant de l’intérêt grandissant pour l’art et la culture de l’Égypte ancienne en Europe à cette époque.
Le faucon Horus, divinité majeure dans la mythologie égyptienne, symbolise le pouvoir royal et la protection divine. Souvent représenté sous la forme d’un faucon ou d’un homme à tête de faucon, Horus est le fils d’Osiris et d’Isis, et est connu pour avoir vaincu Seth, l’usurpateur du trône. Dans cette œuvre, les formes géométriques et la patine blanche apportent une dimension moderne tout en respectant les canons esthétiques de l’art égyptien traditionnel. Les traits stylisés et épurés reflètent une interprétation contemporaine, adaptée aux goûts artistiques de l’après-guerre.
La sculpture, mesurant 57 cm de hauteur, impressionne par sa présence imposante et sa qualité de réalisation. Le plâtre, matériau choisi pour cette sculpture, confère à l’œuvre une certaine lourdeur et robustesse, accentuant son caractère monumental malgré une taille relativement modeste. La patine blanche, soigneusement appliquée, donne à la sculpture une apparence de pierre, renforçant l’illusion d’une œuvre ancienne et noble.
Dans les années 50, les moulages en plâtre étaient populaires comme souvenirs, permettant aux amateurs d’art de posséder une réplique d’œuvres emblématiques. Les visiteurs du Louvre, séduits par les trésors égyptiens exposés, pouvaient ainsi emporter chez eux une pièce rappelant leur visite. Ce faucon Horus, par sa qualité et son esthétique, aurait été un choix prisé.
La qualité de cette sculpture réside non seulement dans son matériau et sa patine, mais aussi dans la précision de ses détails. Les lignes nettes et les angles précis montrent une maîtrise technique remarquable. Le poids de la sculpture, dû au plâtre dense, ajoute une sensation de solidité et de permanence, contrastant avec la fragilité apparente du plâtre.
L’intérêt pour l’Égypte ancienne dans les années 50 était en grande partie stimulé par les découvertes archéologiques et les expositions muséales. Le Louvre, avec ses collections riches et variées, jouait un rôle clé dans la diffusion de cette passion. Les sculptures comme ce faucon Horus permettaient de démocratiser l’accès à l’art égyptien, rendant les symboles et les histoires de cette civilisation millénaire accessibles à un public plus large.
Aujourd’hui, cette sculpture en plâtre du faucon Horus reste un témoignage fascinant de cette époque. Elle incarne à la fois une admiration pour l’art ancien et une interprétation moderne de ses formes.
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Magnifique vase en porcelaine de Sèvres par Charles Fritz
Présentation d’un Vase Exceptionnel : Chef-d’œuvre Art Déco de Charles Fritz
Nous avons le plaisir de vous présenter un magnifique vase en porcelaine, un véritable joyau de l’époque Art Déco. Fabriqué dans les prestigieux ateliers de Sèvres en France, ce vase est une œuvre exceptionnelle de Charles Fritz, célèbre pour ses créations raffinées et son talent incomparable. Signé des initiales « CF » et daté de 1925, ce vase incarne parfaitement l’élégance et le style distinctif de cette période artistique.
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Grande statue en bois sculpté de la fin du XVIIe siècle représente Saint François de Sales
3500,00 €La grande statue en bois sculpté représentant Saint François de Sales, datant de la fin du XVIIe siècle, est un chef-d’œuvre de l’art sacré baroque. Mesurant 176 cm de hauteur, elle incarne l’essence même de la dévotion religieuse et de l’artisanat raffiné de cette époque.
Contexte Historique et Artistique
La fin du XVIIe siècle marque une période prolifique pour l’art religieux en Europe. Le style baroque, avec son goût pour le dramatique, l’émotionnel et le détaillé, était prédominant. Les statues de saints étaient couramment commandées par les églises et les monastères pour inspirer les fidèles et embellir les lieux de culte. Cette statue de Saint François de Sales s’inscrit parfaitement dans ce contexte, reflétant à la fois la piété et la magnificence artistique de l’époque.
Description de la Statue
La sculpture en bois de 176 cm représente Saint François de Sales, une figure éminente de l’Église catholique né le 21 août 1567. Connu pour sa douceur, sa patience et son éloquence, il a été un modèle de dévotion et de réforme spirituelle. La statue capture cette essence avec une précision remarquable.
Le visage de Saint François est sculpté avec une expression de sérénité et de contemplation, ses yeux légèrement baissés comme s’il était plongé dans une prière silencieuse. Ses traits sont finement détaillés, chaque ride et courbe du visage reflétant l’expérience et la sagesse accumulées au cours de sa vie. La chevelure et la barbe sont minutieusement travaillées, chaque mèche semblant presque réelle, ajoutant à la vivacité de la sculpture.
Vêtements et Symbolisme
Les vêtements de Saint François de Sales sont sculptés avec un soin particulier, chaque pli et drapé du tissu ajoutant à la richesse visuelle de la statue. Il est représenté en habit épiscopal, rappelant son statut de Prince-Évêque de Genève. La crosse épiscopale qu’il tient dans sa main gauche et la mitre posée à ses pieds sont des symboles de son autorité et de son rôle au sein de l’Église.
L’artiste a également incorporé des éléments symboliques dans la sculpture. Un livre ouvert dans sa main droite rappelle les nombreux écrits de Saint François, notamment « Introduction à la vie dévote », une œuvre majeure de spiritualité chrétienne. La présence de ce livre souligne son rôle en tant qu’auteur et théologien, dont les enseignements ont profondément influencé la pratique religieuse.
Technique et Artisanat
Le bois sculpté est un matériau exigeant, nécessitant une grande habileté et une connaissance approfondie de ses propriétés. La sculpture de cette statue témoigne d’un savoir-faire exceptionnel. L’artiste a utilisé des techniques de taille directe, sculptant directement dans le bloc de bois pour créer des détails précis et des textures réalistes. La finition polie et la patine ajoutent une dimension de profondeur et de vieillissement, conférant à la statue une aura de vénérabilité.
Conclusion
Cette statue de Saint François de Sales de la fin du XVIIe siècle est une pièce maîtresse de l’art sacré baroque. Elle incarne non seulement la dévotion religieuse mais aussi l’excellence artistique de son temps. À travers sa taille imposante, ses détails minutieux et son symbolisme riche, elle continue d’inspirer et de captiver ceux qui la contemplent, rappelant la vie et l’œuvre d’un des saints les plus respectés de l’Église catholique.
Cependant, l’usure du temps n’a pas épargné cette œuvre d’art. Plusieurs parties de la statue montrent des signes d’endommagement, notamment dus à l’infestation par les mythes. Ces insectes xylophages ont creusé dans le bois, affaiblissant la structure de certaines zones. En observant attentivement, on peut noter des trous et des cavités, particulièrement visibles sur les surfaces les moins exposées, comme par exemple à l’arrière.
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Lampe à décor de personnages à l’antique en marbre et bronze XIXe
1350,00 €La lampe ancienne du XIXe siècle est une pièce d’exception alliant art et fonctionnalité, caractéristique du style raffiné de cette époque. Elle présente un décor sophistiqué mettant en scène deux personnages antiques, chacun tenant dans leurs mains des urnes magnifiquement décorées. Le dessus des urnes est orné d’émaux cloisonnés, technique artisanale consistant à séparer les différentes zones de couleur par des cloisons en métal, offrant un rendu visuel particulièrement riche et coloré.
Les personnages, réalisés en bronze à patine brune, témoignent du savoir-faire des artisans de l’époque. La patine brune, obtenue par l’application de divers produits chimiques sur le bronze chauffé, confère aux personnages une profondeur et une texture qui accentuent les détails de leur réalisation. Ces figures, habilement sculptées, évoquent la grandeur de l’Antiquité, période souvent revisitée par les artistes du XIXe siècle.
Le socle de la lampe est en marbre portor vert, un matériau précieux reconnu pour sa beauté et sa durabilité. Le marbre portor, avec ses veines dorées sur fond vert profond, apporte une touche de luxe et d’élégance. Ce socle massif, d’une épaisseur de 4,2 cm, assure une stabilité parfaite à la lampe tout en rehaussant son aspect esthétique. Les veines dorées du marbre créent un contraste subtil mais élégant avec les figures en bronze, unissant harmonieusement les différents éléments de la lampe.
La tulipe cache ampoule, en verre de couleur marmoréen, est signée Muller Frères à Lunéville, réputés pour leur maîtrise de l’art verrier. Ce choix de matériau et de fabricant ajoute une dimension supplémentaire de sophistication. Le verre marmoréen, avec ses nuances délicates et son effet de marbrure, diffuse une lumière douce et chaleureuse, créant une ambiance agréable et intimiste. La signature Muller Frères garantit l’authenticité et la qualité de cette pièce, associée aux créations de verrerie de haute gamme.
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Imposante garniture de cheminée XIXe en bronze de Moreau
Description de la garniture de cheminée
La garniture de cheminée est une pièce exceptionnelle comprenant une pendule en bronze patiné et une paire de candélabres assortis. Cette garniture se distingue par la richesse de ses détails et son exécution raffinée, signée par Mathurin Moreau, célèbre sculpteur français du XIXe siècle, né en 1822 et décédé en 1912.
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Sculpture « Mephistopheles » par Alfredo Morelli en marbre et bronze
7500,00 €Sculpture : Tête d’homme ou le Diable par Alfredo Morelli
La sculpture en question est une œuvre intrigante et complexe réalisée par l’artiste Alfredo Morelli, actif à Florence au XIXe siècle. Elle représente une tête d’homme ou peut-être le visage du diable, une dualité qui invite à la réflexion sur la nature humaine et le mal. L’œuvre est composée de plusieurs matériaux : le visage est en bronze, le capuchon en marbre rouge, et les yeux sont en verre de couleur rouge, ajoutant une dimension inquiétante et mystique à la pièce. La sculpture repose sur un socle en marbre noir chiné, de forme trapézoïdale, qui confère à l’ensemble une stabilité visuelle et physique tout en accentuant l’élégance de la composition.
L’œuvre porte la signature gravée « Morelli – Florence » au dos, ainsi qu’un titre. Alfredo Morelli est un sculpteur reconnu pour son travail méticuleux et expressif. Il a étudié à l’Institut d’Art de Florence, un établissement prestigieux où il a perfectionné son art et acquis les compétences nécessaires pour créer des œuvres d’une grande qualité technique et esthétique.
En 1885, alors qu’il est encore étudiant, Morelli participe aux expositions d’Anvers et de Haarlem, où il obtient une mention, soulignant déjà la reconnaissance de son talent par la critique internationale. Cette participation à des événements artistiques de renom témoigne de son engagement dans le monde de l’art et de son désir de se mesurer aux autres artistes de son époque.
En 1898, Morelli prend part au deuxième concours pour la création d’un monument dédié à Rossini à Santa Croce, à Florence. Bien que les détails sur l’issue de ce concours ne soient pas précisés, sa participation démontre son implication continue dans des projets ambitieux et prestigieux. Le concours pour le monument à Rossini aurait été une excellente plateforme pour exhiber son talent et son sens de la monumentalité.
Pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur Alfredo Morelli et son œuvre, plusieurs références bibliographiques sont disponibles. Parmi elles, le livre de Sissi publié en 1989, les travaux de Capelli et Soldani de 1994, ainsi que l’ouvrage de Panzetta de la même année. Ces textes offrent un éclairage précieux sur la carrière et les œuvres de Morelli, fournissant un contexte historique et artistique essentiel à la compréhension de sa contribution au monde de la sculpture.
Les dimensions de cette sculpture sont également notables : elle mesure 42 cm de hauteur, une taille qui la rend imposante et remarquablement détaillée pour une sculpture de cette nature. Les matériaux utilisés — bronze, marbre rouge et noir, et verre rouge — sont choisis avec soin pour créer une harmonie visuelle et tactile, tout en évoquant des sensations variées. Le contraste entre le bronze et le marbre, ainsi que la vive couleur des yeux en verre, attire et retient l’attention du spectateur, suscitant une réflexion sur les thèmes de la dualité et de l’apparence.
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Superbe cache pot ancien en grès vernissé XIXe siècle, décor de Chilongs et Lohans
Le cache-pot en porcelaine de Chine datant du XIXe siècle que vous présentez est une pièce remarquable qui incarne la richesse de l’art céramique chinois de cette époque. Avec ses dimensions précises de 20 cm de hauteur, 28 cm de diamètre à la panse, et 14 cm de diamètre au col, cette œuvre présente une silhouette harmonieuse et bien proportionnée, propice à la contemplation et à l’appréciation de ses détails décoratifs sophistiqués.
L’élément central du décor est constitué de huit Lohans, figures vénérées dans la tradition bouddhiste chinoise. Les Lohans, ou Arhats en sanskrit, sont des disciples de Bouddha ayant atteint l’illumination. Ils sont souvent représentés dans l’art chinois comme des figures ascétiques, aux expressions empreintes de sagesse et de tranquillité. Sur ce cache-pot, chaque Lohan est finement détaillé, illustrant des postures méditatives ou engageant des gestes symboliques, mettant en évidence la maîtrise technique et artistique des artisans de l’époque.
Le fond bleu sur lequel les Lohans se détachent ajoute une profondeur et une richesse visuelle à l’ensemble. Le bleu, souvent associé à la noblesse et à la spiritualité en Chine, crée un contraste saisissant avec les figures des Lohans, qui semblent presque émaner de la surface du pot. Cette couleur, obtenue à partir de cobalt, était très prisée et souvent réservée aux pièces de haute qualité.
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Important aquarium ancien en porcelaine de Chine, vers 1900, décor de dragon à griffes
Vase en Porcelaine de Chine, Époque 1900
Description Générale
Ce vase ou aquarium ancien en porcelaine de Chine, datant de l’époque vers 1900, est une pièce remarquable et imposante par ses dimensions et son ornementation. Il se distingue par son décor somptueux de dragons et de nuages, un thème récurrent dans l’art chinois, symbolisant le pouvoir, la force et la chance.
Dimensions et Proportions
Ce vase mesure 35 cm de hauteur, une taille considérable qui en fait un élément central dans une collection ou une décoration intérieure. La panse du vase a un diamètre impressionnant de 44 cm, ce qui lui confère une présence imposante et élégante. Le col, légèrement plus étroit avec un diamètre de 41,5 cm, harmonise les proportions de l’ensemble et met en valeur le travail de décoration.
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Art d’Asie, imposant vase de Thianqung, en porcelaine de Chine, époque XXe
Description et Caractéristiques
Ce vase en porcelaine de Chine Thianqung, daté du XXe siècle, est une pièce exceptionnelle tant par sa taille que par la qualité de son décor. D’une hauteur impressionnante de 63 cm et d’un diamètre de panse de 41 cm, ce vase se distingue par ses proportions généreuses et son allure majestueuse.
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Etagère en plâtre imitant le bois, à décor d’un bouffon du roi jouant de la musique, début XXe
L’étagère ancienne que je m’apprête à vous présenter est bien plus qu’un simple meuble. C’est un témoignage vivant d’une époque révolue, une pièce d’art à part entière qui évoque le charme et l’élégance d’un passé lointain. Imaginez-vous transporté dans les couloirs d’un château médiéval, où les fêtes et les réjouissances étaient monnaie courante, où les bouffons du roi divertissaient la cour avec leur esprit vif et leur talent musical. Cette étagère en plâtre imitant le bois, représentant un bouffon du roi jouant de la musique, est un véritable trésor artistique.
Le plâtre polychrome qui compose cette pièce lui confère une apparence presque vivante. Chaque détail, chaque pli de la tenue du bouffon, chaque note de musique gravée dans les airs semble figé dans le temps, capturant l’énergie et la jovialité de l’époque. Malgré les années qui ont passé, cette étagère est dans un bon état général, préservant ainsi son caractère authentique et sa valeur historique.
Avec ses dimensions modestes, une hauteur de 58 cm et une largeur de 38 cm, cette étagère peut facilement s’intégrer dans n’importe quel espace, qu’il s’agisse d’un salon, d’une bibliothèque ou même d’un bureau. Elle apporte une touche de raffinement et d’originalité à n’importe quelle pièce, tout en suscitant la curiosité et l’admiration de ceux qui la contemplent.
Mais au-delà de son aspect esthétique, cette étagère raconte une histoire. Elle nous rappelle une époque où l’art et la musique étaient au cœur de la vie quotidienne, où les artistes et les bouffons étaient vénérés pour leur capacité à émerveiller et à divertir. En possédant une telle pièce, vous devenez le gardien d’un morceau de passé, un lien tangible avec une époque révolue mais jamais oubliée.
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coffret en carton à décor galuchat, comprenant une carafe et 2 verres en cristal de Baccarat avec son contenue Sempé 1939
300,00 €Dans un raffinement exquis, ce coffret en carton revêt un décor galuchat, évoquant l’élégance intemporelle et la sophistication. Au sein de ce coffret, symbole de luxe et de tradition, reposent une carafe et deux verres en cristal, tous issus de la prestigieuse maison Baccarat, renommée pour son artisanat d’exception depuis des siècles.
La carafe, pièce maîtresse de cet ensemble, incarne l’harmonie parfaite entre la finesse du cristal et la sobriété du design. Ses lignes épurées captivent le regard et révèlent toute la pureté du matériau. Chaque détail, minutieusement travaillé par les artisans de Baccarat, témoigne d’un savoir-faire ancestral transmis de génération en génération. Elle offre une contenance généreuse, parfaitement adaptée pour accueillir un breuvage d’exception.
Les deux verres qui l’accompagnent sont de véritables joyaux de cristal. Leurs courbes délicates épousent parfaitement la paume de la main, offrant une expérience sensorielle incomparable à chaque dégustation. Taillés avec une précision remarquable, ils captent la lumière et révèlent toute la brillance caractéristique du cristal Baccarat. Chaque gorgée devient ainsi un moment de pur enchantement, où le plaisir des sens se marie à l’art de la dégustation.
Cependant, ce coffret témoigne également d’une histoire, celle de son contenu : l’armagnac Sempé 1939. Ce précieux liquide, chargé d’histoire et de caractère, incarne l’essence même de la tradition et de l’authenticité. Issu d’une année emblématique, il évoque des souvenirs lointains et des moments privilégiés, prêt à être partagé avec ceux qui sauront en apprécier la rareté.
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Très belle petite boîte à musique en laiton et tôle émaillée
Imaginez-vous entrer dans une petite boutique antique, l’odeur douce et familière du bois vieilli et de la poussière flottant dans l’air. Vos yeux se posent sur une magnifique boîte à musique ancienne, éblouissante dans sa simplicité et son élégance. Fabriquée à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle dans le style Art Nouveau, elle dégage une aura de charme intemporel.
La boîte à musique est en laiton doré, avec une patine délicate qui témoigne de son âge et de son histoire. Ses dimensions modestes de 9,8 cm de longueur, 8 cm de largeur et 4 cm de hauteur lui confèrent une présence discrète mais néanmoins captivante. Le couvercle bombé ajoute une touche de sophistication à son design déjà remarquable.
Mais ce qui rend cette boîte à musique vraiment spéciale, c’est la miniature en tôle peinte et émaillée qui orne son centre. Une jeune élégante, vue de profil, est représentée avec une finesse exquise. Sa silhouette gracieuse et ses traits délicats sont capturés dans les moindres détails, témoignant du talent et du savoir-faire des artisans qui l’ont créée.
Lorsque vous ouvrez la boîte, le doux tintement de la musique résonne dans l’air, un rappel enchanté d’une époque révolue. La mécanique est en parfait état de fonctionnement, produisant une mélodie enchanteresse qui transporte l’esprit vers des temps plus simples et plus romantiques.
Bien sûr, après tant d’années d’utilisation et d’amour, la boîte à musique porte quelques marques du temps. Des signes d’âge et d’usure, des éraflures et des petites imperfections qui ajoutent à son charme vintage. Ces marques racontent une histoire, une histoire de moments partagés et de souvenirs chéris.
Cette boîte à musique ancienne est bien plus qu’un simple objet décoratif.
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Masque de faune en grès émaillé polychrome, hauteur 23 cm
Le Masque de Faune en grès émaillé polychrome, d’une hauteur de 23 cm et d’une largeur de 18,5 cm, incarne une pièce d’art fascinante imprégnée de mystère et de symbolisme. Au-delà de sa simple forme, ce masque révèle une histoire complexe et intrigante à travers chaque trait minutieusement sculpté et chaque nuance de couleur vibrante.
Dès le premier regard, l’observateur est captivé par l’expression saisissante du visage. Les traits du faune, mi-humain mi-animal, sont rendus avec une maîtrise artistique remarquable. Les yeux, profonds et énigmatiques, semblent refléter les secrets de l’âme de cette créature mythique. La bouche entrouverte évoque une émotion intense, peut-être un rire malicieux ou un cri de jubilation. Chaque détail, des narines délicatement ciselées aux sourcils arqués, contribue à donner vie à cette figure mythologique.
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étrange sculpture contemporaine sur bois représentant une demi femme, signé BER
La sculpture en bois que vous décrivez incarne l’étrangeté et la mystère dans sa forme et sa conception. Elle ne se contente pas d’être une simple représentation artistique, mais elle évoque des sentiments profonds et des questions sur son origine et sa signification.
À première vue, cette sculpture semble défier les lois de la physique, car elle représente une demi-femme qui semble fusionner avec le mur sur lequel elle est accrochée. Cette intégration harmonieuse avec le mur donne l’impression que la sculpture transcende les limites du monde matériel pour entrer dans un autre royaume, peut-être même l’au-delà. L’absence de tête, de jambes et de pieds crée une sorte de dissonance visuelle qui attire immédiatement l’attention du spectateur et le pousse à réfléchir à la signification de cette forme incomplète.
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Grand plat signé D’Avesn en verre opalescent représentant l’oiseau du Paradis
680,00 €Le plat « Oiseau du Paradis » par D’Avesn est une œuvre d’art verrier emblématique,
imprégnée de l’essence même de l’Art Déco.
Créé par le maître verrier français, Maurice Marinot, dans les années 1920,
ce plat incarne l’élégance et la sophistication de cette période artistique.
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Grand médaillon en bronze représentant Jeanne d’Arc, par Henri CHAPU / Barbedienne
650,00 €Le médaillon représentant Jeanne d’Arc, conçu par le talentueux sculpteur Henri Chapu en collaboration avec le fondeur renommé Ferdinand Barbedienne, incarne une œuvre d’une beauté saisissante et d’une signification profonde. Créé entre les années 1833 et 1891, ce chef-d’œuvre artistique a été façonné dans un bronze massif à la patine délicatement chocolatée, lui conférant une aura de noblesse et de durabilité.
Henri Chapu, artiste français de renom du XIXe siècle, est réputé pour son style néo-classique et sa capacité à capturer la grâce et l’émotion dans ses œuvres. Son partenariat avec Ferdinand Barbedienne, un fondeur de bronze célèbre pour son savoir-faire exceptionnel, a donné naissance à des pièces d’art d’une qualité et d’une élégance incomparables.
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Magnifique lustre à corbeille et pendeloques à Goutte d’eau de couleur
Le lustre corbeille ancien est bien plus qu’un simple luminaire. C’est une pièce de caractère qui allie l’opulence du passé avec l’éclat intemporel de l’élégance. Avec ses 12 points de lumière et ses 6 portes-bougies, il offre une luminosité somptueuse tout en diffusant une ambiance chaleureuse et accueillante dans n’importe quel espace qu’il occupe.
La monture en bronze et laiton confère à ce lustre une solidité et une noblesse indéniables. Ces matériaux précieux ont traversé les époques, témoignant de la qualité artisanale et de la durabilité des pièces d’antan. Ils ajoutent également une touche de raffinement et de sophistication à l’ensemble, rappelant les époques où le luxe était synonyme de magnificence.
Orné de pendeloques ou pampilles à goutte d’eau de couleur, ce lustre ne se contente pas d’éclairer l’espace, il le transforme en un spectacle visuel captivant. Les pendeloques, avec leurs reflets chatoyants, captent la lumière et la diffusent en mille éclats scintillants, créant ainsi une atmosphère enchanteresse et féérique. Chaque goutte d’eau semble suspendue dans l’air, ajoutant une dimension de mystère et de magie à l’ensemble.
Les rubans de perles qui finalisent l’élégance de ce lustre ajoutent une touche de délicatesse et de finesse. Leur disposition soigneusement pensée et leur brillance subtile viennent parfaire l’ensemble, créant un contraste harmonieux avec la robustesse de la monture en bronze et laiton. Ces détails délicats témoignent du souci du détail et du savoir-faire artisanal qui ont présidé à la création de cette pièce d’exception.
En termes de dimensions, ce lustre corbeille ancien affiche des proportions imposantes qui en font un véritable point focal dans n’importe quelle pièce.
Avec une hauteur de 90 cm et un diamètre de 52 cm, il occupe l’espace avec prestance et élégance, sans pour autant l’écraser. Sa présence imposante est équilibrée par sa grâce et sa beauté intemporelle, en faisant une pièce maîtresse dans la décoration d’intérieur.
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Danny LANE ( Attribué ) belle grande lampe en plaquettes de verres des années 1980
480,00 €Danny Lane, artiste et designer américain, a marqué le paysage du design contemporain avec ses créations uniques, dont une lampe remarquable datant de circa 1980. Cette lampe, mesurant 60 cm de hauteur, est un exemple éblouissant de son travail, composée de plaquettes de verre taillé et montée avec des fils de fer. Bien que cette pièce ne soit pas directement attribuée à Lane, elle reflète parfaitement son esthétique distinctive et son engagement envers l’innovation dans l’utilisation du verre comme matériau.
Né à Londres en 1955, Danny Lane a été initié au travail du verre coloré par Patrick Reyntiens, un artiste renommé dans ce domaine. Inspiré par le visionnaire Cecil Collins et formé aux Beaux-Arts à la Byam Shaw School of Art et à la Central School of Art and Design, Lane a rapidement développé sa propre vision du design, où l’art et l’architecture se fusionnent harmonieusement.
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Rare série de 5 appliques de Murano Borek Sipek ( 1949-2016 ) Forme de fleurs
950,00 €La série de cinq appliques vintage que je vous présente est véritablement une pièce rare et magnifique, imprégnée d’un charme intemporel. Conçues par le célèbre artiste Borek Sipek à Murano, ces appliques sont bien plus que de simples luminaires. Elles incarnent une fusion élégante entre l’art et la fonctionnalité, capturant l’essence même de l’esthétique vintage tout en conservant une modernité subtile.
Ce qui distingue ces appliques, ce sont leurs formes délicates de fleurs qui évoquent une douce poésie visuelle. Chaque détail, minutieusement travaillé, témoigne du savoir-faire artisanal et de la créativité de leur créateur. Les pétales s’ouvrent avec grâce, capturant la lumière de manière éclatante et diffusant une ambiance chaleureuse et accueillante dans n’importe quel espace.
Fabriquées avec soin, ces appliques sont complètes, avec leur monture en laiton doré qui ajoute une touche de luxe et de raffinement à leur design. Les tulipes en verre de couleurs ajoutent une dimension supplémentaire à leur beauté, offrant une palette de nuances sublimes qui illuminent l’espace environnant d’une lueur enchanteresse.
Bien que ces pièces soient vintage, elles sont en excellent état, témoignant de leur qualité exceptionnelle et de leur durabilité. Bien sûr, comme tout objet ancien, elles portent les traces du temps, mais cela ajoute à leur charme et à leur caractère authentique. Une seule fleur a été légèrement restaurée, avec un pétale recollé de manière experte, imperceptible à l’œil, préservant ainsi l’intégrité et la beauté de l’ensemble.
Les dimensions de ces appliques sont parfaites pour s’adapter à une variété d’espaces. Avec une hauteur de 16,5 cm et un diamètre de patères de 8,5 cm, elles occupent juste assez d’espace pour attirer l’attention sans être imposantes. Les tulipes ont une largeur d’environ 13 à 14 cm, offrant une présence visuelle impressionnante tout en restant délicatement proportionnées.
Il convient de noter que ces appliques seront livrées sans le câblage blanc, qui est disponible au magasin pour brancher les luminaires. Cela permet une installation facile et personnalisée selon les besoins spécifiques de chaque espace, tout en préservant l’intégrité et l’authenticité de ces pièces uniques.
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Cube en résine avec inclusions d’appareils médicaux des années 1970
60,00 €Le cube en résine que je vous présente est bien plus qu’un simple objet décoratif. Il est un véritable témoignage des avancées médicales et technologiques des années 70, capturant l’essence même de cette époque dans un assemblage unique d’appareils médicaux miniatures. Mesurant une hauteur imposante de 9.5 cm et une largeur de 10 cm, ce cube est à la fois une pièce d’exposition et une fenêtre sur le passé.
Dès le premier regard, on est frappé par la diversité des inclusions qui parsèment la résine. Des seringues, des capsules, des ampoules et d’autres appareils médicaux sont figés dans un état intemporel, semblant presque prêts à être utilisés à nouveau. Chaque détail, chaque élément, raconte une histoire propre, évoquant les avancées médicales de cette époque et l’espoir qu’elles ont suscité.
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Tabouret bidet ancien, début du XIXe siècle, forme de livres
650,00 €Le tabouret bidet ancien, datant du début du XIXe siècle, est une pièce fascinante qui offre un aperçu intrigant de l’artisanat et du design de cette époque. Fabriqué à partir de bois mouluré, de carton et de papier marouflé, cet objet unique incarne à la fois l’esthétique et la fonctionnalité caractéristiques de son temps.
Au premier regard, on est immédiatement frappé par son allure élégante et son décor simulé de livres. Les détails minutieux et la finesse du travail sur le bois mouluré témoignent du savoir-faire artisanal qui a été investi dans sa création. Chaque élément semble avoir été soigneusement pensé et exécuté pour créer une harmonie visuelle remarquable.
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Ancien urinoir en verre Soufflé, époque XIXe
40,00 €Lorsqu’on évoque l’ancien urinoir en verre soufflé datant du XIXe siècle, on est instantanément transporté dans un univers où l’art de la médecine et le raffinement de l’artisanat se rencontrent. Cet objet, autrefois indispensable au confort et à la dignité des malades confinés à leur lit, revêt aujourd’hui une tout autre signification, devenant une pièce de collection prisée et même un élément de décoration recherché.
Au XIXe siècle, l’urinoir en verre soufflé représentait bien plus qu’un simple instrument médical. C’était un symbole de soutien et de soin apporté aux personnes alitées, incapables de se déplacer jusqu’aux toilettes.
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François-Désiré Froment-Meurice, joli coupe papier en argent, Art nouveau
François-Désiré Froment-Meurice était un maître orfèvre français du XIXe siècle, dont le nom est intimement lié à l’Art nouveau et à la création de magnifiques pièces en argent, telles que le joli coupe-papier que vous décrivez. Né à Paris en 1837, Froment-Meurice était le fils de l’orfèvre François-Desire Froment, et il a hérité de son père un talent inné pour la création d’œuvres d’art exceptionnelles.
Le coupe-papier en argent que vous mentionnez incarne parfaitement le style de Froment-Meurice et l’esthétique de l’Art nouveau. Mesurant 20,5 cm de longueur, cette pièce remarquable capture l’essence même de cette période artistique avec son motif délicat représentant une grenouille reposant sur un nénuphar. L’Art nouveau, caractérisé par ses lignes organiques et ses motifs inspirés par la nature, trouve une expression éclatante dans ce coupe-papier où la grenouille semble figée dans un mouvement gracieux, et le nénuphar est dépeint avec une attention méticuleuse aux détails.
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Tableau religieux en bois sculpté et polychrome du XVIIIe siècle
Ce magnifique tableau ancien en bois sculpté et polychrome religieux est véritablement une pièce d’art remarquable. Avec ses représentations détaillées de saints et de la Vierge Marie, il offre une fenêtre fascinante sur l’artisanat et la dévotion du XVIIIe siècle.
L’attention portée aux détails est frappante, chaque figure sculptée avec une précision minutieuse, témoignant du talent et de la passion de l’artiste qui l’a créé. Les saints semblent presque prendre vie sous nos yeux, chacun racontant une histoire ou symbolisant une vertu particulière, tandis que la Vierge Marie trône au centre, une aura de grâce et de majesté émanant de sa représentation.
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Joli coffret en métal entièrement en émaux cloisonnés, début XXe
Le coffret en métal argenté que je vous décris est bien plus qu’un simple objet. C’est un véritable trésor artistique, un témoignage tangible de l’artisanat et de l’esthétique d’une époque révolue. Ses dimensions modestes ne font que renforcer son charme, car elles témoignent de la minutie et du souci du détail de son créateur.
Imaginons le, posé sur une étagère ou une commode, captant la lumière et attirant le regard par sa beauté intemporelle. Sa forme rectangulaire, classique mais élégante, est le parfait écrin pour mettre en valeur les détails exquis de son décor émaillé.
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Rare vase en porcelaine de OISSEL ( Normandie )
250,00 €Datant d’environ 1920, ce joli et ancien vase en porcelaine de Oissel, une commune située en Normandie, est un témoignage précieux de l’artisanat de qualité qui florissait dans la région à cette époque. Malheureusement, la fabrique de porcelaine qui l’a produit n’a pas survécu au passage du temps, mais ses créations continuent de témoigner de son savoir-faire exceptionnel.
Ce vase représente un modèle rare de cette fabrique, ce qui en fait un objet encore plus précieux pour les collectionneurs et les amateurs d’art. Son design captivant présente un magnifique décor de poissons nageant gracieusement sur un fond bleu nuancé, évoquant peut-être les rivières et les cours d’eau qui traversent la belle région normande.
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GRAND VASE DÉCORÉ CARPE, « LE VASE DE LA VOITURE D’OR » PAR FRANKLIN MINT
Le grand vase en porcelaine sur son support en bois est une véritable œuvre d’art. Sa conception unique et son esthétique captivante en font un objet remarquable qui ne manquera pas d’attirer l’attention de tout amateur de beaux objets décoratifs.
Surnommé par certains un « vase aquarium » en raison de son motif représentant des poissons, cet objet témoigne du savoir-faire exceptionnel de son créateur, Zhe Zhou Jiang. Réalisé en 1988 pour la célèbre société Franklin Mint, ce vase incarne l’élégance et la sophistication de la porcelaine chinoise.
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Masque en cuivre, représentant la tête du christ, A. Modesto
320,00 €Visage du christ en cuivre patiné légèrement martelé, regardant vers le ciel.
Cette sculpture est signé A. MODESTO et daté 1968.
Cette sculpture est un masque, et contient quelques petites griffures d’usage.
Dimensions : Hauteur 41 cm
Largeur 25.5 cm
Poids : 1.180 kg
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Sculpture en bronze, pyrogène, moine, tonneau, XIXe
350,00 €Ce pyrogène en bronze massif est une pièce d’une grande beauté et d’une grande valeur historique. Cette sculpture représente avec finesse et détails un moine, symbole de sagesse et de tranquillité, en train de savourer un verre de vin directement de la bouteille. La scène dépeinte est empreinte de calme et de sérénité, le moine semblant trouver une forme de réconfort dans ce moment de dégustation.
La posture du moine est minutieusement travaillée : le panier sous le bras suggère un voyage ou une quête, le bougeoir dans une main évoque une ambiance chaleureuse et intime, tandis que le tire-bouchon reposant près de ses pieds évoque le plaisir de la dégustation du vin. À ses côtés, un tonneau, qui joue un double rôle : celui de contenir les allumettes, avec un système ingénieux de cordage permettant de les gratter pour les allumer.
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Sculpture de marbre représentant une main posé sur un oiseau
Jolie sculpture ancienne du XIXe siècle,
en marbre de carrare, représentant une main posé sur un oiseau.
C’est un très beau presse papier ancien, objet de vitrine.
Je signal malheureusement, une réparation ancienne de la tête de l’oiseau
Dimensions : Diamètre de la base de forme légèrement ovale 10.5 cm x 11.5 cm, et la hauteur 4.5 cm
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Sculpture en bronze de Jean Hugues représentant un soldat
350,00 €Joli sculpture de bronze représentant un soldat porte drapeau, allongé sur le sol
Cette sculpture est posé sur une terrasse en bois avec un filet en marqueterie
Dimensions : Largeur 18 cm, profondeur 10 cm et hauteur 9 cm
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Sculpture de bronze d’un poilu de la guerre 1914, signé A. Falcinelli
Le bronze que je vais vous présenter est une pièce remarquable, témoignage poignant de l’histoire et de la mémoire de la Première Guerre mondiale. Il s’agit d’une sculpture d’un soldat datant de 1914-1918, réalisée en bronze massif, qui incarne à la fois la force et la résolution de ceux qui ont combattu lors de ce conflit dévastateur.
D’une qualité artistique indéniable, cette sculpture capture l’essence même du soldat en pleine action. Imaginez-le, le poing serré, le regard déterminé, prêt à mener ses camarades au combat. Dans sa main gauche, il tient fermement son fusil, symbole de sa bravoure et de sa détermination à défendre sa patrie. Son paquetage solidement attaché sur le dos, il est prêt à affronter les épreuves avec courage et abnégation.
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Christ en albâtre dans un cadre en bois doré époque XVIIe siècle
L’œuvre présentée est un Christ en albâtre exceptionnel, datant du XVIIe siècle, encadré dans un magnifique cadre en bois doré de la même époque. Cette sculpture saisissante capture la figure du Christ avec une profondeur et une intensité qui transcendent le matériau dans lequel elle est réalisée.
Le Christ est représenté avec la tête légèrement inclinée, les yeux clos, ce qui renforce une expression de calme et de sérénité. Sa chevelure est rendue avec des mèches ondulées, détaillées avec une grande minutie, tandis qu’une barbe bifide encadre son visage. Le buste du Christ est marqué par la douleur de la crucifixion, avec une lance qui perce son flanc droit, symbolisant la blessure infligée lors de sa crucifixion.
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Table basse 70’s, design, 4 pieds cobra en bronze massif, plateau verre
La table basse des années 70 incarne l’époque où le design s’affranchissait des conventions, embrassant l’audace et l’innovation. Cette pièce emblématique, dans le style distinctif de Henri Fernandez, capture parfaitement l’esprit révolutionnaire de cette décennie prolifique en matière de design. Avec ses quatre pieds cobra en bronze massif, elle évoque à la fois l’élégance et la fascination pour le mystique propre aux années 70.
L’élément le plus saisissant de cette table basse est sans aucun doute ses pieds cobra en bronze massif. Le choix du bronze évoque une opulence intemporelle, tandis que la forme serpentiforme des pieds confère une touche de fantaisie et de dynamisme à l’ensemble. Ces pieds semblent s’animer, semblables à des créatures mythiques prêtes à s’enrouler autour de leur proie, ajoutant une dimension théâtrale à la pièce.
Ce table basse est en bon état général
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Lampe des années 1980’s, a poser, en verre épais et à formes géométriques
La lampe des années 1980 est une pièce emblématique qui incarne parfaitement l’esthétique audacieuse et exubérante de cette décennie. Elle est souvent conçue pour refléter les caractéristiques marquantes de cette époque, avec un mélange harmonieux de fonctionnalité et de style rétro.
Fabriquée en verre épais, la lampe est sculptée avec des formes géométriques distinctes, telles que des cubes, des sphères et des cylindres, qui capturent l’essence même du design des années 1980. Ces formes géométriques ne sont pas seulement esthétiques, elles jouent également un rôle crucial dans la diffusion de la lumière, créant des jeux d’ombre et de lumière fascinants lorsqu’elle est allumée. Le verre épais utilisé pour sa construction ajoute une dimension de robustesse et de qualité artisanale, conférant à chaque lampe une impression de solidité et de durabilité.
Le design de cette lampe n’était pas seulement une question d’apparence. Elle était aussi une œuvre d’art en soi, combinant innovation technique et design avant-gardiste. Les formes géométriques étaient habilement intégrées dans le design global, créant une pièce qui était aussi fonctionnelle qu’esthétique. Lorsque la lampe était allumée, elle projetait une lumière douce et chaleureuse, souvent en raison de la combinaison particulière du verre et de l’ampoule utilisée, ajoutant une atmosphère accueillante et confortable à n’importe quel espace.
La lampe des années 1980 trouvait sa place dans divers environnements, ajoutant une touche de sophistication et de modernité. Qu’elle soit placée sur une table d’appoint dans un salon, sur un bureau dans un espace de travail ou sur une table de chevet dans une chambre, elle apportait un flair rétro distinct à chaque pièce. Sa présence était non seulement décorative, mais elle servait également de point focal, attirant le regard et suscitant l’admiration des amateurs de design.
Ce type de lampe incarnait véritablement l’esprit des années 1980, un mariage réussi entre style audacieux et fonctionnalité intemporelle. Elle reflétait l’innovation et l’audace caractéristiques de cette époque, tout en restant un objet pratique pour l’éclairage quotidien. La qualité de la fabrication en verre épais et les formes géométriques distinctes en faisaient une pièce de collection, appréciée par les amateurs de design rétro et les nostalgiques de cette décennie.
Les dimensions de cette lampe typique des années 1980 étaient souvent conçues pour s’adapter à divers espaces sans être encombrantes. Avec une hauteur de 35 cm et une largeur de 15 cm, elle était suffisamment compacte pour être posée sur différents types de surfaces, tout en étant suffisamment grande pour faire une déclaration stylistique audacieuse.
En résumé, la lampe des années 1980 à poser en verre épais et aux formes géométriques distinctes est une incarnation parfaite de l’esprit de cette décennie.
Elle allie un style audacieux et exubérant à une fonctionnalité pratique, apportant une touche de rétro-chic à tout environnement dans lequel elle est placée. Que ce soit pour sa robustesse, sa qualité artisanale ou son design innovant, cette lampe reste une pièce emblématique et recherchée, capturant l’essence des années 1980 avec brio.
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Paire de cassolettes en marbre et bronze doré, décor de têtes de béliers, XIXe siècle
Cette paire de cassolettes du XIXe siècle, datant de l’époque Napoléon III,
est un témoignage saisissant de l’opulence et du raffinement de cette période historique.
Ornées de motifs emblématiques de l’ère impériale,
ces cassolettes évoquent le faste et le prestige associés au règne de Napoléon III.
Dimension : Hauteur 36 cm