• Pendulette d'officier, horloge réveil de voyage en bronze et laiton doréPendulette d'officier, horloge réveil de voyage en bronze et laiton doré

    Pendulette d’officier, horloge réveil de voyage en bronze et laiton doré

    260,00 
    Cette ancienne pendulette d’officier, également connue sous le nom d’horloge et réveil de voyage, est un véritable bijou d’horlogerie de la fin du XIXe siècle.
    Fabriquée en bronze et laiton doré, elle incarne l’élégance et la précision des objets de cette époque.
    La pendulette se distingue par son design raffiné et ses matériaux nobles.
    Le boîtier en bronze et laiton doré présente une dorure d’origine remarquablement bien conservée, ajoutant une touche de luxe et de sophistication.
    Les carreaux biseautés offrent une vue claire sur le mécanisme interne, permettant d’admirer la complexité et la beauté de l’horlogerie mécanique.
    Le mécanisme à sonnerie est l’un des points forts de cette pendulette.
    Il est en parfait état de fonctionnement, témoignant de la qualité de fabrication et de l’expertise des horlogers de l’époque.
    La sonnerie, qui marque les heures désirées, ajoute une dimension auditive à cette pièce, la rendant non seulement utile mais aussi agréable à vivre, mais je ne suis pas en possession de sa clé.
    Avec une hauteur de 12,5 cm sans la poignée, cette pendulette est compacte et facilement transportable.
    Conçue pour les officiers et les voyageurs, elle était idéale pour ceux qui devaient se déplacer fréquemment mais avaient besoin d’une horloge fiable et précise.
    La poignée, visible sur les images, devait faciliter son transport, la rendant pratique pour les déplacements.
    La fin du XIXe siècle a été une période de grande innovation et de raffinement dans le domaine de l’horlogerie.
    Les horlogers de l’époque maîtrisaient parfaitement les techniques de fabrication et de décoration, créant des pièces qui étaient à la fois fonctionnelles et esthétiquement plaisantes.
    Cette pendulette est un exemple parfait de cette époque, où l’art et la science se rencontraient pour produire des objets d’une grande valeur.
    Pour les collectionneurs d’horlogerie ancienne, cette pendulette d’officier est une pièce de choix.
    Sa rareté, son état de conservation et son fonctionnement impeccable en font un objet de grande valeur.
    Elle peut être exposée comme une œuvre d’art ou utilisée pour sa fonction originale, ajoutant une touche d’histoire et de prestige à n’importe quel intérieur.
  • Grand mannequin articulé d'attraction foraine, automate vers 1980

    Grand mannequin articulé d’attraction foraine, automate vers 1980

    1200,00 
    Le grand mannequin de foire des années 1980, souvent placé à l’entrée d’attractions telles que les châteaux hantés, est un exemple fascinant d’automate conçu pour captiver l’attention et créer une expérience immersive dès l’abord d’une attraction. Mesurant environ 180 cm, ce mannequin se distingue non seulement par sa taille, mais aussi par sa capacité à interagir avec les passants, offrant une dimension interactive et presque humaine à ce qui aurait autrement pu être un simple décor.
    Vêtu d’un costume élégant, peut-être inspiré des tenues formelles du XIXe siècle avec un chapeau haut de forme, l’automate possédait une allure à la fois imposante et accueillante. Son rôle n’était pas simplement décoratif. Il était conçu pour saluer les visiteurs, les complimenter sur leur apparence, et les inviter à pénétrer dans l’attraction. Cette interaction verbale, bien que simple, ajoutait une couche de personnalisation à l’expérience foraine, donnant aux visiteurs le sentiment d’être reconnus et accueillis personnellement.
    L’automate était équipé de mécanismes permettant des mouvements articulés, une caractéristique qui, à l’époque, témoignait de l’ingéniosité des fabricants. La tête et les yeux du mannequin pouvaient bouger, suivant les visiteurs ou les fixant lorsqu’il leur adressait la parole. Ces mouvements, bien que limités comparés aux standards d’aujourd’hui, conféraient à l’automate une présence quasi vivante, renforçant l’atmosphère mystérieuse et immersive du château hanté ou de toute autre attraction où il se trouvait.
    L’utilisation de tels automates dans les foires et parcs d’attractions des années 1980 s’inscrivait dans une tradition plus large de l’animation mécanique, un art qui remonte à plusieurs siècles. Toutefois, les modèles des années 1980, comme celui-ci, étaient souvent plus sophistiqués grâce aux avancées technologiques de l’époque. Les enregistrements sonores et les mécanismes de mouvement étaient plus fiables et réalistes, permettant à ces automates de fonctionner de manière plus fluide et convaincante.
    Ces automates n’étaient pas seulement des objets d’animation, mais aussi des pièces d’ingénierie complexe, nécessitant un entretien régulier pour rester en bon état de fonctionnement. Avec le temps, et surtout avec l’évolution des technologies numériques et des effets spéciaux, ces mannequins mécaniques ont progressivement disparu des foires, remplacés par des dispositifs plus modernes et interactifs. Toutefois, leur rareté actuelle sur le marché de la brocante en fait des objets de collection très prisés, particulièrement lorsqu’ils sont en état de marche.
    Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de trouver des automates de cette époque en bon état, surtout ceux qui ont conservé leur capacité à parler et à bouger. Le fait qu’ils soient encore fonctionnels ajoute une valeur significative, non seulement en tant qu’objets historiques, mais aussi en tant que témoins d’une période spécifique de l’histoire des foires. Ils représentent une époque où l’innovation technique se mêlait à l’art de la mise en scène pour créer des expériences inoubliables pour le public.
    La popularité actuelle de la culture vintage et rétro a contribué à la redécouverte de ces automates, avec un regain d’intérêt pour les objets qui rappellent l’enfance de nombreux adultes d’aujourd’hui. Les collectionneurs et passionnés cherchent à retrouver ces pièces pour leur valeur esthétique, historique, et émotionnelle. En outre, ces automates incarnent une forme de technologie ancienne qui, bien qu’obsolète à certains égards, continue de fasciner par son ingéniosité et son charme.
    Le grand mannequin de foire des années 1980, lorsqu’il est conservé et présenté dans des collections privées ou des expositions, évoque une époque où la technologie et l’artisanat se combinaient pour donner vie à des créations uniques.
  • Magnifique œuvre de Clément Serveau (1886-1972) La robe CrétoiseMagnifique œuvre de Clément Serveau (1886-1972) La robe Crétoise

    Magnifique œuvre de Clément Serveau (1886-1972) La robe Crétoise

    2800,00 
    Clément Serveau, né en 1886 et décédé en 1972, est un peintre français renommé pour ses portraits réalistes empreints de sensibilité. Son œuvre « La robe Crétoise, » une huile sur panneau réalisée en 1935, illustre magnifiquement son talent. Cette peinture, mesurant 65 x 54 cm, est une démonstration éclatante de la maîtrise technique de Serveau et de sa capacité à capturer l’essence de ses sujets avec une précision remarquable.
    « La robe Crétoise » présente une femme vêtue d’une robe traditionnelle crétoise, riche en détails et en textures. Les plis du tissu et les motifs brodés sont rendus avec une finesse extraordinaire, témoignant de l’attention méticuleuse de l’artiste aux particularités culturelles du costume. La lumière, subtilement appliquée, met en valeur la texture de la robe et la douceur de la peau du modèle, créant un contraste saisissant avec le fond sombre. Cela confère à la composition une profondeur et une dimension supplémentaires, attirant l’œil du spectateur vers le visage expressif de la femme.
    Le portrait montre une expression empreinte de douceur et de réflexion, capturant non seulement l’apparence physique du modèle mais aussi une profondeur psychologique. L’attention de Serveau aux détails anatomiques, comme la délicatesse des mains et la complexité des traits du visage, ajoute une dimension de réalisme qui rend le sujet presque tangible. La femme semble plongée dans ses pensées, ce qui ajoute une narration silencieuse à l’œuvre, invitant les spectateurs à imaginer son histoire et ses émotions.
    La signature de Clément Serveau et la date de création, clairement visibles en bas de l’œuvre, attestent de son authenticité. Serveau, qui a traversé plusieurs courants artistiques au cours de sa carrière, reste fidèle à un style réaliste tout en intégrant des éléments impressionnistes dans ses jeux de lumière et ses palettes de couleurs. Cette peinture reflète cette synthèse artistique, où la précision du trait se marie harmonieusement avec une approche plus libre et expressive de la couleur.
    Clément Serveau est souvent célébré pour sa capacité à immortaliser la beauté intemporelle de ses sujets tout en capturant l’esprit de l’époque. « La robe Crétoise » n’échappe pas à cette règle. 
  • VENDU
    Superbe pendule, datant de l'époque de la Restauration au début du XIXe siècle, Antiquités et brocanteSuperbe pendule, datant de l'époque de la Restauration au début du XIXe siècle, Antiquités et brocante

    Superbe pendule, datant de l’époque de la Restauration au début du XIXe siècle

    Cette pendule est une pièce d’exception datant de l’époque de la Restauration, au début du XIXe siècle. Fabriquée en bronze doré au mercure, elle incarne l’art et le savoir-faire horloger de cette période historique. La dorure au mercure, une technique exigeante et hautement qualifiée, confère à la pendule une brillance et une durabilité remarquables, témoignant de l’attention minutieuse portée à sa création.
    D’une grandeur majestueuse, cette pendule attire immédiatement le regard par sa présence imposante et son élégance. La dorure resplendissante met en valeur les détails finement ciselés, soulignant la maîtrise artistique des artisans de l’époque. La figure classique de Cérès, déesse de l’agriculture et de la fertilité, trône au sommet de cette œuvre d’art. Cérès est représentée vêtue d’une robe drapée, illustrant à la fois la grâce et la dignité de la divinité. Les plis de sa robe sont délicatement sculptés, chaque détail contribuant à l’impression de mouvement et de vie.
    Le cadran de la pendule porte la signature de Mazillier à Verdun, attestant de son origine prestigieuse. Mazillier était un horloger renommé, et sa signature sur cette pièce ajoute une valeur historique et authentique. Le cadran, lui-même un exemple de sophistication, est orné de chiffres romains et de fines aiguilles, permettant une lecture claire et élégante de l’heure.
    Le mouvement de cette pendule est équipé d’une suspension à fil, un mécanisme typique de l’époque, connu pour sa précision et sa fiabilité. Cette caractéristique technique témoigne de l’avancement des connaissances horlogères au début du XIXe siècle et de l’engagement des horlogers à produire des instruments de haute qualité.
    L’ensemble de la pendule, de par sa grandeur, sa dorure éclatante, et sa figure de Cérès, représente un hommage à la prospérité et à la fertilité. Cérès, dans la mythologie romaine, est la déesse qui préside aux moissons et à la fertilité des terres, symbolisant ainsi l’abondance et la générosité de la nature. Cette représentation est particulièrement appropriée pour une pendule, un objet qui, par essence, mesure le passage du temps, tout en évoquant la cyclicité des saisons et des récoltes.