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Ecole Flamande du XVIIe siècle, huile sur cuivre, suiveur de Rubens
3800,00 €Ce tableau, réalisé par un suiveur de Rubens, est une huile sur cuivre datant du XVIIe siècle.
Il représente la scène biblique du martyre de sainte Catherine, une figure emblématique de la chrétienté.
Le cadre, d’époque Louis XIV, ajoute une touche de grandeur et de raffinement à cette œuvre d’art.
Description de la Scène
La composition est dynamique et dramatique, caractéristique du style baroque que Rubens a si bien maîtrisé.
Au centre de la scène, sainte Catherine est représentée dans un moment de grande souffrance, entourée de ses bourreaux.
Son visage, bien que marqué par la douleur, reflète une sérénité et une résignation qui témoignent de sa foi inébranlable.
Les personnages autour d’elle sont animés par des mouvements expressifs, accentuant la tension et l’émotion de la scène.
Technique et Style
L’utilisation de l’huile sur cuivre permet une grande précision dans les détails et une luminosité particulière, typique des œuvres de cette époque.
Les couleurs sont riches et vibrantes, avec des contrastes marqués entre les teintes sombres et les éclats de lumière qui mettent en valeur les figures centrales.
Le style de Rubens, avec ses formes voluptueuses et ses jeux de lumière, est ici fidèlement reproduit par son suiveur.
Symbolisme et Iconographie
Le martyre de sainte Catherine est un thème récurrent dans l’art chrétien, symbolisant la victoire de la foi sur la persécution.
Sainte Catherine, souvent représentée avec une roue brisée (symbole de son martyre), est ici montrée dans un moment de grande vulnérabilité, mais aussi de grande force spirituelle.
Les anges et les chérubins qui l’entourent ajoutent une dimension céleste à la scène, suggérant que sa souffrance terrestre sera récompensée par une gloire éternelle.
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Chambre photo-Hall à Paris avec objectif Dérogy N°1 Paris Londre
550,00 €La photographie est un art qui a évolué au fil des siècles, et les appareils photo anciens sont des témoins précieux de cette évolution.
La chambre photographique que nous avons ici est un exemple remarquable de cette histoire.
Il s’agit d’une chambre photo-Hall fabriquée à Paris, équipée d’un objectif Dérogy N°1, un modèle qui a marqué son époque par sa qualité et sa précision.
Cette chambre photographique porte la référence N°14841, un détail qui ajoute à son authenticité et à son charme.
L’objectif Dérogy, reconnu pour sa qualité optique, était utilisé par de nombreux photographes professionnels de l’époque.
La mention « Paris Londres » sur l’objectif indique que ce modèle était probablement distribué dans ces deux grandes villes, centres culturels et artistiques majeurs de l’époque.
Le soufflet de cette chambre photographique est en bon état, ce qui est remarquable pour un appareil de cette ancienneté.
Le soufflet est une partie cruciale de la chambre photographique, permettant de régler la distance entre l’objectif et le plan focal, et donc de contrôler la mise au point et la profondeur de champ.
Un soufflet en bon état est essentiel pour obtenir des images nettes et de haute qualité.
Cependant, il est à noter que cette chambre photographique manque la plaque arrière.
La plaque arrière est une composante importante de l’appareil, car c’est là que le photographe place la plaque photographique ou le film.
L’absence de cette pièce peut limiter l’utilisation de l’appareil, mais elle n’enlève rien à la valeur historique et esthétique de cette chambre photographique.
La construction de cette chambre photo-Hall est un témoignage de l’artisanat de l’époque.
Le bois utilisé pour le corps de l’appareil est en bois noble, choisi pour sa solidité et sa résistance.
Les finitions en laiton ajoutent une touche d’élégance et de durabilité.
Les mécanismes de réglage, bien que simples, sont précis et fonctionnels, permettant au photographe de contrôler avec précision les paramètres de la prise de vue.
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Vase Majolica Palissy, datant de l’époque victorienne vers 1890
580,00 €Ce superbe vase Majolica Palissy, datant de l’époque victorienne vers 1890, est une véritable œuvre d’art qui témoigne du savoir-faire et de la créativité de son époque.
La majolique, une technique de céramique italienne, a été popularisée en Angleterre au XIXe siècle, et ce vase en est un exemple remarquable.
Le décor en relief de ce vase est particulièrement impressionnant.
Il représente une scène de nature luxuriante, où grenouilles, salamandres, papillons et autres insectes cohabitent harmonieusement sur une végétation de lierre.
Chaque détail est minutieusement sculpté, donnant vie à ces créatures et à leur environnement.
Les grenouilles semblent prêtes à bondir, les salamandres à se faufiler entre les feuilles, et les papillons à prendre leur envol.
Cette représentation réaliste et dynamique de la faune et de la flore est caractéristique du style Palissy, inspiré par les observations naturalistes de Bernard Palissy, un céramiste et naturaliste français du XVIe siècle.
Le vase présente une belle harmonie de couleurs, avec des tons verts et bruns qui évoquent la nature.
Les nuances de vert, allant du vert clair au vert foncé, rappellent les différentes teintes des feuilles de lierre, tandis que les touches de brun ajoutent de la profondeur et du contraste.
Les couleurs sont appliquées avec une grande finesse, soulignant les reliefs et les détails du décor.
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Emile Gallé, très belle bonbonnière en verre multicouche et dégagé à l’acide
1200,00 €Cette magnifique boîte bonbonnière en verre, datant de l’époque Art Nouveau circa 1900, est une véritable œuvre d’art signée par le célèbre maître verrier Émile Gallé.
La pièce se distingue par son décor raffiné de feuillages en multicouche, minutieusement gravé à l’acide, offrant une profondeur et une texture exceptionnelles.
Le verre utilisé pour cette bonbonnière est d’une qualité remarquable, capturant et diffusant la lumière de manière spectaculaire.
Même en lumière naturelle, la boîte émet une luminosité éclatante, grâce à la transparence et à la pureté du verre.
Les motifs de feuillages, inspirés par la nature, sont caractéristiques du style Art Nouveau, qui prône l’harmonie entre l’art et la nature.
Les feuilles et les tiges sont représentées avec une précision botanique, témoignant du souci du détail et de la maîtrise technique de Gallé.
La signature japonisante de Gallé ajoute une touche d’exotisme et de sophistication à cette pièce.
L’influence de l’art japonais, très en vogue à la fin du XIXe siècle, se ressent dans les courbes élégantes et les motifs stylisés des feuillages. Cette fusion entre les styles occidental et oriental est une des caractéristiques distinctives des créations de Gallé, qui cherchait à intégrer des éléments de différentes cultures dans ses œuvres.
La bonbonnière présente un diamètre de 15 cm, ce qui en fait une pièce de taille modeste mais néanmoins imposante par sa beauté et son raffinement.
Le travail de gravure à l’acide, une technique maîtrisée par Gallé, permet de créer des effets de relief et de transparence qui ajoutent à la richesse visuelle de l’objet.
Les différentes couches de verre, superposées et gravées, créent un jeu de lumière et d’ombres qui donne vie aux motifs végétaux.
Émile Gallé, figure emblématique de l’École de Nancy, était réputé pour son innovation et son savoir-faire dans le domaine de la verrerie.
Ses créations, souvent inspirées par la flore et la faune, sont des chefs-d’œuvre de l’Art Nouveau.
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VENDU
« Talisman » est une œuvre remarquable d’Emmanuel Villanis (1858-1904)
« Talisman » est une œuvre remarquable d’Emmanuel Villanis (1858-1904), un sculpteur français dont le talent a marqué la fin du XIXe et le début du XXe siècle.
Cette sculpture en bronze à patine médaille, datant d’environ 1900, est un témoignage de l’art raffiné et de la maîtrise technique de Villanis.
La sculpture représente une figure féminine allongée, dont la posture évoque une grâce et une sérénité intemporelles.
La femme est dépeinte dans une position de repos, les yeux fermés, comme plongée dans un sommeil paisible ou une méditation profonde. Ses traits sont finement ciselés, révélant une expression de calme et de tranquillité.
Les détails de son visage, notamment les paupières closes et les lèvres légèrement entrouvertes, ajoutent une dimension de réalisme et de vulnérabilité à l’œuvre.
Le corps de la femme est drapé dans une étoffe fluide qui épouse ses formes avec élégance.
Les plis du tissu sont rendus avec une grande précision, donnant l’impression de mouvement et de légèreté.
La patine médaille, une technique de finition qui confère au bronze une apparence dorée et lumineuse, accentue les contours et les volumes de la sculpture, créant un jeu subtil de lumière et d’ombre.
La signature de Villanis et le cachet de la « Fonderie de Paris » sont visibles sur la sculpture, attestant de son authenticité et de sa provenance. La « Fonderie de Paris » était renommée pour la qualité de ses épreuves en bronze, et la présence de son cachet est un gage de l’excellence technique de l’œuvre.
La hauteur de la sculpture, 59 cm, en fait une pièce imposante, destinée à être admirée de près.
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VENDU
Pendulette type officier Hour Lavigne / L’Epée , mouvement mécanique
La pendulette de voyage HOUR LAVIGNE, successeurs de l’Epée, est un véritable chef-d’œuvre d’horlogerie qui allie élégance, fonctionnalité et précision.
Cette pendulette, souvent appelée « pendulette d’officier », est un témoignage de l’artisanat horloger du début du 20ème siècle, une époque où la précision mécanique et l’esthétique raffinée étaient des valeurs fondamentales.
Description Générale :
La pendulette se distingue par son boîtier en bronze, un matériau noble et résistant qui confère à l’objet une allure à la fois classique et robuste.
Le verre biseauté qui protège le cadran ajoute une touche de sophistication et permet une lecture claire et précise de l’heure.
La pendulette est accompagnée de sa clef, un élément essentiel pour remonter le mécanisme et régler l’heure.
Caractéristiques Techniques :
Le mouvement mécanique de cette pendulette est un exemple de l’ingéniosité horlogère de l’époque.
Il est équipé d’une fonction réveil, ce qui en fait un compagnon idéal pour les voyages.
La clef amovible permet de remonter le mécanisme avec précision, tandis que l’arrêt de sonnerie situé au sommet de la pendulette permet de désactiver le réveil si nécessaire.
Les aiguilles Breguet noires, finement ouvragées, contrastent élégamment avec le cadran blanc orné de chiffres romains.
Ce design classique et intemporel rend la pendulette non seulement fonctionnelle mais aussi esthétiquement plaisante.
Dimensions et Portabilité :
Avec des dimensions de 13 x 9 cm, cette pendulette est parfaitement adaptée pour les voyages.
Sa taille compacte permet de la transporter facilement, tout en offrant une lisibilité optimale.
Que ce soit sur une table de chevet dans une chambre d’hôtel ou sur un bureau lors d’un déplacement professionnel, cette pendulette trouve sa place partout.
Histoire et Héritage :
HOUR LAVIGNE, successeurs de l’Epée, est une maison horlogère renommée qui a su perpétuer la tradition d’excellence initiée par l’Epée. Fondée en 1755, l’Epée est l’une des plus anciennes manufactures horlogères suisses, connue pour ses créations innovantes et son savoir-faire artisanal.
HOUR LAVIGNE a repris cet héritage avec brio, en continuant à produire des pendulettes de haute qualité qui allient tradition et modernité.
Utilisation et Entretien :
Pour garantir la longévité et la précision de cette pendulette, il est essentiel de la remonter régulièrement à l’aide de la clef fournie.
Le mécanisme mécanique nécessite un entretien périodique pour assurer son bon fonctionnement.
Il est recommandé de faire vérifier la pendulette par un horloger qualifié tous les quelques années pour un nettoyage et une lubrification adéquats.
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Cheval de manège, attribué à Friedrich Heyn et datant d’environ 1910
2800,00 €Ce cheval de manège, attribué à Friedrich Heyn et datant d’environ 1910, est un magnifique exemple d’art forain allemand de la Neustadt du début du XXe siècle.
Il incarne l’élégance et la nostalgie des carrousels d’autrefois, témoins d’un art populaire précieux et d’un savoir-faire artisanal exceptionnel.
Sculpté en bois polychrome d’origine, ce cheval de manège témoigne d’une finition artisanale de haute qualité.
Chaque détail a été soigneusement travaillé pour offrir un rendu réaliste et expressif.
La hauteur de la pièce est de 117 cm, tandis que sa longueur atteint 103 cm, ce qui en fait une œuvre imposante et majestueuse.
La tête du cheval est particulièrement expressive, avec une gueule ouverte révélant des dents sculptées avec minutie.
Les yeux en sulfure ajoutent un réalisme saisissant, donnant l’impression que le cheval est prêt à s’élancer à tout moment.
Les membres sont chevillés, une technique traditionnelle de fabrication qui assure solidité et durabilité à la structure.
La queue, en crin véritable, conserve son authenticité et son charme, ajoutant une touche de réalisme supplémentaire.
Le harnachement est décoré de motifs géométriques en miroirs et d’éléments polychromes, soulignant le caractère festif et joyeux de l’objet. Ces décorations, typiques des manèges de l’époque, évoquent les fêtes foraines et les moments de plaisir partagés par les enfants et les adultes.
Chaque élément du harnachement a été conçu pour capter la lumière et attirer l’œil, créant un spectacle visuel éblouissant.
Malgré quelques usures dues au temps, telles qu’une oreille endommagée et la perte d’un étrier, la pièce reste en bon état général.
Ces signes de vieillissement ne font qu’ajouter à son charme et à son authenticité, racontant l’histoire de nombreuses années de service et de joie apportée aux visiteurs des fêtes foraines.
La patine actuelle de l’objet est un témoignage de son passé riche et en fait un objet de collection unique et précieux.
Quelques restaurations sont à prévoir pour lui rendre son éclat d’origine.
Une restauration minutieuse pourrait inclure la réparation de l’oreille endommagée, le remplacement de l’étrier manquant, et peut-être un léger polissage pour raviver les couleurs et les détails.
Cependant, il est important de préserver autant que possible la patine et les marques du temps, qui font partie intégrante de l’histoire de l’objet.
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Grand pichet en céramique, créé par Jean De Lespinasse dans les années 1950
480,00 €Ce très grand pichet en céramique, créé par Jean De Lespinasse dans les années 1950, est une pièce remarquable qui témoigne du savoir-faire et de l’esthétique unique de cet artiste.
Mesurant 30 cm de hauteur et 35 cm de diamètre à la panse, ce pichet impressionne par sa taille et sa présence imposante.
Jean De Lespinasse, céramiste français renommé, a su marquer son époque par ses créations audacieuses et innovantes.
Né en 1917 et décédé en 1995, il a laissé une empreinte indélébile dans le monde de la céramique, notamment grâce à ses œuvres monumentales et ses décors raffinés.
Ce pichet en est un parfait exemple, alliant une forme généreuse à un décor sophistiqué.
Le décor de ce pichet est particulièrement frappant.
Il se compose de motifs géométriques et floraux stylisés, exécutés avec une grande précision.
Les couleurs dominantes sont le noir, le blanc et l’or, créant un contraste saisissant qui attire immédiatement le regard.
Les motifs sont disposés en bandes verticales, alternant entre des formes arrondies et des lignes plus anguleuses, ce qui confère à l’ensemble une dynamique visuelle captivante.
La technique utilisée par Jean De Lespinasse pour ce pichet est tout aussi impressionnante.
La céramique est finement travaillée, avec une glaçure lisse et brillante qui met en valeur les détails du décor.
Les motifs sont probablement réalisés à l’aide de la technique de l’engobe, où une argile liquide colorée est appliquée sur la surface de la céramique avant la cuisson.
Cette méthode permet d’obtenir des couleurs vives et durables, qui résistent parfaitement au passage du temps.
L’anse du pichet est également un élément notable.
Elle est large et robuste, parfaitement adaptée à la taille de l’objet.
Sa forme arrondie et son épaisseur généreuse permettent une prise en main confortable, tout en ajoutant à l’esthétique générale de la pièce. L’anse est intégrée harmonieusement au corps du pichet, renforçant l’impression de solidité et de cohérence de l’ensemble.
Ce pichet n’est pas seulement un objet utilitaire, mais aussi une œuvre d’art à part entière.
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VENDU
Montre à gousset d’homme de Jaeger, en or massif, Lecoultre suisse
La montre à gousset présentée ici est un véritable trésor horloger, un témoignage de l’excellence et du raffinement des années 1940. Fabriquée par la prestigieuse marque Jaeger, cette montre de poche se distingue par son élégance intemporelle et sa qualité exceptionnelle.
Description Générale
Cette montre à gousset est conçue en or jaune 18 carats, un matériau noble qui confère à l’objet une valeur intrinsèque élevée.
Avec un diamètre de 44 cm, elle possède une taille généreuse qui la rend à la fois imposante et élégante.
Le poids brut de la montre est de 49 grammes, ce qui lui donne une sensation de solidité et de robustesse en main.
Mécanisme et Fonctionnement
Le mouvement de cette montre est un remontage manuel à 18 rubis, une caractéristique qui garantit une précision et une durabilité exceptionnelles.
Le mouvement suisse Lecoultre, réputé pour sa fiabilité et sa qualité, est en parfait état de fonctionnement, assurant une marche précise et fiable.
Esthétique et Design
Le cadran de cette montre est un chef-d’œuvre en soi.
Doré et argenté d’origine, il arbore un style art déco qui était très en vogue à la fin des années 1940.
Les aiguilles, probablement en or, ajoutent une touche de luxe supplémentaire à l’ensemble.
Le design du cadran, avec ses chiffres et ses index, est à la fois sobre et sophistiqué, reflétant l’esthétique raffinée de l’époque.
État et Usure
L’usure de cette montre est conforme à son âge et à son utilisation.
Les signes de vieillissement, tels que les légères rayures et les patines, ne font qu’ajouter à son charme et à son authenticité.
Ces marques du temps témoignent de son histoire et de son utilisation par ses précédents propriétaires.
La chaîne, d’une longueur de 41 cm et d’un poids net de 13,6 grammes, complète parfaitement l’ensemble.
Elle est non seulement fonctionnelle, permettant de porter la montre en toute sécurité, mais elle ajoute également une touche d’élégance supplémentaire.
Conclusion
En somme, cette montre à gousset Jaeger des années 1940 est bien plus qu’un simple instrument de mesure du temps.
C’est un objet de collection, un témoignage de l’art horloger suisse et un symbole de luxe et de raffinement.
Que ce soit pour un collectionneur passionné ou pour un amateur d’objets vintage, cette montre est un investissement qui traversera les générations, continuant à raconter son histoire et à charmer par sa beauté intemporelle.
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Pendulette d’officier, horloge réveil de voyage en bronze et laiton doré
260,00 €Cette ancienne pendulette d’officier, également connue sous le nom d’horloge et réveil de voyage, est un véritable bijou d’horlogerie de la fin du XIXe siècle.
Fabriquée en bronze et laiton doré, elle incarne l’élégance et la précision des objets de cette époque.
La pendulette se distingue par son design raffiné et ses matériaux nobles.
Le boîtier en bronze et laiton doré présente une dorure d’origine remarquablement bien conservée, ajoutant une touche de luxe et de sophistication.
Les carreaux biseautés offrent une vue claire sur le mécanisme interne, permettant d’admirer la complexité et la beauté de l’horlogerie mécanique.
Le mécanisme à sonnerie est l’un des points forts de cette pendulette.
Il est en parfait état de fonctionnement, témoignant de la qualité de fabrication et de l’expertise des horlogers de l’époque.
La sonnerie, qui marque les heures désirées, ajoute une dimension auditive à cette pièce, la rendant non seulement utile mais aussi agréable à vivre, mais je ne suis pas en possession de sa clé.
Avec une hauteur de 12,5 cm sans la poignée, cette pendulette est compacte et facilement transportable.
Conçue pour les officiers et les voyageurs, elle était idéale pour ceux qui devaient se déplacer fréquemment mais avaient besoin d’une horloge fiable et précise.
La poignée, visible sur les images, devait faciliter son transport, la rendant pratique pour les déplacements.
La fin du XIXe siècle a été une période de grande innovation et de raffinement dans le domaine de l’horlogerie.
Les horlogers de l’époque maîtrisaient parfaitement les techniques de fabrication et de décoration, créant des pièces qui étaient à la fois fonctionnelles et esthétiquement plaisantes.
Cette pendulette est un exemple parfait de cette époque, où l’art et la science se rencontraient pour produire des objets d’une grande valeur.
Pour les collectionneurs d’horlogerie ancienne, cette pendulette d’officier est une pièce de choix.
Sa rareté, son état de conservation et son fonctionnement impeccable en font un objet de grande valeur.
Elle peut être exposée comme une œuvre d’art ou utilisée pour sa fonction originale, ajoutant une touche d’histoire et de prestige à n’importe quel intérieur.
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VENDU
Grosse pendule marbre noir, bronze de Cléopâtre allongée a moitié nue, XIXe siècle
Cette grosse pendule en marbre noir est un véritable chef-d’œuvre d’art horloger et de sculpture.
Elle se distingue par ses éléments en bronze doré, qui ajoutent une touche de luxe et d’élégance à l’ensemble.
Les coins de la pendule sont ornés de têtes en bronze doré, qui semblent veiller sur le temps qui passe.
Ces détails sculpturaux témoignent d’un savoir-faire artisanal exceptionnel et d’une attention méticuleuse aux détails.
La pièce maîtresse de cette pendule est sans conteste la sculpture en bronze à patine brune qui la surmonte.
Cette sculpture représente Cléopâtre, la célèbre reine d’Égypte, allongée dans une pose langoureuse.
Elle tient dans sa main un serpent, symbole de son destin tragique.
Cléopâtre est représentée à moitié nue, drapée dans un tissu fluide qui laisse deviner les courbes de son corps.
Elle repose sur un matelas richement décoré de hiéroglyphes et d’ailes, évoquant l’art et la culture de l’Égypte antique.
La sculpture de Cléopâtre est un hommage à la beauté et à la tragédie de cette figure historique.
La patine brune du bronze confère à la sculpture une profondeur et une richesse visuelle, tout en soulignant les détails délicats de la figure et des motifs égyptiens.
Les hiéroglyphes et les ailes sur le matelas ajoutent une dimension mystique et symbolique à l’œuvre, rappelant les croyances et les mythes de l’Égypte ancienne.
La pendule elle-même est un témoignage de l’art horloger.
Malgré quelques chiffres manquants et l’absence du cadran avant, elle conserve une présence imposante et majestueuse.
Les dimensions de la pendule, avec une hauteur de 44 cm et une largeur de 53 cm, en font une pièce de collection remarquable, capable de capter l’attention dans n’importe quel intérieur.
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VENDU
Une éclatante paire de bougeoirs anciens en bronze doré et argenté
Une Éclatante Paire de Bougeoirs Anciens en Bronze Doré et Argenté – Témoins du Raffinement du XIXe Siècle
Plongez dans l’élégance intemporelle du XIXe siècle avec cette magnifique paire de bougeoirs anciens en bronze doré et argenté.
Ces pièces remarquables illustrent l’excellence artistique et le savoir-faire exceptionnel des artisans de l’époque.
Parfaitement conservées, elles représentent non seulement des objets utilitaires, mais également de véritables œuvres d’art, témoins du style néo-classique en vogue à cette époque.
Une Composition Harmonieuse
Chaque bougeoir est conçu pour accueillir deux bougies, une configuration qui ajoute une dimension symétrique et équilibrée à leur design. Les bras qui soutiennent les porte-bougies sont élégamment sculptés et ornés de chaînes décoratives finement travaillées, témoignant de la minutie des détails propres à l’artisanat du XIXe siècle.
Ces chaînes, d’une délicatesse, relient les différents éléments de manière à la fois fonctionnelle et décorative, accentuant l’harmonie visuelle de l’ensemble.
L’Éclat des Figures Néo-Classiques
Au cœur du design, des personnages féminins sculptés dans un style néo-classique dominent la composition.
Ces figures gracieuses, inspirées de l’Antiquité, incarnent le raffinement et la sophistication de leur époque.
Drapées dans des étoffes délicatement travaillées et rehaussées de dorures, elles se tiennent dans des poses dynamiques, donnant vie et mouvement à l’ensemble.
Les visages finement ciselés, empreints de douceur et d’expression, traduisent une maîtrise exceptionnelle dans la sculpture du bronze.
Ces figures ne sont pas seulement des éléments décoratifs, mais elles apportent une narration subtile, rappelant les mythes et légendes antiques.
Elles tiennent en hauteur les bras soutenant les bougies, leur posture conférant une majesté naturelle à l’ensemble.
Une Base d’une Richesse Exceptionnelle
Les bougeoirs reposent sur des bases solidement travaillées, elles-mêmes décorées avec une grande richesse.
Ces bases sont ornées de motifs floraux et géométriques délicats, caractéristiques des tendances ornementales du XIXe siècle.
Les pieds courbés, à la fois élégants et robustes, offrent une stabilité impeccable tout en apportant une touche supplémentaire de raffinement.
L’Alliance Parfaite entre Esthétique et Fonctionnalité
Au-delà de leur aspect décoratif, ces bougeoirs témoignent d’une fonctionnalité parfaitement pensée.
Le choix des matériaux – bronze doré et argenté – ne reflète pas seulement une recherche esthétique, mais aussi une durabilité exceptionnelle.
Cette combinaison de matériaux crée un contraste visuel saisissant, renforçant leur attrait.
Ces bougeoirs sont idéals pour illuminer une table ou une cheminée, apportant une ambiance chaleureuse et sophistiquée à n’importe quel intérieur.
Leur design intemporel permet une intégration harmonieuse dans des décors classiques comme modernes, tout en racontant une histoire riche et fascinante.
Une Pièce de Collection
Cette paire de bougeoirs constitue un ajout inestimable pour les amateurs et collectionneurs de mobilier d’époque.
Elle incarne l’alliance parfaite entre l’art et l’artisanat, offrant une fenêtre sur le savoir-faire et l’esthétique du XIXe siècle.
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Julien Leroy à Paris, belle pendule en bronze doré XIXe siècle
1400,00 €La pendule en bronze doré du XIXe siècle, circa 1880, est un véritable chef-d’œuvre de style Louis XVI, incarnant une élégance rare et un savoir-faire horloger exceptionnel.
Cette pièce, d’une beauté intemporelle, est ornée de deux amours gracieux qui ajoutent une touche de charme et de délicatesse à l’ensemble. Surmontée d’un bouquet fleuri délicatement travaillé, elle célèbre la nature et la finesse artistique de l’époque.
La pendule est ceinturée de tores de lauriers, symboles de victoire et d’éternité, qui encadrent la borne centrale, élément principal de la composition.
Ces motifs végétaux, finement ciselés, rappellent les couronnes de lauriers des héros antiques, ajoutant une dimension historique et symbolique à la pièce.
La borne centrale est encadrée par des allégories des arts libéraux, témoignant de l’influence culturelle et artistique de l’époque.
Ces allégories, représentant des disciplines telles que la musique, la géométrie et l’astronomie, soulignent l’importance des arts et des sciences dans la société du XIXe siècle.
Le cadran émaillé, sublimé par ses chiffres romains, porte la signature prestigieuse de Julien Le Roy à Paris.
Cette signature est un gage de qualité et de raffinement, renvoyant à une tradition horlogère reconnue et respectée.
Julien Le Roy, horloger du roi Louis XV, était célèbre pour ses créations précises et élégantes, et sa signature sur cette pendule atteste de son héritage et de son savoir-faire.
L’ensemble repose sur des pieds toupies, caractéristiques du style Louis XVI, apportant stabilité et finesse à cette pièce unique.
Ces pieds, élégamment tournés, confèrent à la pendule une allure gracieuse et équilibrée, typique du mobilier de cette époque.
Datée de l’époque Napoléon III, cette pendule incarne parfaitement l’harmonie entre l’héritage classique et l’esthétique du XIXe siècle.
Elle témoigne de la continuité et de l’évolution des styles, mariant la rigueur classique du XVIIIe siècle avec les innovations et les influences artistiques du XIXe siècle.
Avec ses dimensions harmonieuses (H : 48 cm, L : 37 cm, P : 17 cm), cette pendule saura trouver sa place dans tout intérieur élégant, apportant une touche d’histoire et de raffinement à votre décoration.
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Rare vierge chryséléphantine en bois sculpté époque XVIIIe siècle
650,00 €Cette sculpture chryséléphantine du 18e siècle est un exemple rare et précieux de l’artisanat de l’époque.
Fabriquée en bois sculpté, elle se distingue par son visage en ivoire finement ciselé, rehaussé d’yeux en verre qui lui confèrent une expression saisissante de réalisme et de profondeur.
La technique chryséléphantine, qui combine l’ivoire et le bois, était particulièrement prisée pour sa capacité à créer des œuvres d’une grande finesse et d’un réalisme frappant.
Cette sculpture en est un parfait exemple, avec un visage en ivoire qui contraste magnifiquement avec le corps en bois sculpté.
Les détails du visage, notamment les yeux en verre, ajoutent une dimension supplémentaire de réalisme et de sophistication à l’œuvre.
La sculpture mesure 42 cm de hauteur, ce qui en fait une pièce de taille respectable, idéale pour être exposée de manière visible dans un intérieur raffiné.
Les proportions harmonieuses et les détails minutieux témoignent du savoir-faire exceptionnel de l’artisan qui l’a créée.
Il est à noter que les mains de la sculpture, probablement en ivoire également, sont manquantes.
Cette absence, bien que regrettable, n’enlève rien à la beauté et à la valeur historique de l’œuvre.
Elle ajoute même une dimension supplémentaire à son histoire, invitant à imaginer les péripéties qu’elle a pu traverser au fil des siècles.
Le bois utilisé pour le corps de la sculpture est finement travaillé, avec des motifs et des textures qui témoignent d’un grand soin apporté à chaque détail.
Les vêtements, en particulier, sont rendus avec une précision qui donne l’impression de tissus réels, ajoutant à l’illusion de réalisme.
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Rare grand porte bougies, en fer forgé XIXe siècle, religieux
1600,00 €Ce porte-bougies ancien en fer forgé est un témoignage exceptionnel de l’artisanat du XIXe siècle, sublimant le savoir-faire des maîtres ferronniers de l’époque.
Avec une hauteur imposante de 170 cm, il impressionne par son allure majestueuse et son riche décor, qui reflètent à la fois l’élégance et la profondeur symbolique des objets sacrés d’autrefois.
Probablement destiné à un usage religieux dans une église ou une chapelle, cet objet a traversé les époques en conservant son authenticité et son histoire.
Son design soigné et ses détails minutieux évoquent l’atmosphère spirituelle et le raffinement esthétique caractéristique du romantisme.
En effet, cette période visait à réconcilier le sacré et la beauté, créant des œuvres aussi fonctionnelles qu’artistiques.
Le travail du fer forgé, remarquable par sa finesse, est au cœur de cette pièce.
On peut admirer de délicates volutes harmonieusement entrelacées, qui confèrent à l’ensemble une fluidité et une légèreté visuelle malgré sa structure solide.
Ces arabesques témoignent d’une maîtrise parfaite de la technique, où chaque courbe semble soigneusement pensée pour créer un équilibre esthétique.
Une barre centrale ornée de motifs végétaux raffinés ajoute une dimension poétique à l’ensemble. Ce décor, évoquant des feuillages, symbolise la vie, la foi et la connexion avec la nature divine, thèmes chers à l’art religieux de l’époque.
Bien au-delà de sa fonction première de porte-bougies, cette pièce peut être considérée comme une véritable œuvre d’art.
Ses lignes gracieuses et solides incarnent l’esthétique romantique, où chaque objet religieux se voulait porteur de sens tout en étant visuellement captivant.
Ce mariage entre spiritualité et sophistication confère à ce porte-bougies une place unique parmi les objets anciens.
Pour les amateurs d’antiquités religieuses ou de décorations authentiques, cet objet rare représente une trouvaille exceptionnelle.
En plus d’être une pièce de collection, il peut enrichir un intérieur en apportant une atmosphère intemporelle et une touche spirituelle.
Placé dans une pièce, il capte naturellement l’attention, devenant à la fois un point focal et un rappel du patrimoine artisanal et religieux.
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Belle pendule XIXe bronze et marbre, signée Bollotte à Paris
Cette belle pendule du XIXe siècle est un exemple remarquable de l’art décoratif français, combinant harmonieusement le bronze doré et le marbre blanc.
Son design soigné illustre la finesse et le raffinement de l’époque, en mettant en valeur une esthétique classique qui demeure intemporelle.
Au centre de cette œuvre trône une figure féminine en bronze à patine brune, incarnant une femme à l’antique.
Représentée dans une posture gracieuse et décontractée, elle est accoudée sur la partie supérieure de la pendule, où se cache le mécanisme horloger.
Cette représentation féminine, à la fois élégante et sereine, illustre les canons esthétiques de l’époque, marqués par une admiration pour l’Antiquité classique.
Le contraste entre la patine brune de la figure et l’éclat du marbre blanc rehausse la sophistication de l’ensemble.
L’encadrement du mécanisme, richement orné, est en bronze doré.
On y trouve des motifs raffinés de lions majestueux, symbolisant la force et la noblesse, ainsi que des feuillages finement ciselés.
Ces ornements délicats témoignent du talent des artisans parisiens, qui maîtrisaient l’art de combiner richesse des matériaux et subtilité d’exécution.
Chaque détail est soigneusement travaillé, reflétant une exigence esthétique élevée propre aux objets d’exception.
Le mécanisme de la pendule porte la signature « Bollotte », un atelier de renom situé rue Neuve Vivienne à Paris.
Ce nom est synonyme de qualité et d’excellence, deux valeurs primordiales dans la conception d’une telle pièce.
La fabrication du mécanisme, à la fois esthétique et fonctionnelle, souligne le savoir-faire irréprochable des horlogers de l’époque. L’intégration harmonieuse du mécanisme dans cette composition sculpturale met en avant un équilibre parfait entre fonctionnalité et beauté.
Les pieds de la pendule, également réalisés en bronze sculpté, ajoutent une touche supplémentaire d’élégance tout en assurant une stabilité optimale.
Leur conception est en accord avec le reste de l’œuvre, reflétant une continuité stylistique et un souci du détail qui caractérisent les créations d’exception.
Avec ses dimensions imposantes, 49 cm de hauteur et 51 cm de largeur, cette pendule se distingue comme une pièce maîtresse.
Ses proportions généreuses lui permettent de capter l’attention et d’occuper une place de choix dans un intérieur raffiné.
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Hermann Haase-Ilsenburg (1869-1960), l’enlèvement d’Europe, sculpture bronze
2500,00 €Je vous présente une sculpture en bronze exceptionnelle, une création captivante qui illustre l’histoire mythique d’Europe, la belle princesse phénicienne enlevée par Zeus, le roi des dieux de l’Olympe » L’enlèvement d’Europe « .
Ce récit fascinant, parmi les plus célèbres de la mythologie gréco-romaine, a inspiré les artistes depuis des siècles.
Ici, cette légende prend vie dans une interprétation magistrale de l’artiste Hermann Haase-Ilsenburg (1869-1960), un sculpteur allemand renommé, particulièrement apprécié pour ses contributions remarquables dans le style Art déco primitif.
Un sujet mythologique intemporel
La légende d’Europe est un symbole puissant de transformation, de beauté et de mystère.
Dans ce mythe, Zeus se métamorphose en un majestueux taureau blanc pour approcher Europe, la séduire et l’emmener loin de son foyer. Cette scène dramatique, riche en symbolisme, a été maintes fois réinterprétée dans l’histoire de l’art, de la peinture à la sculpture en passant par la littérature et les arts décoratifs.
Hermann Haase s’inscrit dans cette tradition en offrant une version unique, marquée par une sensibilité contemporaine et une maîtrise technique exceptionnelle.
Une œuvre d’Art déco primitif
La sculpture reflète le style Art déco primitif, un mouvement qui conjugue l’élégance moderne et des influences inspirées des cultures anciennes.
Avec sa patine brune, la surface du bronze capte subtilement la lumière, mettant en valeur les détails soigneusement travaillés.
Chaque courbe et chaque expression traduisent la maîtrise artistique de Haase.
La figure repose sur un socle en marbre gris moucheté, ajoutant une base contrastée et raffinée à l’ensemble.
Ce choix de matériaux confère à la sculpture une stabilité et une sophistication qui enrichissent l’impact visuel global de l’œuvre.
Hermann Haase-Ilsenburg : un maître sculpteur
Hermann Haase-Ilsenburg, né en Allemagne en 1869 et décédé en 1960, a marqué le domaine de la sculpture par son talent exceptionnel et sa capacité à capturer l’émotion humaine à travers des formes matérielles.
Formé dans des académies d’art prestigieuses, il a développé un style personnel mêlant les influences classiques et modernes.
Son travail se distingue par une attention rigoureuse aux détails, une expressivité saisissante et un sens aigu de l’équilibre formel.
Il a consacré sa carrière à traduire des récits intemporels et des émotions universelles en œuvres d’art palpables, comme en témoigne cette pièce.
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Magnifique pendule horloge en bronze cathédrale néo gothique XIXe siècle
1600,00 €Cette pendule en bronze doré, mesurant 44 cm de hauteur, est une pièce décorative remarquable datant de la fin du XIXe siècle.
Inspirée par l’architecture gothique, elle se distingue par sa forme évoquant une cathédrale et par une ornementation riche et minutieuse, qui illustre les prouesses artistiques et artisanales de cette époque.
Une architecture miniature d’inspiration gothique
L’ensemble de la pendule s’inscrit dans une esthétique gothique, reprenant les éléments caractéristiques de ce style architectural.La base est ornée d’arcatures finement sculptées, supportées par des colonnes élancées qui rappellent les piliers majestueux des grandes cathédrales médiévales.
Ces détails accentuent l’élan vertical et la complexité ornementale de la pièce, offrant une impression de hauteur et de légèreté.
Le sommet de la pendule est surmonté d’une flèche gothique élancée, symbole architectural par excellence de ce style.
Ce détail renforce l’impression de verticalité, tandis que les ornements ajourés, combinant des motifs floraux et géométriques, enrichissent encore son apparence.
Ces éléments témoignent d’un travail de ferronnerie d’art particulièrement sophistiqué, où chaque détail semble pensé pour capturer l’essence du gothique tout en la transposant à une échelle domestique.
Un cadran raffiné et fonctionnel
Au centre de la structure, un cadran en émail blanc constitue le cœur fonctionnel de la pendule.Ce cadran circulaire est cerclé de motifs floraux délicats qui s’harmonisent avec les autres éléments décoratifs.
Les chiffres romains noirs, associés aux aiguilles en acier finement travaillées, offrent un contraste visuel élégant tout en facilitant la lecture de l’heure.
Ce cadran est également doté d’un mécanisme ingénieux qui permet de le retirer pour le remontage, soulignant à la fois la fonctionnalité et l’ingéniosité technique de l’objet.
Un éclat patiné par le temps
Le bronze doré, utilisé comme matériau principal, confère à la pendule une lumière douce et chaleureuse.Avec le temps, la dorure a acquis une légère patine, accentuant l’impression d’ancienneté et d’authenticité.
Cette combinaison de dorure brillante et de patine subtile rappelle la richesse des intérieurs bourgeois de la fin du XIXe siècle, où de tels objets étaient prisés pour leur capacité à conjuguer utilité et beauté.
Un témoignage du goût historiciste
Cette pendule illustre le goût historiciste caractéristique de la fin du XIXe siècle, période marquée par une réinterprétation des styles artistiques du passé.À travers cette pièce, le style gothique est revisité non pas pour sa fonction architecturale originelle, mais pour sa valeur décorative et symbolique.
L’objet témoigne d’un dialogue entre histoire et modernité, où les formes anciennes sont adaptées aux besoins et aux sensibilités esthétiques de l’époque.
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Grande statue XIXe en plâtre représentant un guerrier africain
Je vous présente une pièce rare et spectaculaire : une grande statue en plâtre datant du XIXe siècle, représentant un guerrier africain, une figure iconique et majestueuse.
Avec une hauteur impressionnante de 203 cm (sans compter la lance en bois peint en blanc), cette œuvre combine une présence saisissante et une finesse d’exécution remarquable.
Description et détails
La statue représente un guerrier africain debout, dans une pose noble et affirmée.D’une main, il tient une lance en bois, tandis que l’autre repose sur sa hanche, exprimant force et confiance.
Le visage du guerrier est particulièrement expressif, avec des traits finement sculptés qui témoignent du savoir-faire de l’artiste.
Sa coiffure texturée, son regard fier dirigé vers l’horizon, et les détails soignés des ornements autour de son cou reflètent un réalisme et une sensibilité artistiques caractéristiques de l’époque.
Le vêtement est également élaboré avec soin : le guerrier est vêtu d’un pagne sculpté avec précision, comportant des plis et textures qui accentuent le rendu réaliste de la sculpture.
La base circulaire sur laquelle repose la statue assure stabilité et élégance.
La lance, en bois peint d’une teinte blanche pour s’harmoniser avec la pièce, donne une dynamique supplémentaire à l’ensemble, rappelant les codes du XIXe siècle où les objets exotiques étaient magnifiés dans les arts décoratifs.
Un contexte historique et artistique
Cette statue s’inscrit parfaitement dans l’esprit du XIXe siècle, une période marquée par un fort attrait pour l’exotisme et les représentations idéalisées des cultures du monde.En Europe, cet exotisme romantique influença de nombreux artistes, qui cherchaient à immortaliser des figures emblématiques et à célébrer la diversité culturelle.
Ces sculptures étaient souvent commandées pour des salons, des galeries ou des collections privées, où elles occupaient une place de choix, symbolisant à la fois un goût pour l’art et une fascination pour l’ailleurs.
Les œuvres de cette envergure, tant par leur taille que par leur qualité artistique, sont devenues rares sur le marché de l’art.
Ce modèle particulier pourrait également avoir été conçu comme une œuvre commémorative ou une interprétation libre destinée à valoriser les cultures extra européennes dans un contexte colonial.
Un atout pour vos espaces
Avec ses proportions imposantes et son allure grandiose, cette statue s’intègrera parfaitement dans divers environnements : une galerie d’art, un hall spacieux, un intérieur à la décoration classique ou éclectique.Elle ne manquera pas de devenir une pièce maîtresse, attirant l’attention et suscitant l’admiration des visiteurs.
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Joli miroir en laiton dit « de sorcière », circa 1950, style Louis XVI
Ce magnifique miroir dit « de sorcière », datant de la fabrication autour des années 1950, est une pièce remarquable qui conjugue élégance et tradition artisanale.
Avec son décor richement orné et son style Louis XVI, il évoque le raffinement intemporel des créations classiques tout en étant représentatif des réinterprétations du milieu du XXᵉ siècle.
Ses dimensions équilibrées et sa qualité de fabrication en font un objet aussi décoratif que fonctionnel, idéal pour agrémenter une variété d’intérieurs.
Un miroir bombé au charme unique
Le miroir présente un verre bombé, caractéristique des miroirs dits « de sorcière ».
Ce type de miroir, souvent associé aux XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles, se distingue par sa surface convexe qui offre une vision élargie et légèrement déformée de l’espace.
Cela confère à la pièce une aura mystique et en fait un point focal captivant dans n’importe quelle pièce.
Ici, le diamètre du miroir bombé, mesuré à vue, est de 30 cm, une taille idéale pour capter la lumière et élargir visuellement un espace sans dominer le décor.
Un cadre raffiné dans le style Louis XVI
Le cadre, en laiton travaillé, s’inscrit dans une esthétique classique propre au style Louis XVI.
Il arbore des ornements minutieusement façonnés qui rappellent les codes décoratifs du XVIIIᵉ siècle, réinterprétés ici avec une maîtrise typique des productions d’après-guerre.
Parmi les éléments décoratifs figurent des flambeaux élégamment disposés sur le fronton supérieur.
Ces motifs symbolisent la lumière et la connaissance, renforçant l’idée d’un miroir comme source d’éclat et de clarté.
Des nœuds de rubans délicatement sculptés viennent compléter le décor, évoquant la douceur et l’harmonie souvent associées à l’art ornemental Louis XVI.
Des branchages et des feuillages stylisés, soigneusement agencés autour du cadre, ajoutent une touche organique, ancrant la pièce dans une esthétique naturaliste.
Enfin, une frise de perles souligne le contour du miroir, un détail emblématique des créations Louis XVI qui traduit un goût pour la symétrie et le raffinement.
Des proportions harmonieuses
Ce miroir atteint une hauteur totale de 57 cm, ce qui en fait une pièce d’une présence affirmée mais non envahissante.
Cette hauteur, combinée au diamètre du miroir bombé de 30 cm, offre des proportions équilibrées.
Il peut être suspendu au-dessus d’une cheminée, intégré dans un mur de cadres ou placé dans un vestibule pour apporter une note de distinction.
Une fabrication circa 1950
Bien que ce miroir s’inspire des créations Louis XVI, il a été fabriqué autour des années 1950.
Cette époque a vu un regain d’intérêt pour les styles historiques, souvent revisités avec des techniques modernes de production.
Le choix du laiton, à la fois durable et esthétique, témoigne de cette approche, tandis que le savoir-faire dont il est issu garantit une qualité exceptionnelle.
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Plateau à fond de miroir et contour en argent massif sculpté
Ce superbe plateau ancien, de forme ovale, représente un mariage harmonieux entre élégance et fonctionnalité.
Véritable objet d’art et d’histoire, il séduit immédiatement par son raffinement et le soin apporté à ses détails.
Le centre du plateau est un miroir aux reflets subtils, qui ajoute une touche de lumière et de profondeur à la pièce.
Ce fond en glace est entouré d’un cadre en argent massif poinçonné 800/1000ème, signe de qualité et d’authenticité.
Ce métal précieux présente une patine douce qui lui confère tout le charme des objets anciens tout en soulignant son éclat naturel. L’entourage en argent est sublimé par de délicats motifs sculptés représentant des fleurs en relief, accompagnées de feuillages finement ciselés.
Ces motifs, réalisés avec une grande précision, témoignent d’un artisanat de haute qualité, typique des pièces décoratives des siècles passés.
Le contour du plateau adopte une forme légèrement ondulée, renforçant son esthétique gracieuse et fluide.
Ce design apporte une touche de mouvement et de légèreté à l’ensemble, tandis que les motifs floraux contribuent à son charme romantique. Ces décorations sont typiques de l’orfèvrerie classique, souvent influencée par les styles rococo ou Art nouveau, selon la période de fabrication.
La base du plateau est en bois massif, soigneusement poli et découpé pour correspondre parfaitement à la forme du cadre en argent.
Ce bois apporte un contraste chaleureux à la brillance de l’argent et assure une structure solide et durable.
Le plateau repose sur quatre petits pieds en forme de toupies, également en argent, qui élèvent légèrement la pièce.
Ces pieds ne sont pas seulement fonctionnels, mais également décoratifs, offrant une stabilité parfaite tout en permettant au plateau de s’intégrer avec élégance à toutes les surfaces.
Avec ses dimensions généreuses de 46 cm de longueur et 33 cm de largeur, ce plateau est aussi bien un élément fonctionnel qu’un objet décoratif exceptionnel.
Il peut être utilisé pour servir des boissons, des desserts ou d’autres éléments raffinés lors d’une réception, tout en ajoutant une touche de prestige à l’occasion.
En dehors de son usage pratique, il peut également être exposé en tant que pièce maîtresse sur une table ou un buffet, où il attirera l’attention grâce à son éclat et ses détails minutieux.
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Sculpture en terre cuite patinée – Le Fleuve – D’après Jean Jacques Caffieri
2800,00 €Sculpture en terre cuite patinée – « Le Fleuve »
d’après Jean-Jacques Caffieri, école française du XVIIIe siècleCette sculpture en terre cuite patinée, intitulée « Le Fleuve », est une œuvre d’une grande finesse, inspirée du modèle original en marbre du sculpteur français Jean-Jacques Caffieri (1725-1792), figure emblématique de l’école française du XVIIIe siècle.
Réalisée probablement vers la fin du XIXe siècle, elle témoigne de la fascination pour les chefs-d’œuvre classiques et de l’engouement pour les reproductions d’artistes illustres de cette époque.
Un hommage à l’excellence de Caffieri
Signée sur la base « Monsieur Caffier 1759 », cette pièce rend hommage à l’œuvre originale de Caffieri, conservée au musée du Louvre à Paris. Jean-Jacques Caffieri, connu pour ses portraits sculptés et ses allégories, a marqué le XVIIIe siècle par son élégance et son attention méticuleuse aux détails.
Ce modèle marbre, créé dans une période de faste artistique, représente une figure allégorique d’un fleuve, symbole de puissance et de continuité.
Cette version en terre cuite témoigne d’un savoir-faire remarquable.
Le matériau utilisé, patiné avec soin, imite avec subtilité la noblesse du marbre tout en offrant une chaleur et une légèreté propres à la terre cuite.
Sa patine confère à l’œuvre un caractère intemporel, renforçant l’impression d’avoir affaire à un original d’époque.
Description et détails
Haute de 58 cm, cette sculpture attire immédiatement le regard par ses proportions harmonieuses et la délicatesse de ses détails.
La figure allégorique, probablement masculine, est représentée dans une posture majestueuse.
Les drapés fluides et dynamiques soulignent le mouvement de l’eau, tandis que les muscles finement sculptés traduisent la force et la vigueur associées aux cours d’eau puissants.
Les traits expressifs et le travail minutieux des cheveux témoignent de l’influence baroque sur Caffieri, qui mêle puissance et grâce.
Les courbes douces et les contrastes subtilement marqués entre les surfaces lisses et texturées ajoutent à l’attrait visuel de l’œuvre. L’inscription sur la base, évoquant la date de 1759, renforce la filiation avec l’original tout en ajoutant une touche d’authenticité et d’histoire à cette version postérieure.
Une sculpture d’époque, mais intemporelle
Bien que cette œuvre ait été réalisée à la fin du XIXe siècle, elle s’inscrit dans une longue tradition d’admiration et de réinterprétation des maîtres du XVIIIe siècle.
À cette époque, les reproductions d’œuvres célèbres étaient très recherchées par les amateurs d’art et les collectionneurs, désireux de posséder une part de l’héritage artistique français.
Ce type de création, qui marie un sujet classique à une technique raffinée, reflète également l’essor de la bourgeoisie et l’élargissement de l’accès à l’art.
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Grand plateau ovale, époque Napoléon III (XIXe siècle), en carton bouilli
240,00 €Je vous présente un splendide plateau de forme ovale, témoin du raffinement artistique et des techniques de fabrication caractéristiques de la seconde moitié du XIXe siècle, sous le règne de Napoléon III.
Cet objet d’art et d’usage courant, confectionné en papier mâché ou carton bouilli, illustre l’excellence des artisans de cette époque qui combinaient habilement innovation technique et goût pour l’ornementation délicate.
Un décor floral peint à la main et nacré
Le centre du plateau dévoile un magnifique bouquet de fleurs, peint à la main avec une finesse remarquable.
Ce décor, typique de l’art décoratif sous Napoléon III, met en scène une composition florale vibrante aux couleurs délicates.
L’ajout d’incrustations en nacre rehausse le design en apportant des reflets irisés qui captent la lumière et attirent l’œil.
Ces incrustations, très en vogue à l’époque, témoignent du souci du détail et de l’élégance recherchée dans les objets de ce style.
Une fabrication typique du XIXe siècle
Le plateau est fabriqué à partir de papier mâché ou de carton bouilli, des matériaux prisés au XIXe siècle pour leur légèreté et leur résistance, mais aussi pour leur capacité à être façonnés et décorés avec minutie.
Ce procédé de fabrication consistait à superposer des couches de papier ou de carton, solidifiées par la chaleur et la pression, puis vernies pour leur donner un aspect laqué.
Durant cette période, ces plateaux servaient tant pour leur fonction pratique que pour leur rôle décoratif.
Ils étaient souvent utilisés dans les salons bourgeois ou les demeures élégantes, où l’on appréciait les objets au charme à la fois fonctionnel et esthétique.
Le charme des traces du temps
Comme beaucoup de pièces utilitaires ayant traversé les décennies, ce plateau porte les traces d’un usage intensif et présente quelques anciennes réparations.
Ces marques du temps n’enlèvent rien à son authenticité ni à son charme.
Au contraire, elles racontent une histoire et soulignent la robustesse et la valeur sentimentale de l’objet.
Ce plateau est donc bien plus qu’un simple accessoire : c’est un fragment d’histoire qui saura trouver sa place dans une décoration intérieure où le vintage et l’authentique sont mis à l’honneur.
Dimensions et disponibilité
Avec ses dimensions généreuses de 49 cm x 61 cm, ce plateau s’impose comme un objet aussi pratique que décoratif.
Il peut servir à la fois pour présenter des mets lors de vos réceptions ou pour embellir un espace, tel un élément décoratif accroché au mur ou posé sur un buffet.
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Magnifique grand pichet art nouveau en métal argenté vers 1900
Magnifique aiguière ancienne en métal argenté : une pièce d’exception
Je vous propose une superbe aiguière ancienne, également connue sous le nom de grand pichet, qui incarne le raffinement et l’élégance des arts décoratifs de son époque.
Réalisée en métal argenté de haute qualité, cette pièce exceptionnelle est une véritable œuvre d’art.
Ses finitions soignées et son design richement ornementé témoignent d’un savoir-faire artisanal remarquable.
Un design empreint de poésie et de raffinement
Cette aiguière est ornée de motifs floraux stylisés caractéristiques du mouvement Art Nouveau, un style artistique qui a marqué la fin du XIXᵉ et le début du XXᵉ siècle.
Les fleurs, délicatement sculptées, semblent jaillir de la surface métallique, évoquant une nature vivante et élégante.
Les frises de grecques qui entourent l’aiguière apportent une touche d’harmonie et d’équilibre, renforçant l’impression d’un objet à la fois fonctionnel et décoratif.
L’anse en forme de gargouille est un détail spectaculaire qui attire immédiatement l’attention.
Inspirée des créatures fantastiques qui ornent souvent les édifices gothiques, cette gargouille confère une dimension mystique et fascinante à l’aiguière.
Non seulement elle est impressionnante par son réalisme, mais elle est aussi pensée pour assurer une prise en main confortable et pratique.
Un objet rare et convoité
Avec ses 40,5 cm de hauteur, cette aiguière ne passe pas inaperçue.
Son imposante présence en fait un objet idéal pour agrémenter une table de réception, un buffet ou une vitrine de collection.
Les amateurs d’antiquités et les passionnés de décoration d’intérieur reconnaîtront immédiatement la valeur de cette pièce unique.
Les aiguières en métal argenté aussi finement travaillées sont aujourd’hui extrêmement rares, ce qui ajoute à l’intérêt de cet objet.
Ce pichet ancien se distingue par son état de conservation remarquable et sa qualité de fabrication, des caractéristiques recherchées par les collectionneurs exigeants.
Il s’agit d’une pièce qui saura trouver sa place dans les plus belles demeures et qui apportera une touche de prestige à n’importe quel intérieur.
Une opportunité à saisir à Rouen
Cette pièce d’exception est visible dans ma boutique située sur Rouen Rive Droite, au cœur d’un quartier reconnu pour son charme et ses trésors antiques.
Que vous soyez collectionneur, amateur d’art ou simplement à la recherche d’un cadeau unique et précieux, cette aiguière saura vous séduire. C’est une occasion rare de posséder un objet chargé d’histoire, témoin d’une époque révolue où l’artisanat et le souci du détail étaient au cœur de la création.
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Belle et ancienne aiguière en étain art nouveau signé de Noel Ruffier
580,00 €Noël Ruffier, sculpteur et orfèvre français actif à la fin du XIXᵉ siècle et au début du XXᵉ siècle, est connu pour ses créations alliant symbolisme et virtuosité technique.
Né en 1847, il s’inscrit dans le mouvement de l’Art Nouveau, qui privilégie l’expression organique, les motifs naturalistes et une vision esthétique souvent empreinte de mystère et de sensualité.
L’aiguière qu’il a créée, une pièce remarquable datant d’environ 1900, témoigne de ce style et de l’habilité de Ruffier à marier fonctionnalité et art sculptural.
**Description de l’œuvre**
L’aiguière, d’une hauteur de 39 cm, est réalisée en bronze avec une sculpture en relief en étain sur sa panse.
Elle adopte une forme saisissante et narrative : celle d’un *Kantor* ou d’un satyre, créature mythologique symbolisant souvent les instincts primaires et la séduction, tendant une embuscade à une belle femme endormie.
Ce choix iconographique évoque des thématiques classiques mêlées à l’imaginaire romantique de l’Art Nouveau.
La scène sculptée présente un contraste frappant entre la douceur paisible de la femme et l’énergie dynamique du satyre.
La femme, représentée dans une pose alanguie et vulnérable, incarne un idéal de beauté gracieuse, tandis que le satyre, caractérisé par des muscles tendus et un regard intense, exprime une tension dramatique.
Ces détails donnent vie à la composition et plongent l’observateur dans une scène théâtrale où le désir et le rêve se confondent.
L’aiguière n’est pas seulement une pièce fonctionnelle destinée à contenir un liquide ; elle s’impose comme un objet d’art à part entière.
Le mélange du bronze et de l’étain enrichit l’œuvre en apportant des textures variées.
Le bronze confère une robustesse et une patine qui accentuent la richesse visuelle, tandis que l’étain, utilisé pour la scène en relief, offre un contraste subtil et raffiné.
**Signature et authenticité**
La signature de Noël Ruffier figure sur la panse de l’aiguière, confirmant son attribution à l’artiste.
Ce détail témoigne de l’importance qu’il accordait à ses créations, qu’il voyait comme des œuvres uniques et précieuses.
Ruffier, bien que moins connu que certains de ses contemporains comme René Lalique ou Emile Gallé, partage leur ambition de repousser les limites des matériaux pour créer des objets empreints de poésie et d’une qualité technique irréprochable.
**Contexte artistique et symbolisme**
À travers cette aiguière, Ruffier reflète les aspirations de l’Art Nouveau, qui s’inspire des mythes antiques et de la nature tout en explorant des thèmes psychologiques et émotionnels.
Le choix du satyre, figure de la mythologie gréco-romaine, est emblématique.
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Très beau tableau cubiste signé de Marcel Mouillot, à restaurer
Une œuvre cubiste exceptionnelle signée Marcel Mouillot
Laissez-vous séduire par une pièce d’art remarquable, une huile sur toile cubiste signée par Marcel Mouillot et numérotée 178. Cette œuvre, aux dimensions de **54 x 64,5 cm**, incarne une vision unique et captivante : une terrasse surplombant un lac, où des voiliers évoluent paisiblement, entourés par des habitations accrochées à une falaise.
Un chef-d’œuvre dans la veine cubiste
Marcel Mouillot, artiste à la touche innovante et singulière, revisite dans cette toile les codes du cubisme. Les formes géométriques, les lignes fragmentées et les jeux de perspective s’unissent pour proposer une interprétation à la fois abstraite et émotionnelle du paysage. Le regard est guidé à travers des plans successifs : d’abord la terrasse, avec ses contours nets et modernes, puis le lac, animé par des voiliers esquissés dans des tonalités vives et lumineuses. Enfin, au loin, les habitations sur la falaise offrent un contraste saisissant avec leur solidité angulaire et leurs teintes plus sourdes.Les couleurs de cette œuvre jouent un rôle essentiel : des tons chauds et vibrants, mêlés à des nuances plus douces, créent une harmonie visuelle fascinante. Le lac est magnifiquement rendu avec des variations de bleus et de gris qui évoquent à la fois la profondeur et le mouvement de l’eau, tandis que les voiliers se distinguent par des touches claires et légères.
Une toile marquée par le vécu
Bien que cette pièce présente quelques **accidents** — des marques visibles du passage du temps ou d’incidents passés —, cela ne fait qu’ajouter à son authenticité et à son charme. Ces imperfections, loin de diminuer sa valeur, rappellent l’histoire de l’œuvre, sa vie antérieure et les mains par lesquelles elle est passée. Une restauration discrète pourrait être envisagée pour sublimer encore davantage sa beauté sans trahir son authenticité. -
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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VENDU
Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Rare fauteuil pivotant ancien de Paquebot, Le France, Le Normandie
850,00 €Ce rare fauteuil de paquebot incarne toute la splendeur et le raffinement des voyages maritimes de l’âge d’or des transatlantiques, comme ceux qui ont équipé des navires légendaires tels que le *Titanic* et le *Normandie*.
Véritable pièce de collection, ce fauteuil est un hommage aux lignes élégantes et aux matériaux nobles que l’on retrouvait dans les intérieurs de ces navires prestigieux.
Conception et matériaux nobles
Ce fauteuil impressionne dès le premier regard par sa boiserie massive et finement sculptée, qui révèle un travail artisanal d’exception.
Les détails gravés dans le bois témoignent d’un savoir-faire riche et minutieux, sans doute réalisé par des ébénistes spécialisés, formés à produire des meubles pour les espaces de première classe.
Contrairement aux sièges standards, la partie supérieure de ce fauteuil est taillée dans un unique morceau de bois, ce qui permet une continuité parfaite et un design harmonieux, renforcé par les accoudoirs qui semblent faire corps avec l’ensemble.
Cette approche monobloc n’était réservée qu’aux mobiliers les plus exclusifs de l’époque, destinés à des espaces luxueux.
L’assise est revêtue d’un cuir bordeaux qui complète le bois sculpté, ajoutant une touche de confort et d’élégance supplémentaire.
Cette couleur profonde contraste harmonieusement avec la structure en bois, tout en évoquant l’atmosphère feutrée et distinguée des salons de première classe des grands paquebots.
Le cuir, en plus d’être d’une grande qualité, est légèrement patiné, ce qui ajoute encore au charme de cette pièce historique.
Mécanisme pivotant et fixation au sol
Le fauteuil est également doté d’un mécanisme pivotant, permettant à l’occupant de se tourner sans effort, offrant à l’origine la possibilité d’admirer le panorama marin ou de participer aux conversations avec plus d’aisance.
Ce pivotement était un luxe rare, réservé aux sièges les plus prestigieux de ces paquebots.
Ce fauteuil a été conçu pour être fixé au sol, avec une base en fonte solidement ancrée en son centre, offrant ainsi une stabilité inégalée.
La base en fonte elle-même est sculptée, avec des motifs qui ajoutent encore à la beauté et au caractère de la pièce.
Au niveau des pieds, sous l’emplacement de fixation, des protections en caoutchouc ont été ajoutées pour éviter d’endommager les parquets, même lorsque le fauteuil est solidement vissé au sol.
Ces protections sont amovibles, ce qui permet de les retirer aisément si nécessaire.
Cet ajout montre que les concepteurs ont non seulement pris en compte l’esthétique, mais aussi le souci de préserver les matériaux précieux environnants.
Historique et hypothèse d’utilisation
Bien que nous ne connaissions pas avec certitude le navire auquel ce fauteuil était destiné, sa conception, sa qualité et son luxe laissent fortement supposer qu’il équipait les salons ou cabines de première classe d’un paquebot célèbre.
Les premiers transatlantiques se distinguaient par une décoration somptueuse et un confort exceptionnel pour attirer une clientèle fortunée, et ce fauteuil incarne parfaitement cet esprit.
Sa construction robuste et son allure imposante suggèrent qu’il pourrait avoir appartenu à un paquebot de renom, où chaque détail était soigneusement pensé pour garantir un confort et un prestige sans égal.
Un fauteuil polyvalent et intemporel
Aujourd’hui, ce fauteuil rare peut être intégré dans un espace moderne ou classique.
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Paire de chandelier candélabre en cristal de Baccarat, Hauteur 56 cm
1600,00 €Grande Paire de Candélabres en Cristal de Baccarat
Ces superbes candélabres en cristal de Baccarat, mesurant 56 cm de hauteur, incarnent l’élégance et l’artisanat du 19e siècle, période où le savoir-faire de Baccarat en matière de verrerie et de cristal atteint des sommets inégalés.
Avec leurs trois bras de lumière gracieux et un assemblage de pendeloques étincelantes, ces pièces illuminent non seulement par leur fonction, mais également par leur esthétique, en témoignant de l’expertise et du prestige de la cristallerie française.
La présence de la marque Baccarat au revers confirme leur authenticité, offrant ainsi aux amateurs de beaux objets une opportunité d’acquérir une œuvre véritablement emblématique de cet atelier de renommée mondiale.
Description et Détails Techniques
Chaque candélabre de cette paire repose sur une monture en métal ornée, qui ajoute un contraste subtil et raffiné au cristal éclatant.
Les bras de lumière, habillés de pendeloques, projettent une luminosité qui magnifie les surfaces environnantes, rappelant l’atmosphère chaleureuse des salons aristocratiques et des demeures nobles du passé.
Les pampilles, ou « pendeloques », suspendues aux bras de lumière, créent un jeu de reflets fascinant qui attire naturellement le regard.
En examinant de plus près, quelques détails montrent que ces candélabres ont traversé les âges.
Certaines pampilles, fragiles par nature, sont manquantes ; néanmoins, il est possible de retrouver des pampilles d’époque qui pourront parfaitement compléter l’ensemble et rétablir son intégrité visuelle.
De plus, l’une des coupelles a été recollée, mais le travail de réparation a été fait avec soin, sans altérer l’harmonie globale du candélabre.
Enfin, parmi les deux bobèches qui accueillent les bougies, l’une présente quelques égrenures, témoins de son utilisation et de son passage à travers le temps, tandis que l’autre est restée intacte.
La Signature Baccarat : Tradition et Excellence
Baccarat, fondée en 1764 sous le règne de Louis XV, est devenue synonyme de cristal de luxe et d’excellence française.
Reconnaissable à son éclat inégalé et à sa qualité exceptionnelle, chaque pièce de Baccarat est le résultat de plusieurs centaines d’années d’expertise transmise de génération en génération.
La marque Baccarat, visible au revers de ces candélabres, assure aux collectionneurs la provenance et l’authenticité de ces pièces.
Cette signature est un gage de qualité qui rappelle les nombreuses commandes prestigieuses de Baccarat au fil de l’histoire, des tables royales aux maisons de la haute société européenne.
L’histoire de Baccarat est ponctuée de collaborations artistiques, et la maison est également reconnue pour avoir constamment innové dans ses designs et ses techniques de production, créant des œuvres qui marient tradition et modernité.
Ces candélabres, bien que d’une autre époque, sont représentatifs de cette capacité unique de Baccarat à concevoir des objets intemporels, qui continuent de captiver par leur sophistication et leur beauté.
Un Témoignage du Passé
L’intérêt particulier pour cette paire réside dans la dualité entre leur caractère intact et les petites imperfections qu’ils portent, comme des marques du temps.
Ce type de pièces suscite un charme unique et raconte une histoire ; il est possible d’imaginer ces candélabres illuminant des salles de réception somptueuses, témoins muets de conversations élégantes et de soirées fastueuses.
Leur acquisition invite le collectionneur non seulement à posséder un objet précieux, mais également à faire revivre une époque où l’art de la table était élevé au rang de cérémonie.
Posséder cette paire de candélabres en cristal Baccarat, c’est offrir une seconde vie à un vestige du passé et l’inscrire dans une nouvelle histoire.
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Belle sculpture ancienne de la fin du 18e, Dieux le père et Jésus
450,00 €Cette sculpture en bois massif, datant de la fin du XVIIIe au début du XIXe siècle, est une œuvre remarquable à bien des égards, tant par sa qualité artistique que par son importance historique et spirituelle.
Elle représente le Dieu Père tenant l’enfant Jésus, une iconographie rare et significative qui témoigne de la profonde dévotion religieuse de l’époque.
D’une hauteur de 62 cm et d’une largeur de 25 cm, cette sculpture imposante attire l’attention par sa présence à la fois majestueuse et apaisante, incarnant à la fois la force et la douceur des figures représentées.
Un héritage artistique du bois sculpté normand
La Normandie, région célèbre pour ses traditions artisanales, notamment dans le travail du bois, a produit au fil des siècles des œuvres d’une qualité exceptionnelle, alliant rigueur technique et expression spirituelle.
Cette sculpture semble s’inscrire dans cette lignée artistique, avec un soin particulier apporté aux détails qui suggère un savoir-faire local et une profonde sensibilité pour l’expression religieuse.
Le choix du bois massif confère à la pièce une solidité et une stabilité remarquables, mais également une patine qui révèle son ancienneté.
Les sculpteurs normands de cette période utilisaient souvent des essences de bois locales, comme le chêne ou le hêtre, réputées pour leur robustesse et leur grain fin, permettant de détailler des expressions faciales et des drapés avec une grande précision.
La représentation du Dieu Père et de l’enfant Jésus
La sculpture met en scène le Dieu Père portant l’Enfant Jésus, un sujet iconographique qui demeure relativement rare.
Traditionnellement, la représentation de Dieu le Père dans l’art chrétien était souvent réservée à des œuvres monumentales ou à des compositions plus abstraites.
Ici, le sculpteur a choisi une approche plus humaine et touchante, dépeignant Dieu le Père dans une posture de tendresse et de protection envers l’Enfant.
L’expression de bienveillance sur le visage du Dieu Père, les courbes de ses mains qui soutiennent délicatement l’enfant, créent un contraste saisissant entre la puissance divine et la fragilité humaine.
L’enfant Jésus, quant à lui, est représenté avec une expression douce et confiante, rappelant l’innocence et la pureté.
Le sculpteur a réussi à capturer cette dualité entre l’innocence de l’enfance et la dimension sacrée du personnage, symbolisant l’amour et la protection divine.
Cette juxtaposition entre le divin et l’humain confère à cette sculpture une force émotionnelle indéniable, témoignant de la foi et de la dévotion qui inspiraient les artistes de l’époque.
Traces du passé et authenticité
Cette œuvre ancienne porte les marques du temps, des signes d’usure et de vieillissement naturels, qui lui confèrent une authenticité et une profondeur supplémentaires.
Les traces d’usure sur la surface révèlent un passé chargé d’histoire, peut-être des siècles de vénération ou d’exposition dans un lieu de culte. Ces marques ne sont pas seulement des signes du temps, elles rappellent également la valeur sentimentale et spirituelle de l’œuvre pour les générations précédentes.
Une sculpture de haute qualité, témoin de son époque
Au-delà de son esthétique, cette sculpture se distingue par la finesse de son exécution.
Les détails des traits du visage, le traitement des drapés, et la qualité des proportions témoignent d’une maîtrise artistique exceptionnelle, probablement le fruit du travail d’un sculpteur chevronné.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste J. Cavana, est une représentation saisissante de l’élégance et du raffinement propres à son époque. L’œuvre illustre une femme gracieuse, dont l’allure et les traits sont immortalisés avec une précision remarquable. La minutie apportée à la réalisation de cette miniature est évidente, des plis soyeux de la robe aux teintes subtiles du visage de la dame. Chaque détail témoigne de l’expertise de Cavana, qui parvient à capturer non seulement l’apparence physique de son sujet, mais aussi une certaine aura, une présence presque palpable, malgré la petite taille du support.
Jean Cavana, né en 1830 en Italie, est un artiste qui a su se forger une place de choix dans le milieu artistique français de la fin du XIXe siècle. Il s’est installé en France, où son talent pour la miniature l’a rapidement fait connaître. Formé dans la lignée des grands maîtres, Cavana a acquis une maîtrise technique exceptionnelle qui lui permettait de traduire avec finesse les émotions et les caractéristiques de ses modèles. Sa renommée a grandi au fil des ans, notamment grâce aux nombreuses commandes qu’il recevait de la part de la haute société, qui voyait en lui un peintre capable de saisir l’essence de ses contemporains avec une rare justesse.
Cavana s’est distingué par son art de la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, car il permettait d’immortaliser les traits des personnes dans des formats réduits, souvent sous forme de portraits intimes. Il était capable de retranscrire à la perfection les moindres détails, de la texture des étoffes aux expressions faciales les plus subtiles, apportant à chaque portrait une profondeur psychologique singulière. La précision de son pinceau lui permettait de transformer de simples portraits en véritables témoignages visuels de l’âme de ses modèles.
Mais si Cavana est principalement reconnu pour ses miniatures, il ne s’est pas limité à ce genre. Son œuvre s’étendait également à d’autres domaines, comme le paysage ou des scènes plus complexes, où il exprimait son goût pour la beauté et la mélancolie. Ses créations, empreintes d’une certaine nostalgie, invitent à la contemplation et à la réflexion, révélant une sensibilité artistique raffinée. Il utilisait la miniature pour célébrer non seulement la beauté physique, mais aussi l’esprit et la personnalité des personnes qu’il représentait. Ainsi, chaque œuvre qu’il réalisait devenait un hommage à son époque et à la tradition du portrait intime, dont il s’est fait le maître incontesté.
La miniature en question est un exemple parfait de son savoir-faire. L’élégance et la grâce du sujet, rehaussées par la finesse de l’exécution, sont autant de preuves du talent exceptionnel de Cavana.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Belle cave à liqueur ancienne, époque XIXe siècle, Napoléon III, Baccarat
Cette cave à liqueur, d’une grande beauté et d’une remarquable finesse, est un exemple exceptionnel de l’art décoratif du XIXe siècle, en plein dans la période du style Napoléon III. À cette époque, l’Empire français connaît un regain d’intérêt pour le faste et l’ornementation, et cette œuvre s’inscrit parfaitement dans cette tendance artistique.
La cave est réalisée en bois de placage de loupe de thuya, un matériau précieux et recherché pour son aspect décoratif unique. Le thuya, grâce à ses veines tourmentées et ses nœuds, offre un effet visuel sophistiqué, plein de relief et de contrastes, qui confère une élégance discrète à l’objet. Ce placage est encadré par du bois de rose, un autre bois noble, très prisé pour sa teinte chaude et sa texture fine, souvent utilisé dans l’ébénisterie de luxe. À cela s’ajoute un décor de bois noirci, qui vient accentuer le contraste des matériaux et donner une touche de sobriété, tout en mettant en valeur les filets de laiton qui parcourent l’ensemble de la cave. Ces filets, d’une finesse admirable, soulignent les contours et les volumes de l’objet, lui apportant une certaine légèreté et un raffinement supplémentaire.
L’une des particularités de cette cave à liqueur réside dans sa façade mouvementée. Loin des formes géométriques strictes ou des lignes droites qui caractérisaient parfois les productions antérieures, cette façade adopte des courbes sinueuses et harmonieuses, propres au style Napoléon III. Cette forme mouvementée confère à l’ensemble un dynamisme et une fluidité qui captent immédiatement le regard et témoignent du grand savoir-faire de l’artisan qui a réalisé cet objet. Le travail de la façade se prolonge sur l’abattant, qui se distingue par un cartouche feuillagé incrusté de laiton et de nacre. Cette ornementation, réalisée avec une grande précision, évoque un motif végétal riche et délicat, typique des décors de la seconde moitié du XIXe siècle. La combinaison du laiton et de la nacre apporte non seulement une brillance et une richesse visuelle, mais aussi une certaine douceur grâce aux reflets irisés de la nacre, qui varie selon la lumière. Fait intéressant, ce cartouche n’est pas monogrammé, ce qui laisse supposer qu’il n’était pas destiné à une commande spécifique, ou que son propriétaire n’a pas souhaité y apposer ses initiales, permettant ainsi à cette cave de conserver une certaine universalité.
En ouvrant cette cave, on découvre un ensemble tout aussi raffiné de 4 carafes et de 16 verres à liqueur, tous réalisés en cristal de Baccarat, un nom qui incarne l’excellence dans l’art de la verrerie et du cristal depuis le XVIIIe siècle. Chaque pièce est finement décorée de rehauts de dorure, un ornement qui ajoute une touche d’éclat et de luxe à l’ensemble. Le cristal de Baccarat, réputé pour sa pureté, sa transparence et son éclat, est ici sublimé par cette dorure délicate, qui vient rehausser les courbes des carafes et des verres. Ces derniers, de taille idéale pour déguster des liqueurs, sont non seulement des objets fonctionnels, mais aussi des pièces décoratives qui témoignent du goût raffiné de l’époque.
L’agencement interne de la cave est étudié avec soin, permettant de ranger et de protéger chaque carafe et chaque verre dans un compartiment spécifique, afin d’éviter tout choc ou dommage. Ce souci du détail montre l’importance accordée non seulement à l’apparence extérieure de l’objet, mais aussi à sa fonctionnalité.
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Belle et ancienne lampe à pétrole en bronze doré, attribué à Georges Leleu
850,00 €La grande lampe à pétrole en bronze massif que je vous présentes est une pièce d’exception, à la fois par sa richesse sculpturale et par son appartenance à l’époque de l’Art nouveau, un mouvement artistique qui a marqué la fin du XIXe siècle et le début du XXe.
Attribuée à Georges Leleu, artiste et créateur reconnu pour ses œuvres dans le domaine des arts décoratifs, cette lampe se distingue par son design floral raffiné et son exécution minutieuse.
La lampe, haute de 47 cm, est un exemple remarquable de la fusion entre fonctionnalité et esthétisme, deux principes chers aux créateurs de l’Art nouveau.
L’Art nouveau, dont l’influence s’est propagée dans toute l’Europe entre 1890 et 1910, était caractérisé par l’utilisation de formes naturelles et organiques.
Ce style visait à rompre avec les traditions académiques et à intégrer la beauté dans les objets du quotidien. Les créateurs de cette époque, qu’ils soient architectes, peintres ou artisans, cherchaient à fondre l’art dans la vie quotidienne.
La lampe en question s’inscrit pleinement dans cette démarche, en alliant l’aspect utilitaire d’un éclairage à pétrole avec une recherche artistique poussée.
Georges Leleu, bien qu’étant moins connu que certains de ses contemporains comme Emile Gallé ou Hector Guimard, a laissé une empreinte dans le domaine des arts décoratifs.
Sa maîtrise du bronze et sa capacité à retranscrire la nature dans ses créations font de lui un créateur typique de l’Art nouveau. La lampe attribuée à Leleu présente un riche motif floral, gravé dans le bronze massif, qui semble presque en mouvement, comme si les fleurs se déployaient au contact de la lumière.
La technique de sculpture du bronze, maîtrisée ici avec un soin particulier, témoigne du savoir-faire artisanal propre à cette époque. Les lignes souples et sinueuses des motifs floraux, emblématiques de l’Art nouveau, viennent adoucir la robustesse du bronze.
On y retrouve également un travail de ciselure remarquable, notamment dans les détails des pétales et des tiges, qui accentue le relief et la profondeur des motifs.
Cette dualité entre la solidité du matériau et la légèreté des formes est caractéristique des objets d’art de cette période.
Cette lampe ne se distingue pas seulement par son esthétique, mais aussi par son mode d’éclairage.
Fonctionnant à l’origine au pétrole, ce type de lampe était très répandu avant l’avènement de l’électricité dans les foyers.
Les lampes à pétrole étaient non seulement des objets pratiques, mais aussi des symboles de modernité et de confort à la fin du XIXe siècle. En tant qu’objet décoratif, elles étaient souvent réalisées avec un soin tout particulier, afin de s’intégrer harmonieusement dans les intérieurs bourgeois de l’époque.
Le design floral de la lampe fait écho aux mouvements artistiques qui cherchaient à réhabiliter les éléments naturels dans les objets quotidiens.
Les artistes de l’Art nouveau considéraient la nature comme une source d’inspiration infinie, et les motifs végétaux, floraux ou animaliers étaient souvent stylisés pour orner des meubles, des lampes et d’autres objets décoratifs.
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Sculpture bronze de la fin du XIXe siècle, représentant Molière assis dans un fauteuil avec la plume à la main, signé Pradier
1400,00 €Cette sculpture en bronze de la fin du XIXe siècle, signée Pradier, représente Molière, l’un des plus grands dramaturges français de tous les temps, assis dans un fauteuil, une plume à la main. Avec ses dimensions relativement modestes de 26 cm de haut, cette pièce se distingue par la précision de ses détails et l’expressivité de sa posture, qui incarnent l’essence même de l’artiste pensif et créatif.
Le personnage principal de la sculpture est Molière, vêtu de manière élégante avec une longue robe aux plis riches et fluides. L’attention aux détails est frappante, chaque pli de son vêtement étant soigneusement travaillé pour donner une impression de mouvement et de réalisme. La texture du tissu est finement ciselée, créant une juxtaposition entre la douceur de la robe et la dureté du bronze, matériau utilisé pour la réalisation de l’œuvre. Le bronze patiné confère à la sculpture une profondeur et une chaleur qui accentuent son caractère solennel. Molière est représenté dans une posture contemplative, avec la tête appuyée sur sa main gauche, le regard vague, comme s’il était en plein processus créatif ou en réflexion profonde.
L’autre main de Molière tient une plume, symbole indéniable de son métier d’écrivain. La plume, représentée avec une finesse délicate, renforce l’idée que cette sculpture capture un moment de création intellectuelle. Ce détail évoque non seulement la carrière prolifique de Molière, mais aussi son rôle primordial dans l’histoire de la littérature et du théâtre. Molière est connu pour avoir écrit certaines des plus grandes pièces de théâtre comique de l’histoire, telles que *Le Malade imaginaire*, *Tartuffe* et *L’Avare*. Sa plume, ici mise en avant, est l’instrument par lequel il a marqué de manière indélébile le patrimoine culturel français.
Le fauteuil sur lequel Molière est assis est lui aussi une œuvre d’art en soi. De style classique, il est richement décoré avec des motifs sculptés qui démontrent l’expertise du sculpteur. La base du fauteuil, ornée de franges et de motifs géométriques, porte également la signature de Pradier, gravée de manière lisible, affirmant ainsi l’authenticité et la qualité artistique de l’œuvre. Jean-Jacques Pradier, sculpteur de renom du XIXe siècle, est célèbre pour ses œuvres d’une grande finesse et son talent pour capturer les détails anatomiques et textiles de ses sujets.
Cette sculpture reflète parfaitement les tendances artistiques du XIXe siècle, marquées par un retour à des formes classiques et une admiration pour les grands hommes de lettres et d’art. L’art de cette période met souvent en avant les personnages historiques dans des poses héroïques ou méditatives, et cette œuvre ne fait pas exception. Molière est ici montré non pas comme un comédien sur scène, mais comme un penseur, un créateur dans un moment d’introspection. Cette représentation statique mais intense nous rappelle que l’éclat de ses œuvres vient avant tout de son génie créatif.
Le choix de représenter Molière dans un tel moment de quiétude intellectuelle témoigne également de la manière dont la fin du XIXe siècle a vu une réévaluation de la figure de l’écrivain. Molière, autrefois acteur et auteur comique, est ici érigé au rang de penseur profond, presque philosophe, soulignant la dimension intellectuelle de son travail.
Enfin, cette œuvre illustre également le savoir-faire technique des sculpteurs de cette époque.
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Coffret de 12 porte couteaux en métal chromé de Benjamin Rabier
Cet ensemble de douze porte-couteaux en métal argenté, inspiré par les célèbres Fables de La Fontaine, constitue une œuvre remarquable de l’époque Art déco. Créés par Benjamin Rabier (1869-1939), un artiste français de renom, ces porte-couteaux sont non seulement des objets d’art, mais aussi des témoignages d’une époque où l’élégance et le raffinement se reflétaient jusque dans les moindres détails du quotidien.
Benjamin Rabier, né en 1869, est souvent considéré comme l’un des précurseurs de la bande dessinée moderne. Il est particulièrement connu pour ses illustrations animalières, qui ont su capturer l’imaginaire populaire grâce à leur vivacité et leur humour subtil. Rabier a travaillé pour de nombreux journaux et éditeurs, et ses dessins ont marqué plusieurs générations. L’une de ses créations les plus célèbres est « La Vache qui rit », un logo emblématique qui est toujours utilisé aujourd’hui.
Rabier avait une affinité particulière pour les animaux, qu’il parvenait à humaniser sans pour autant leur faire perdre leur essence. Cette capacité se retrouve dans les illustrations qu’il a réalisées pour les Fables de La Fontaine, où chaque animal devient un personnage à part entière, doté de caractéristiques expressives et souvent humoristiques. Il a ainsi contribué à rendre ces fables, déjà populaires, encore plus accessibles et vivantes pour le grand public.
Les douze porte-couteaux de cet ensemble sont chacun une représentation minutieuse des animaux des fables de La Fontaine, signée « Benjamin Rabier » en creux sur la base. Ces petites sculptures traduisent la finesse du travail de l’artiste, qui a su donner vie aux histoires de La Fontaine à travers des figures telles que la Cigale et la Fourmi, le Corbeau et le Renard, ou encore le Loup et l’Agneau. Chaque porte-couteau raconte une histoire, capturant l’essence même des leçons morales que La Fontaine a voulu transmettre à travers ses récits.
Le choix de l’argenté pour ces objets n’est pas anodin. L’orfèvre Dilecta, reconnu pour la qualité de son travail durant la période Art déco, a collaboré avec Rabier pour créer des pièces qui allient esthétique et fonctionnalité. Le poinçon d’orfèvre apposé sur chaque porte-couteau atteste de la qualité du métal utilisé et du savoir-faire artisanal mis en œuvre. La période Art déco, avec son goût pour les lignes épurées et l’élégance sobre, se reflète parfaitement dans ces porte-couteaux qui allient tradition et modernité.
Les dimensions des porte-couteaux, variant entre 8 cm et 10 cm de longueur pour une largeur d’environ 2,5 cm, en font des objets à la fois pratiques et décoratifs.
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Grand mannequin articulé d’attraction foraine, automate vers 1980
1200,00 €Le grand mannequin de foire des années 1980, souvent placé à l’entrée d’attractions telles que les châteaux hantés, est un exemple fascinant d’automate conçu pour captiver l’attention et créer une expérience immersive dès l’abord d’une attraction. Mesurant environ 180 cm, ce mannequin se distingue non seulement par sa taille, mais aussi par sa capacité à interagir avec les passants, offrant une dimension interactive et presque humaine à ce qui aurait autrement pu être un simple décor.
Vêtu d’un costume élégant, peut-être inspiré des tenues formelles du XIXe siècle avec un chapeau haut de forme, l’automate possédait une allure à la fois imposante et accueillante. Son rôle n’était pas simplement décoratif. Il était conçu pour saluer les visiteurs, les complimenter sur leur apparence, et les inviter à pénétrer dans l’attraction. Cette interaction verbale, bien que simple, ajoutait une couche de personnalisation à l’expérience foraine, donnant aux visiteurs le sentiment d’être reconnus et accueillis personnellement.
L’automate était équipé de mécanismes permettant des mouvements articulés, une caractéristique qui, à l’époque, témoignait de l’ingéniosité des fabricants. La tête et les yeux du mannequin pouvaient bouger, suivant les visiteurs ou les fixant lorsqu’il leur adressait la parole. Ces mouvements, bien que limités comparés aux standards d’aujourd’hui, conféraient à l’automate une présence quasi vivante, renforçant l’atmosphère mystérieuse et immersive du château hanté ou de toute autre attraction où il se trouvait.
L’utilisation de tels automates dans les foires et parcs d’attractions des années 1980 s’inscrivait dans une tradition plus large de l’animation mécanique, un art qui remonte à plusieurs siècles. Toutefois, les modèles des années 1980, comme celui-ci, étaient souvent plus sophistiqués grâce aux avancées technologiques de l’époque. Les enregistrements sonores et les mécanismes de mouvement étaient plus fiables et réalistes, permettant à ces automates de fonctionner de manière plus fluide et convaincante.
Ces automates n’étaient pas seulement des objets d’animation, mais aussi des pièces d’ingénierie complexe, nécessitant un entretien régulier pour rester en bon état de fonctionnement. Avec le temps, et surtout avec l’évolution des technologies numériques et des effets spéciaux, ces mannequins mécaniques ont progressivement disparu des foires, remplacés par des dispositifs plus modernes et interactifs. Toutefois, leur rareté actuelle sur le marché de la brocante en fait des objets de collection très prisés, particulièrement lorsqu’ils sont en état de marche.
Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de trouver des automates de cette époque en bon état, surtout ceux qui ont conservé leur capacité à parler et à bouger. Le fait qu’ils soient encore fonctionnels ajoute une valeur significative, non seulement en tant qu’objets historiques, mais aussi en tant que témoins d’une période spécifique de l’histoire des foires. Ils représentent une époque où l’innovation technique se mêlait à l’art de la mise en scène pour créer des expériences inoubliables pour le public.
La popularité actuelle de la culture vintage et rétro a contribué à la redécouverte de ces automates, avec un regain d’intérêt pour les objets qui rappellent l’enfance de nombreux adultes d’aujourd’hui. Les collectionneurs et passionnés cherchent à retrouver ces pièces pour leur valeur esthétique, historique, et émotionnelle. En outre, ces automates incarnent une forme de technologie ancienne qui, bien qu’obsolète à certains égards, continue de fasciner par son ingéniosité et son charme.
Le grand mannequin de foire des années 1980, lorsqu’il est conservé et présenté dans des collections privées ou des expositions, évoque une époque où la technologie et l’artisanat se combinaient pour donner vie à des créations uniques.
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Gobelet à bord évasé du premier tiers du XIXe siècle
Le gobelet à bord évasé du premier tiers du XIXe siècle, probablement créé à Paris entre 1810 et 1830, représente un exemple remarquable de l’art verrier de cette période. Ce type de verrerie fine était souvent produit dans les ateliers parisiens, célèbres pour leur maîtrise technique et leur sens esthétique. Ce gobelet particulier est potentiellement assimilable à une pièce de la collection du Musée du Louvre, qui abrite de nombreuses œuvres représentatives de cette époque.
L’élément distinctif du gobelet est son fond taillé en étoile à huit pointes. Ce motif, fréquemment utilisé dans la verrerie de luxe du début du XIXe siècle, témoigne de la minutie et de l’habileté des artisans verriers de l’époque. La base du gobelet est ornée d’olives et d’un bandeau de diamants, une décoration élaborée qui ajoute à la richesse visuelle de l’objet. Ces détails ornementaux sont le reflet d’une époque où la verrerie n’était pas seulement fonctionnelle, mais également un moyen d’expression artistique.
Le décor gravé à la roue, une technique nécessitant une grande précision, est un autre aspect notable de ce gobelet. La scène gravée représente deux colombes portant une couronne dans leurs becs, symbolisant souvent la paix ou l’amour éternel dans l’iconographie de l’époque. À côté des colombes, deux flambeaux sont gravés, symbolisant la lumière ou la connaissance. Un chien assis, figuré dans la scène, pourrait représenter la fidélité ou la vigilance, des valeurs chères au XIXe siècle. La scène inclut également une partie de monument avec son jardin, évoquant peut-être un lieu de mémoire ou de contemplation, ainsi qu’une grosse colonne, élément architectural symbolisant la force et la stabilité.
Les dimensions du gobelet, mesurant 9,5 cm de hauteur avec un diamètre au buvant de 8,3 cm, sont typiques des objets de ce type et de cette période. Ces proportions indiquent un objet conçu pour être tenu en main et utilisé avec une certaine élégance, suggérant qu’il s’agissait probablement d’un gobelet destiné à une consommation domestique de boissons fines, peut-être pour des occasions spéciales ou dans un cadre cérémonial.
La finesse de la gravure et la qualité des matériaux utilisés sont des indications claires de la provenance parisienne de ce gobelet. Paris, à cette époque, était un centre de production verrière de premier plan, avec des artisans qui étaient souvent au service de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie. Le fait que ce gobelet puisse faire partie d’une collection prestigieuse comme celle du Musée du Louvre renforce l’idée de son importance artistique et historique.
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Magnifique œuvre de Clément Serveau (1886-1972) La robe Crétoise
2800,00 €Clément Serveau, né en 1886 et décédé en 1972, est un peintre français renommé pour ses portraits réalistes empreints de sensibilité. Son œuvre « La robe Crétoise, » une huile sur panneau réalisée en 1935, illustre magnifiquement son talent. Cette peinture, mesurant 65 x 54 cm, est une démonstration éclatante de la maîtrise technique de Serveau et de sa capacité à capturer l’essence de ses sujets avec une précision remarquable.
« La robe Crétoise » présente une femme vêtue d’une robe traditionnelle crétoise, riche en détails et en textures. Les plis du tissu et les motifs brodés sont rendus avec une finesse extraordinaire, témoignant de l’attention méticuleuse de l’artiste aux particularités culturelles du costume. La lumière, subtilement appliquée, met en valeur la texture de la robe et la douceur de la peau du modèle, créant un contraste saisissant avec le fond sombre. Cela confère à la composition une profondeur et une dimension supplémentaires, attirant l’œil du spectateur vers le visage expressif de la femme.
Le portrait montre une expression empreinte de douceur et de réflexion, capturant non seulement l’apparence physique du modèle mais aussi une profondeur psychologique. L’attention de Serveau aux détails anatomiques, comme la délicatesse des mains et la complexité des traits du visage, ajoute une dimension de réalisme qui rend le sujet presque tangible. La femme semble plongée dans ses pensées, ce qui ajoute une narration silencieuse à l’œuvre, invitant les spectateurs à imaginer son histoire et ses émotions.
La signature de Clément Serveau et la date de création, clairement visibles en bas de l’œuvre, attestent de son authenticité. Serveau, qui a traversé plusieurs courants artistiques au cours de sa carrière, reste fidèle à un style réaliste tout en intégrant des éléments impressionnistes dans ses jeux de lumière et ses palettes de couleurs. Cette peinture reflète cette synthèse artistique, où la précision du trait se marie harmonieusement avec une approche plus libre et expressive de la couleur.
Clément Serveau est souvent célébré pour sa capacité à immortaliser la beauté intemporelle de ses sujets tout en capturant l’esprit de l’époque. « La robe Crétoise » n’échappe pas à cette règle.
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Statuette de prière, moine Bouddhiste fin XVIIIe en bois sculpté
Voici une magnifique et ancienne sculpture en bois polychromé, représentant un moine bouddhiste en prière. Datant de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle, cette œuvre est un exemple remarquable de l’artisanat de cette époque. Le bois utilisé pour la sculpture est exceptionnellement léger, un détail qui souligne l’habileté et la maîtrise des artisans de l’époque. Cette légèreté pourrait également indiquer l’utilisation de bois de haute qualité, soigneusement sélectionné pour ce type de travail délicat.
La statuette présente une particularité intrigante : sa tête est amovible, se détachant comme un bouchon. Cette caractéristique unique suggère que la sculpture pouvait être utilisée pour cacher un objet de valeur ou une lettre de prière. Dans les traditions bouddhistes, il n’est pas rare que des objets sacrés soient dissimulés à l’intérieur de statues, ajoutant ainsi une dimension mystique et fonctionnelle à l’œuvre. Cette possibilité confère à la statuette un intérêt supplémentaire, transformant un simple objet de dévotion en un réceptacle de secrets spirituels.
Mesurant 19,5 cm de hauteur, la statuette est d’une taille idéale pour être manipulée et exposée avec élégance. Sa taille compacte n’enlève rien à la richesse de ses détails. Les traits du visage du moine et la position de ses mains en prière sont finement sculptés, reflétant une profonde dévotion et une sérénité intérieure. La polychromie, bien que partiellement usée par le temps, reste visible et ajoute une dimension colorée et vivante à l’œuvre. Les pigments utilisés sont typiques de l’époque et apportent une touche d’authenticité supplémentaire à cette pièce ancienne.
Il est important de noter que, malgré son ancienneté, la statuette a conservé une grande partie de sa beauté originale. Quelques imperfections sont visibles, comme en témoignent les photos, mais ces marques du temps ne font qu’ajouter à son charme et à son authenticité. Elles racontent l’histoire de l’objet, témoignant de son passage à travers les siècles et de son utilisation par des générations de fidèles. Ces imperfections ne sont pas des défauts, mais des preuves de l’histoire riche et complexe de cette œuvre.
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Ensemble de 4 Moineaux en Cristal Lalique France, par Marc Lalique
Ensemble de 4 moineaux en cristal de la maison Lalique, signé en sur le devant de la terrasse, fabrication de la période de Marc Lalique.
Marc Lalique (1900-1977), fils de René Lalique, a su perpétuer et enrichir l’héritage de la célèbre maison Lalique, fondée par son père en 1888. René Lalique, maître-verrier et joaillier de renommée mondiale, était connu pour ses créations Art Nouveau et Art Déco. Marc, ayant grandi dans cet environnement artistique, a naturellement été imprégné de l’expertise et de la vision de son père, qu’il a su adapter et transformer avec son propre style et ses innovations techniques.
Après la mort de René Lalique en 1945, Marc a pris les rênes de l’entreprise familiale. L’une de ses premières grandes contributions a été la transition de la production Lalique vers le cristal. Avant cette époque, les créations Lalique étaient principalement en verre. Marc a compris que le cristal offrait de nouvelles possibilités en termes de pureté, de brillance et de subtilité des détails. Cette transition a marqué un tournant décisif pour la maison Lalique, consolidant sa réputation de créateur de pièces de luxe d’une qualité inégalée.
Les moineaux en cristal, un des thèmes récurrents et iconiques de la maison Lalique, illustrent parfaitement la vision de Marc. Sous sa direction, la maison a continué à produire des œuvres d’une beauté saisissante et d’une qualité exceptionnelle, alliant des techniques de soufflage et de taille de cristal héritées de son père à des innovations modernes. Chaque moineau est sculpté avec une minutie exemplaire, capturant la légèreté et la délicatesse de l’oiseau, tout en jouant avec la transparence et la luminosité du cristal. La signature sur le devant de la terrasse témoigne de l’authenticité et de la qualité de l’œuvre.
Marc Lalique n’a pas seulement maintenu l’excellence de la maison, il a aussi su la faire évoluer. Sous sa direction, Lalique a étendu sa gamme de produits pour inclure des luminaires, des vases, des flacons de parfum et des objets décoratifs, tout en continuant à produire des bijoux de haute qualité. Il a également collaboré avec des designers et des artistes de renom, élargissant ainsi l’influence et l’attrait de la marque.
La période de Marc Lalique est souvent considérée comme une époque d’innovation et de consolidation. Ses créations ont su capter l’esprit de leur temps tout en restant fidèles aux principes esthétiques et techniques de la maison Lalique. Ses œuvres sont aujourd’hui très recherchées par les collectionneurs et les amateurs d’art, témoignant de leur valeur artistique et historique.
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Deux meubles vintage rares de la marque Canson Meuble, en bois
Deux Meubles Vintage de la Marque Canson : Une Rareté pour les Amateurs de Design
Vous avez l’opportunité d’acquérir deux meubles vintage d’exception de la prestigieuse marque Canson. Ces pièces uniques en bois sont conçues pour répondre à des besoins de rangement spécifiques tout en apportant une touche esthétique indéniable à votre intérieur. Voici en détail ce que ces meubles peuvent offrir.
Caractéristiques et Fonctionnalités
Chaque meuble est équipé de cinq tiroirs spacieux, idéaux pour le rangement de feuilles au format Raisin (50 x 65 cm). Ces tiroirs permettent de stocker entre 500 et 600 feuilles selon le grammage du papier. Ce large espace de rangement est parfait pour les artistes, les architectes ou toute personne ayant besoin de conserver des documents de grande taille en parfait état.
Les dimensions de chaque meuble sont les suivantes : une hauteur de 38 cm, une largeur de 72,5 cm, et une profondeur de 57 cm. Ces mesures compactes permettent aux meubles de s’intégrer facilement dans divers espaces de votre maison ou de votre bureau.
Esthétique et Polyvalence
Le design vintage de ces meubles en bois ajoute une touche d’élégance rétro à n’importe quelle pièce. Leur finition soignée et leur allure intemporelle les rendent parfaits pour des usages variés. Outre leur fonction première de rangement de papier, ces meubles peuvent être détournés en éléments de décoration uniques.
Par exemple, en tant que tables de chevet, ils apporteront une note de charme et de caractère à votre chambre. Leurs tiroirs peuvent accueillir non seulement du papier, mais également des livres, des accessoires, ou tout autre objet que vous souhaitez garder à portée de main. De même, placés dans un salon, ils peuvent servir de tables d’appoint ou de rangements élégants pour divers objets de décoration.
Un Investissement Durable
Investir dans ces meubles Canson, c’est choisir la durabilité et la qualité. La marque Canson est reconnue pour son expertise et son engagement envers des produits de haute qualité. Le bois utilisé pour ces meubles est robuste et résistant, garantissant une longévité remarquable. Ce sont des pièces qui ne se démodent pas et qui peuvent même prendre de la valeur avec le temps, grâce à leur caractère vintage et leur rareté.
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Superbe pendule, datant de l’époque de la Restauration au début du XIXe siècle
Cette pendule est une pièce d’exception datant de l’époque de la Restauration, au début du XIXe siècle. Fabriquée en bronze doré au mercure, elle incarne l’art et le savoir-faire horloger de cette période historique. La dorure au mercure, une technique exigeante et hautement qualifiée, confère à la pendule une brillance et une durabilité remarquables, témoignant de l’attention minutieuse portée à sa création.
D’une grandeur majestueuse, cette pendule attire immédiatement le regard par sa présence imposante et son élégance. La dorure resplendissante met en valeur les détails finement ciselés, soulignant la maîtrise artistique des artisans de l’époque. La figure classique de Cérès, déesse de l’agriculture et de la fertilité, trône au sommet de cette œuvre d’art. Cérès est représentée vêtue d’une robe drapée, illustrant à la fois la grâce et la dignité de la divinité. Les plis de sa robe sont délicatement sculptés, chaque détail contribuant à l’impression de mouvement et de vie.
Le cadran de la pendule porte la signature de Mazillier à Verdun, attestant de son origine prestigieuse. Mazillier était un horloger renommé, et sa signature sur cette pièce ajoute une valeur historique et authentique. Le cadran, lui-même un exemple de sophistication, est orné de chiffres romains et de fines aiguilles, permettant une lecture claire et élégante de l’heure.
Le mouvement de cette pendule est équipé d’une suspension à fil, un mécanisme typique de l’époque, connu pour sa précision et sa fiabilité. Cette caractéristique technique témoigne de l’avancement des connaissances horlogères au début du XIXe siècle et de l’engagement des horlogers à produire des instruments de haute qualité.
L’ensemble de la pendule, de par sa grandeur, sa dorure éclatante, et sa figure de Cérès, représente un hommage à la prospérité et à la fertilité. Cérès, dans la mythologie romaine, est la déesse qui préside aux moissons et à la fertilité des terres, symbolisant ainsi l’abondance et la générosité de la nature. Cette représentation est particulièrement appropriée pour une pendule, un objet qui, par essence, mesure le passage du temps, tout en évoquant la cyclicité des saisons et des récoltes.
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Série complète de 12 porte-couteaux YER en verre dans sa boîte d’origine
250,00 €Je propose une série complète de 12 porte-couteaux YER, soigneusement conservés dans leur boîte d’origine, datant des années 1930. Ces porte-couteaux en verre moulé sont une œuvre d’art raffinée de la marque française YER, nommée d’après la vallée de la rivière Yerre dans l’Essonne. Ils incarnent un savoir-faire d’époque et un design intemporel qui ravira les amateurs de pièces de collection et les passionnés de décoration vintage.
La série se compose de douze porte-couteaux, chacun mesurant environ 10 cm. Chaque pièce présente un motif distinctif représentant un animal, apportant ainsi une touche de charme et de diversité à votre table. Les motifs inclus sont deux canards, deux chiens, deux poissons, deux oiseaux de paradis, deux escargots et deux écureuils. Ces animaux sont sculptés avec une précision remarquable, chaque détail du design reflétant l’excellence artisanale de YER. La qualité du verre moulé permet de capturer des détails fins et des textures variées, donnant vie aux animaux représentés.
Les porte-couteaux sont en parfait état, sans fissures, éclats ou autres imperfections, ce qui témoigne de leur conservation minutieuse au fil des décennies. Le verre est transparent, brillant et opaque, avec une finition lisse qui accentue les détails sculptés. Chaque pièce est non seulement fonctionnelle pour maintenir les couteaux en place, mais aussi esthétiquement plaisante, ajoutant une touche de sophistication à toute présentation de table.
La boîte d’origine, également en excellent état, complète cette série de manière élégante. Elle est conçue pour protéger les porte-couteaux tout en les exposant de manière raffinée. Le design de la boîte reflète le style de l’époque, avec une attention particulière aux détails qui la rend aussi précieuse que les porte-couteaux eux-mêmes.
Les porte-couteaux YER des années 1930 sont devenus des pièces de collection recherchées, non seulement pour leur beauté mais aussi pour leur rareté. En effet, la marque YER est reconnue pour sa production limitée et son engagement envers la qualité, ce qui confère à chaque pièce une valeur accrue. Cette série complète représente donc une opportunité unique d’acquérir un ensemble d’objets historiques et décoratifs.
En possédant cette série de porte-couteaux, vous ne faites pas seulement l’acquisition de pièces fonctionnelles pour vos repas, mais vous investissez également dans un morceau d’histoire du design français. Ils sont parfaits pour les collectionneurs d’objets vintage, les amateurs de verrerie ancienne ou toute personne cherchant à ajouter une touche d’élégance à ses réceptions.
En résumé, cette série de porte-couteaux YER est une pièce rare qui allie l’élégance du design des années 1930 à une qualité de fabrication exceptionnelle. En parfait état et conservée dans sa boîte d’origine, elle constitue une opportunité précieuse pour enrichir une collection ou embellir une table avec un charme d’antan. Ne laissez pas passer cette chance d’acquérir un ensemble de porte-couteaux qui raconte une histoire et ajoute une touche de sophistication à chaque repas.
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Très beau Bonheur-du-jour à système, milieu XIXe siècle en acajou
Parmi les meubles anciens, certains se distinguent par une beauté indéniable. Ce bonheur-du-jour à système du milieu du XIXe siècle en est un exemple remarquable. Ce bureau de dame, entièrement réalisé en acajou de Cuba massif et en placages, est un témoignage d’une élégance rare et d’un savoir-faire artisanal d’exception.
Le meuble est conçu autour d’un miroir biseauté central, flanqué de chaque côté par deux colonnes de quatre tiroirs chacune, surmontées d’un plateau de marbre. Les tiroirs, les montants, la ceinture et la galerie sont ornés de bronze doré finement ciselé, présentant des motifs en filets et draperies délicatement travaillés. Sous le miroir, un large tiroir central renforce la symétrie parfaite de ce meuble classique.
L’une des caractéristiques les plus remarquables de ce bonheur-du-jour est son plateau amovible. En le tirant, on découvre une élégante tablette d’écriture recouverte de tissus type velours de couleur moutarde. Ce geste déclenche un mécanisme ingénieux qui déverrouille simultanément le tiroir vitrine central et les deux tiroirs latéraux. Le motif central, riche en entrelacs, rappelle les goûts néogothiques et l’éclectisme naissant de l’époque. À gauche du bureau se trouve un encrier, tandis qu’à droite, on trouve une saupoudreuse.
La ceinture du meuble est ornée de fines draperies, créant une harmonie visuelle avec le plateau. Les pieds cannelés du bureau sont agrémentés de bronze doré et se terminent en pieds toupie. Le grand tiroir central, habilement divisé visuellement en trois sections, poursuit l’idée de symétrie inspirée du néoclassicisme. En tout, ce bureau de dame comporte dix tiroirs, tous en parfait état de fonctionnement.
Ce bonheur-du-jour ne se distingue pas seulement par son apparence, mais également par la complexité de son mécanisme. En effet, le système qui permet de déverrouiller les tiroirs est une merveille d’ingénierie du XIXe siècle, intégrant à la fois esthétique et fonctionnalité. La présence de ces tiroirs et de leurs mécanismes sophistiqués montre bien l’importance accordée à la praticité et à l’organisation, tout en restant fidèle à une ligne élégante et décorative.
Le miroir biseauté, central dans la conception du meuble, non seulement ajoute à son allure majestueuse, mais reflète également la lumière, illuminant ainsi l’ensemble de la pièce où il est placé. Le marbre du plateau ajoute une touche de luxe, complétant ainsi l’acajou et le bronze doré pour un effet visuel harmonieux.
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Grand buste en plâtre ancien, Jean de La Fontaine, 77 cm, début XXe
Grand Buste en Plâtre Ancien de Jean de La Fontaine
Ce grand buste en plâtre, datant du début du XXe siècle, représente l’une des figures les plus illustres de la littérature française : Jean de La Fontaine. D’une hauteur impressionnante d’environ 80 cm, cette œuvre dégage une présence imposante et majestueuse qui capte immédiatement l’attention.
Jean de La Fontaine : Une Figure Éminente
Jean de La Fontaine (1621-1695) est surtout connu pour ses fables, des récits allégoriques mettant en scène des animaux pour transmettre des leçons morales et philosophiques. Ses œuvres, parmi lesquelles « Le Corbeau et le Renard » et « La Cigale et la Fourmi », font partie intégrante du patrimoine culturel français et ont influencé de nombreuses générations. La Fontaine a su capturer l’essence de la nature humaine avec une simplicité et une élégance littéraire qui demeurent inégalées.
Description et Analyse Artistique
Le buste en plâtre capture La Fontaine dans une posture classique, souvent attribuée aux grands penseurs et écrivains. Les détails minutieusement sculptés reflètent le talent et la dextérité de l’artiste anonyme qui a su donner vie à ce personnage historique.
– Expression Faciale : Le visage de La Fontaine est finement sculpté, avec une expression sereine mais contemplative. Ses yeux semblent perdus dans une réflexion profonde, évoquant l’image du poète philosophe en pleine méditation.
– Chevelure et Détails Vestimentaires : La chevelure, abondante et bouclée, est représentative des portraits classiques de La Fontaine, conférant un aspect à la fois réaliste et idéalisé. Les plis de son vêtement sont rendus avec une grande précision, soulignant le soin apporté à chaque détail.
– Matériau : Le plâtre, matériau souvent utilisé au début du XXe siècle pour la réalisation de bustes et de sculptures, permet un niveau de détail élevé tout en étant plus accessible que le marbre ou le bronze. Bien que plus fragile, le plâtre donne une texture douce et une finition lisse qui accentuent les traits du visage et les courbes du vêtement.
Contexte Historique et Artistique
Au début du XXe siècle, la France connaît un renouveau artistique, avec un intérêt croissant pour les grands auteurs et figures historiques du passé. Les bustes en plâtre de personnalités littéraires deviennent des objets de décoration prisés, symboles de culture et d’érudition.
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Bronze à patine brun vert nuancé, buste d’un homme dénudé et musclé
L’épreuve en bronze à patine brun vert nuancé représente le buste d’un homme dénudé et musclé. Cette sculpture captivante est une fonte d’édition, signée et réalisée par Pierre Chenet, un artiste renommé. Chenet possède une fonderie d’art à Apt, où il se consacre principalement à la création d’œuvres animalières. Cependant, cette pièce montre sa capacité à capturer la beauté et la force du corps humain avec une grande précision et sensibilité.
Pierre Chenet est un maître dans l’art de la patine, et bien que ses éditions en bronze soient nombreuses, il confère à chaque pièce une patine particulière, rendant chacune unique. La patine brun vert nuancé de cette sculpture apporte une profondeur et une richesse de ton qui accentuent les détails de la musculature et les contours du visage. La technique de patine utilisée par Chenet donne à cette œuvre une apparence vivante et dynamique, reflétant la lumière de manière subtile et élégante.
Cette sculpture date du XXe siècle et est en bon état général, ce qui témoigne de la qualité et de la durabilité du travail de Chenet. Le buste a des dimensions imposantes avec une largeur de 17 cm, une hauteur de 48 cm et une profondeur de 15 cm. Ces dimensions, associées à la qualité de la patine et à la précision des détails, lui confèrent une présence majestueuse et impressionnante. La musculature est finement travaillée, chaque courbe et chaque saillie sont rendues avec un réalisme saisissant. L’expression du visage est également remarquablement détaillée, capturant une intensité et une sérénité qui ajoutent à l’impact visuel de la pièce.
Pierre Chenet, bien que principalement connu pour ses sculptures animalières, démontre à travers ce buste son talent polyvalent. Il est capable de capturer non seulement l’essence des animaux, mais aussi la beauté et la force du corps humain. Cette œuvre est un excellent exemple de sa capacité à transposer son expertise en sculpture animalière à la représentation humaine, en maintenant un niveau de détail et de réalisme exceptionnel.
La patine brun vert nuancé choisie par Chenet pour cette sculpture est particulièrement réussie. Elle apporte une richesse de couleur qui met en valeur les détails de la sculpture tout en ajoutant une dimension de profondeur et de texture.
La patine est appliquée avec une grande maîtrise, créant des variations subtiles de couleur et de ton qui rendent chaque pièce unique. Cela témoigne du savoir-faire artisanal de Chenet et de son engagement à créer des œuvres d’art uniques et de haute qualité.
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Alexandre Falguière (1831-1900) sculpture en bronze de Diane, déesse Romaine
Alexandre Falguière : Un Maître de la Sculpture Française
Alexandre Falguière, né Jean Alexandre Joseph Falguière le 7 septembre 1831 à Toulouse et décédé le 20 avril 1900 à Paris, est une figure emblématique de la sculpture française du XIXe siècle. Il a marqué son époque par son talent exceptionnel, son inventivité artistique et son influence durable sur les générations suivantes de sculpteurs.
Jeunesse et Formation
Falguière a grandi dans une famille modeste. Très tôt, il montre un intérêt marqué pour les arts. Son talent est rapidement remarqué, et il reçoit une bourse pour étudier à l’École des Beaux-Arts de Toulouse, où il se forme sous la direction de sculpteurs locaux. À 18 ans, il part pour Paris pour poursuivre sa formation à l’École des Beaux-Arts de Paris, une institution prestigieuse qui forme les plus grands artistes de l’époque.
En 1859, Falguière remporte le grand prix de Rome de sculpture pour son bas-relief « Méphistophélès apparaissant à Faust dans son cabinet ». Ce prix lui permet de séjourner à la Villa Médicis à Rome, où il s’imprègne de l’art classique et de la Renaissance italienne, influençant durablement son style. À son retour en France, il commence à exposer régulièrement au Salon, où ses œuvres attirent l’attention du public et des critiques.
En 1864, il réalise « Le Vainqueur au combat de coqs », une sculpture en bronze qui remporte un immense succès et le propulse au premier plan de la scène artistique. Cette œuvre, caractérisée par son dynamisme et sa précision anatomique, révèle son talent pour capter le mouvement et l’émotion.
Œuvres Majeures
Parmi ses œuvres les plus célèbres figure « Diane Chasseresse » (1882), une sculpture en bronze patiné représentant la déesse de la chasse, Diane, en buste. Cette œuvre, signée et portant le cachet du fondeur «Thiébaut Frères fondeurs Paris», est remarquable par sa finesse et son élégance. Falguière excelle dans l’art de rendre la beauté et la grâce féminine tout en respectant les canons classiques de la sculpture.
Enseignement et Influence
Au-delà de sa carrière de sculpteur, Falguière a joué un rôle crucial en tant qu’enseignant. En 1882, il devient professeur à l’École des Beaux-Arts de Paris, où il forme de nombreux élèves qui deviendront à leur tour des sculpteurs renommés. Son enseignement, basé sur une solide compréhension de l’anatomie et du mouvement, a influencé une génération entière d’artistes.
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Buste bronze de Eugène Rousseau représentant une élégante
650,00 €Cette belle statue en bronze représente un buste de femme élégante, signée par l’artiste Eugène Rousseau. Elle mesure 44 cm de hauteur et date du 19e siècle. La sculpture est notable pour sa patine brune, qui présente des reflets de brillance, ajoutant une profondeur et une richesse à la pièce.
Description de l’œuvre
Le buste montre une femme gracieuse et raffinée, caractéristique de l’époque romantique. Les détails minutieux de la coiffure et des vêtements révèlent une grande maîtrise technique. Les cheveux de la femme sont coiffés de manière complexe, avec des mèches élaborées qui encadrent son visage. Son expression sereine et ses yeux fermés ajoutent une sensation de calme et de contemplation à l’œuvre.
Signature et authenticité
La signature d’Eugène Rousseau est présente sur la statue, attestant de son authenticité. Rousseau, connu pour ses œuvres en bronze, était un artiste respecté au 19e siècle. Sa capacité à capturer l’essence et la beauté de ses sujets est bien illustrée dans cette sculpture.
Patine et esthétique
La patine brune de cette sculpture est particulièrement remarquable. Au fil du temps, la patine s’est développée, donnant à la pièce une brillance subtile qui accentue les détails sculpturaux. Cette patine est un signe de la qualité et de l’âge de la pièce, ajoutant à sa valeur historique et artistique.
Contexte historique
Le 19e siècle était une période de grande innovation et de changement dans l’art, avec l’émergence de styles tels que le romantisme et le réalisme. Les artistes de cette époque, comme Rousseau, étaient influencés par les idéaux de la beauté classique et la recherche de la perfection formelle. Les bustes, en particulier, étaient populaires car ils permettaient de capturer l’essence et le caractère des individus de manière intime et personnelle.
Importance de l’œuvre
Cette statue est non seulement un exemple de l’habileté technique de Rousseau, mais aussi un reflet des valeurs esthétiques de son époque. Le buste de femme qu’il a créé représente une combinaison de grâce, de beauté et de tranquillité, caractéristiques prisées dans l’art du 19e siècle. La finesse des détails et la qualité de la patine font de cette pièce un ajout précieux à toute collection d’art ou musée.
En somme, ce buste en bronze signé Eugène Rousseau est une œuvre d’art magnifique et raffinée. La qualité de la patine, la précision des détails et l’élégance générale de la sculpture en font un exemple remarquable de l’art du 19e siècle.
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Rare grande tasse couverte en porcelaine Allemande Berlin KPM XIXe
La pièce en question est une superbe tasse couverte en porcelaine allemande, fabriquée à Berlin par la célèbre Manufacture royale de porcelaine, plus connue sous l’acronyme KPM (Konigliche Porzellan Manufaktur Berlin). Datant approximativement de la période 1820-1840, cette tasse représente une véritable œuvre d’art de son époque.
Le paysage représenté sur cette tasse transporte l’observateur dans une ambiance paisible et nostalgique. Le pont, symbole de passage et de connexion, est magnifiquement dessiné, et les ruines ajoutent une touche de mystère et de romantisme. Ce genre de décor était très apprécié à l’époque, car il évoquait à la fois la beauté de la nature et les vestiges du passé.
La tasse elle-même est d’une élégance indéniable. Sa forme est gracieuse et équilibrée, avec des lignes fluides et harmonieuses. Le couvercle assorti ajoute non seulement à la fonctionnalité de la pièce, mais aussi à son esthétique globale. La dorure qui orne la tasse et son couvercle apporte une touche de luxe et de sophistication supplémentaire. Bien que la pièce soit en très bon état général, il convient de noter un léger manque de dorure sur le couvercle, signe discret du passage du temps mais n’altérant en rien la beauté et la valeur de l’objet.
La Manufacture royale de porcelaine de Berlin, fondée en 1763 sous les auspices du roi Frédéric II de Prusse, a toujours été synonyme de qualité et de perfection dans le domaine de la porcelaine. Les pièces produites par KPM sont prisées des collectionneurs du monde entier pour leur beauté, leur finesse et leur durabilité. La manufacture a su maintenir des standards de production élevés, alliant tradition et innovation pour créer des pièces uniques et précieuses.
La porcelaine de Berlin, réputée pour sa qualité exceptionnelle et son raffinement, est ici parfaitement illustrée. La tasse arbore une signature distinctive avec le sceptre bleu, une marque de fabrique de KPM, garantissant son authenticité et son origine prestigieuse. Le sceau du sceptre bleu est un symbole de la qualité et de l’excellence des productions de la manufacture royale.
Le décor de cette tasse est particulièrement remarquable. Elle présente un paysage lacustre pittoresque, mettant en scène un pont et de vieilles ruines. Le choix du motif témoigne d’un goût prononcé pour les scènes romantiques et idylliques, très en vogue au début du XIXe siècle. Les détails du décor sont finement exécutés, chaque élément étant peint avec une grande précision et une délicatesse qui reflètent le savoir-faire des artisans de KPM.
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Magnifique coffret Français fin du 17e siècle en écaille de tortue
Découvrez un trésor exceptionnel : un magnifique et rare grand coffret du 17e siècle, véritable chef-d’œuvre de l’artisanat de l’époque. Ce coffret, probablement d’origine française, incarne l’élégance et le raffinement caractéristiques de cette période historique. Son esthétique et sa patine, témoignages de son authenticité, en font une pièce incontournable pour les amateurs et collectionneurs d’antiquités.
Ce coffret est remarquable par son matériau principal : l’écaille de tortue. Utilisé dès l’Antiquité pour ses qualités esthétiques et pratiques, l’écaille de tortue était particulièrement prisée au 17e siècle pour la fabrication d’objets de luxe. Sa teinte naturellement riche, variant du brun doré au noir profond, et ses motifs uniques créent un effet visuel à la fois somptueux et sophistiqué. Le coffret présente une belle patine, un indicateur de son âge et de son authenticité, ainsi que du soin avec lequel il a été conservé au fil des siècles.
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Coffre fort de Nuremberg ancien datant du XVIIe siècle en fer forgé
Voici un magnifique coffre-fort ancien en fer forgé, un véritable joyau provenant de Nuremberg et datant du 17e siècle. Témoignage d’une époque révolue, cet objet historique est exceptionnellement bien conservé et demeure en parfait état de fonctionnement. Avec des dimensions généreuses de 70 cm de longueur, 40 cm de largeur et 33 cm de hauteur, ce coffre-fort impressionne par sa robustesse et sa beauté.
Ce coffre-fort en fer forgé est une œuvre d’art à part entière, révélant la maîtrise artisanale des forgerons de Nuremberg du 17e siècle. Chaque détail, de la structure solide aux motifs décoratifs finement travaillés, illustre l’excellence de la fabrication de l’époque. La patine qui recouvre ce coffre ajoute une profondeur visuelle, témoignant de son ancienneté et de son authenticité. Ce fini patiné, résultat des années écoulées, confère au coffre une aura unique, le rendant encore plus précieux aux yeux des collectionneurs et des amateurs d’antiquités.
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Paire de statues en marbre de Carrare, les baigneuses, d’après Falconet
Les sculptures en marbre de Carrare, d’une hauteur de 42 cm, représentent deux baigneuses inspirées des œuvres d’Étienne-Maurice Falconet. Elles incarnent l’élégance et la délicatesse du style rococo du XVIIIe siècle. Ces sculptures rappellent fortement la célèbre statue de Falconet, « Nymphe qui descend au bain » ou « La Baigneuse », présentée au Salon de 1757 et aujourd’hui exposée au Louvre.
Ces sculptures sont d’une pureté et d’une finesse remarquables, réalisées en marbre blanc de Carrare, un matériau prisé pour sa texture lisse et son éclat lumineux. Chaque détail est minutieusement sculpté, des traits du visage de la jeune fille à la courbe gracieuse de son corps. La statue représente une jeune femme nue, saisie dans un moment de douceur et d’intimité, alors qu’elle s’apprête à tester la température de l’eau avec son pied délicat. Sa posture est à la fois naturelle et empreinte de sensualité, caractéristique des œuvres de Falconet.
La main de la baigneuse repose légèrement sur une souche d’arbre enveloppée de feuillage, ajoutant une touche de nature à la scène et servant de point d’appui à la figure gracile. Ce détail accentue l’harmonie entre l’être humain et son environnement. La robe, entrelacée autour de sa cuisse, semble glisser doucement, suggérant le mouvement et la fluidité, un autre hommage à la maîtrise technique de Falconet.
Ces sculptures ne sont pas seulement des reproductions fidèles de l’œuvre originale, mais elles capturent également l’esprit du rococo, avec son accent sur l’intimité, la nature et la beauté féminine. La précision des détails, comme les plis de la robe, la texture de la peau et l’expression douce du visage, montrent le haut niveau de compétence des sculpteurs qui ont recréé ces œuvres. Chaque sculpture respire la grâce et la sensualité, créant une impression de légèreté et de douceur.
L’originalité et la rareté de ces sculptures en font des pièces particulièrement recherchées par les collectionneurs et les amateurs d’art. Il est rare de trouver ces sculptures vendues en paire, car elles sont souvent proposées à la pièce. Posséder une paire de ces œuvres permet d’apprécier pleinement l’équilibre et la symétrie qui sont si caractéristiques de l’art classique et rococo.
La qualité du marbre de Carrare ajoute une dimension supplémentaire à ces sculptures. Connue pour sa durabilité et son éclat, cette pierre a été utilisée par certains des plus grands sculpteurs de l’histoire, y compris Michel-Ange. Le choix de ce matériau pour recréer les baigneuses de Falconet témoigne du soin apporté à chaque aspect de ces œuvres.
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Œuvre de Gérard Dechamps, peinture technique de cousage et craie
750,00 €Présentation de l’œuvre de Gérard Deschamps
Né en 1937 à Lyon, Gérard Deschamps est un artiste phare du mouvement du Nouveau Réalisme, célèbre pour ses panoplies qui marient objets du quotidien et expressions artistiques. Le Nouveau Réalisme, apparu à la fin des années 1950 en pleine période d’après-guerre, a été l’un des premiers mouvements qualifiés de « contemporain » dans le panorama artistique français. Les artistes de ce courant se sont distingués par leur utilisation innovante d’objets trouvés, qu’ils intégraient dans leurs œuvres pour incarner les réalités de la société de consommation.
L’œuvre de Deschamps que nous présentons ici est datée de 1981. Elle est emblématique du Nouveau Réalisme par son approche matérielle et conceptuelle. Il s’agit d’une peinture réalisée à partir de cousage et de craie, mesurant 60 x 60 cm avec son encadrement. Cette œuvre s’inscrit dans une période de transition pour l’artiste, qui, depuis le milieu des années 1980, a exploré de nouvelles directions en incorporant des couleurs fluorescentes et des textures innovantes dans ses panoplies. Il s’est intéressé à des thèmes modernes tels que le surf et les ballons de plage, enrichissant ainsi son répertoire visuel.
Deschamps est notamment reconnu pour ses « pneumostructures » plus récentes, qui continuent de repousser les limites de son art en jouant avec les formes et les matériaux de manière audacieuse et créative. Cependant, cette œuvre de 1981 se situe juste avant cette période de transformation, offrant un aperçu fascinant de son travail antérieur tout en préfigurant ses expérimentations futures.
Le Nouveau Réalisme, tel que théorisé par Raymond Hains, se caractérise par l’utilisation d’objets de consommation courante, lesquels sont réappropriés par les artistes pour créer des œuvres d’art qui interrogent et reflètent les réalités sociales et économiques de leur époque. Dans cette œuvre, Deschamps utilise la technique de cousage, qui implique l’assemblage de divers matériaux textiles. L’utilisation de la craie, quant à elle, introduit une dimension éphémère et tactile, contrastant avec la permanence des matériaux cousus.
L’approche de Deschamps se distingue par son habileté à transformer des objets ordinaires en artefacts artistiques chargés de signification. Chaque élément de l’œuvre, qu’il s’agisse des matériaux textiles ou de la craie, est choisi pour sa capacité à évoquer des aspects spécifiques de la culture contemporaine et de la société de consommation. Par cette technique, Deschamps ne se contente pas de représenter le réel ; il l’incarne et le transcende, offrant au spectateur une nouvelle manière de voir et de comprendre le monde qui l’entoure.
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Magnifique vase en porcelaine de Sèvres par Charles Fritz
Présentation d’un Vase Exceptionnel : Chef-d’œuvre Art Déco de Charles Fritz
Nous avons le plaisir de vous présenter un magnifique vase en porcelaine, un véritable joyau de l’époque Art Déco. Fabriqué dans les prestigieux ateliers de Sèvres en France, ce vase est une œuvre exceptionnelle de Charles Fritz, célèbre pour ses créations raffinées et son talent incomparable. Signé des initiales « CF » et daté de 1925, ce vase incarne parfaitement l’élégance et le style distinctif de cette période artistique.
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Porteur d’eau Tunisien par Jean Didier Debut (1824-1893)
900,00 €Porteur d’eau Tunisien par Jean Didier Debut (1824-1893) est une sculpture orientaliste en bronze qui illustre parfaitement le goût du XIXe siècle pour l’exotisme et l’art détaillé. Cette œuvre mesure 32 cm sans son socle en marbre, qui ajoute 4 cm de hauteur et mesure 15 cm de largeur, offrant ainsi une stabilité optimale et un équilibre visuel harmonieux.
Jean Didier Debut, sculpteur français renommé, a su capturer l’essence de la vie quotidienne en Tunisie à travers cette représentation du porteur d’eau. Cette figure emblématique transporte des récipients d’eau, une scène courante dans les rues animées de la Tunisie de l’époque. Le porteur d’eau est vêtu de manière traditionnelle, ses vêtements finement sculptés révélant une attention méticuleuse aux détails et aux textures. Cette minutie permet de percevoir les plis du tissu, la musculature du porteur et même les expressions subtiles de son visage, ajoutant une dimension de réalisme et d’authenticité à l’œuvre.
Le bronze, matériau de choix pour Debut, permet une restitution fidèle des détails les plus fins et offre une durabilité qui traverse les âges. Le socle en marbre, non seulement améliore la présentation de la sculpture, mais apporte également une touche de sophistication et de noblesse. Le contraste entre la texture lisse et froide du marbre et la chaleur patinée du bronze crée un effet visuel saisissant, rehaussant la beauté de l’œuvre.
L’œuvre de Debut s’inscrit dans le mouvement orientaliste, qui a connu une grande popularité au XIXe siècle en Europe. Ce mouvement artistique et littéraire se caractérisait par une fascination pour les cultures et les paysages de l’Orient, souvent idéalisés et romancés. Les artistes orientalistes, tels que Debut, cherchaient à capturer et à transmettre l’exotisme et le mystère de ces contrées lointaines à travers leurs créations. La sculpture Porteur d’eau Tunisien témoigne de cet engouement pour l’Orient, offrant une vision à la fois poétique et réaliste de la vie en Afrique du Nord.
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Superbe cache pot ancien en grès vernissé XIXe siècle, décor de Chilongs et Lohans
Le cache-pot en porcelaine de Chine datant du XIXe siècle que vous présentez est une pièce remarquable qui incarne la richesse de l’art céramique chinois de cette époque. Avec ses dimensions précises de 20 cm de hauteur, 28 cm de diamètre à la panse, et 14 cm de diamètre au col, cette œuvre présente une silhouette harmonieuse et bien proportionnée, propice à la contemplation et à l’appréciation de ses détails décoratifs sophistiqués.
L’élément central du décor est constitué de huit Lohans, figures vénérées dans la tradition bouddhiste chinoise. Les Lohans, ou Arhats en sanskrit, sont des disciples de Bouddha ayant atteint l’illumination. Ils sont souvent représentés dans l’art chinois comme des figures ascétiques, aux expressions empreintes de sagesse et de tranquillité. Sur ce cache-pot, chaque Lohan est finement détaillé, illustrant des postures méditatives ou engageant des gestes symboliques, mettant en évidence la maîtrise technique et artistique des artisans de l’époque.
Le fond bleu sur lequel les Lohans se détachent ajoute une profondeur et une richesse visuelle à l’ensemble. Le bleu, souvent associé à la noblesse et à la spiritualité en Chine, crée un contraste saisissant avec les figures des Lohans, qui semblent presque émaner de la surface du pot. Cette couleur, obtenue à partir de cobalt, était très prisée et souvent réservée aux pièces de haute qualité.
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Une bouteille de Puligny-Montrachet, Champ Canet, château de Meursault, récolte 1997
150,00 €La bouteille de Puligny-Montrachet, Cham Canet, du Château de Meursault, récolte 1997, comte de Moucheron, en Côte d’Or, France, est bien plus qu’une simple bouteille de vin blanc. C’est une capsule temporelle, un voyage à travers les vignobles légendaires de la Bourgogne, incarnant des siècles d’histoire et d’expertise viticole.
La région de Puligny-Montrachet est réputée dans le monde entier pour ses vins blancs d’exception, et cette bouteille incarne parfaitement cet héritage. Cham Canet, provenant du prestigieux Château de Meursault, est une expression remarquable de ce terroir unique.
La récolte de 1997 a été une année mémorable en Bourgogne, marquée par des conditions climatiques idéales qui ont permis aux raisins de mûrir parfaitement, offrant une qualité exceptionnelle. Ce millésime a été célébré pour sa richesse, sa complexité et sa capacité à vieillir avec élégance, des caractéristiques que l’on retrouve sans aucun doute dans chaque gorgée de ce vin.
Dès le premier regard, cette bouteille captive avec son étiquette élégante, portant le sceau du Château de Meursault, symbole de tradition et d’excellence. Son contenu, un vin d’un jaune doré profond, scintille à la lumière, promettant une expérience sensorielle inoubliable.
Au nez, le Puligny-Montrachet, Cham Canet, révèle un bouquet envoûtant de fleurs blanches, d’agrumes et de fruits à noyau mûrs, évoquant les journées ensoleillées passées dans les vignobles bourguignons. Des notes subtiles de noisette et de beurre frais ajoutent une dimension supplémentaire, témoignant du vieillissement en fûts de chêne français.
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Une bouteille de Puligny-Montrachet, Champ Canet, château de Meursault, récolte 1997
150,00 €La bouteille que je vous décris, un Puligny-Montrachet Cham Canet du Château de Meursault, récolte 1997, est un véritable trésor du terroir français. Son étiquette évoque déjà l’histoire et la tradition profondément enracinées dans la région viticole de la Côte-d’Or, une région renommée pour ses vins d’exception.
Le Puligny-Montrachet est une appellation prestigieuse de Bourgogne, célèbre pour ses vins blancs élégants et complexes. Cham Canet est un des climats particuliers de cette appellation, offrant souvent des vins d’une grande finesse et d’une remarquable expressivité. Issu du Château de Meursault, un domaine historique jouissant d’une réputation enviable dans la région, ce vin incarne l’excellence et le savoir-faire traditionnel transmis de génération en génération.
La récolte de 1997, une année marquée par des conditions météorologiques particulières, a donné naissance à des vins singuliers, reflétant le caractère unique de ce millésime. Le comte de Moucheron, dont le nom figure sur l’étiquette, est peut-être le propriétaire ou le bienfaiteur de cette parcelle spécifique, ajoutant une touche d’histoire aristocratique à ce vin déjà empreint de noblesse.
Lorsqu’on verse ce Puligny-Montrachet dans le verre, sa couleur dorée évoque les reflets du soleil couchant sur les vignobles de la Bourgogne. Au nez, des arômes subtils de fruits blancs mûrs, de fleurs blanches et de notes boisées se mêlent harmonieusement, annonçant une expérience sensorielle riche et envoûtante.
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Une bouteille de Puligny-Montrachet, Champ Canet, château de Meursault, récolte 1997
150,00 €Le nom « Puligny-Montrachet » évoque immédiatement des images de raffinement et d’excellence dans le monde du vin. Parmi les plus prestigieuses appellations de Bourgogne, cette région est réputée pour ses vins blancs exceptionnels, et la bouteille de Puligny-Montrachet Cham Canet du Château de Meursault, récolte 1997, incarne parfaitement cet héritage viticole remarquable.
Datant de 1997, cette bouteille possède une histoire qui a mûri avec le temps, révélant les caractéristiques uniques de son millésime. Le millésime 1997 en Bourgogne a été marqué par des conditions météorologiques spécifiques, qui ont contribué à produire des vins d’une grande complexité et d’une élégance rare.
Le vignoble de Puligny-Montrachet est renommé pour ses sols calcaires et argilo-calcaires, ainsi que pour son exposition idéale au soleil, offrant des conditions optimales pour la culture du Chardonnay, cépage emblématique de la région. Ce terroir exceptionnel se reflète dans chaque gorgée de ce vin, exprimant la pureté et la finesse du terroir bourguignon.
Le nom « Cham Canet » évoque un lieu-dit spécifique ou une parcelle de vigne où les raisins sont cultivés, ajoutant une dimension supplémentaire à la signification de cette bouteille. C’est une expression unique du terroir, capturant l’essence même de Puligny-Montrachet.
Le Château de Meursault, avec son histoire riche remontant à des siècles, est un nom respecté dans le monde du vin. En tant que producteur de vins de qualité depuis des générations, le château incarne l’engagement envers l’excellence et la tradition, ce qui se traduit par chaque bouteille qui porte son étiquette.
Le comte de Moucheron, dont le nom est associé à cette bouteille, ajoute une touche d’élégance aristocratique à l’ensemble. C’est une référence à la noblesse qui a longtemps été liée au vin, renforçant le prestige de cette cuvée particulière.
En ouvrant cette bouteille de Puligny-Montrachet Cham Canet 1997, on peut s’attendre à une expérience sensorielle envoûtante. À travers sa couleur dorée et lumineuse, ses arômes envoûtants de fleurs blanches, de fruits à chair blanche mûrs et de nuances minérales, ce vin transporte celui qui le déguste dans un voyage gustatif inoubliable.