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Grande sculpture en marbre de 83 cm, la baigneuse, d’après Falconet
Cette superbe et élégante sculpture en marbre, inspirée de « La Baigneuse » d’Étienne Maurice Falconet, incarne l’art raffiné du XVIIIe siècle. Reprenant avec virtuosité les caractéristiques de la célèbre œuvre originale exposée au musée du Louvre, cette pièce illustre le mariage harmonieux entre la tradition classique et l’esthétique rococo.
Représentant une nymphe descendant du bain, cette sculpture capte avec délicatesse et sensualité l’esprit de l’Antique, réinterprété avec une finesse remarquable.
Une œuvre inspirée par les maîtres de l’Antiquité et du Grand Siècle
L’œuvre originale de Falconet, conçue vers le milieu du XVIIIe siècle, s’inspire elle-même des canons de beauté classique et des peintures mythologiques, notamment celles de François Lemoyne.
Peintre éminent du Grand Siècle, Lemoyne excellait dans l’art de représenter la grâce féminine à travers des scènes mythologiques empreintes de poésie.
Ici, la sculpture reprend cette tradition en traduisant la légèreté et l’élégance picturale dans le langage sculptural.
Falconet, célèbre sculpteur du siècle des Lumières, a réussi à capturer la quintessence de la beauté féminine dans cette figure délicate.
La posture gracieuse de la nymphe, se penchant légèrement en avant tout en tenant son drapé, exprime une douce retenue et une sensualité mesurée, des traits caractéristiques de son style.
Un hommage à la pureté du marbre et au raffinement artistique
Réalisée en marbre blanc de haute qualité, cette sculpture révèle une maîtrise exceptionnelle de la matière.
Le travail des détails est saisissant : des courbes harmonieuses du corps aux plis du drapé subtilement sculptés, chaque élément témoigne d’une précision technique remarquable.
La surface polie du marbre confère à l’ensemble un éclat satiné qui magnifie la douceur des traits du visage et la fluidité des lignes du corps.
Les dimensions généreuses de 83 cm permettent de mettre en valeur cette œuvre dans tout type d’espace.
Qu’elle soit placée sur un piédestal dans un salon, une galerie ou un bureau, cette sculpture devient immédiatement un point focal, attirant les regards par son élégance intemporelle.
Une pièce décorative de grande élégance
En plus de son aspect artistique, cette sculpture constitue un élément décoratif exceptionnel.
Son esthétique classique s’intègre aussi bien dans des intérieurs traditionnels que contemporains, apportant une touche de raffinement et de noblesse.
Que ce soit pour un collectionneur passionné d’art ou un amateur de décoration sophistiquée, cette pièce trouve sa place dans tout cadre recherchant l’équilibre entre l’histoire et le goût moderne.
La thématique de la nymphe descendante du bain, symbole de pureté et de beauté naturelle, évoque également l’intimité et la sérénité.
Ce thème intemporel séduit par sa capacité à transcender les époques et les styles.
Falconet, avec sa vision empreinte de grâce et de sensibilité, a su élever cette scène apparemment simple au rang d’icône artistique.
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Belle et ancienne aiguière en étain art nouveau signé de Noel Ruffier
520,00 €Superbe aiguière en étain Art Nouveau signée Noël Ruffier. Élégance et authenticité pour collectionneurs et amateurs d’objets anciens.
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Paire de statues en marbre de Carrare, les baigneuses, d’après Falconet
Les sculptures en marbre de Carrare, d’une hauteur de 42 cm, représentent deux baigneuses inspirées des œuvres d’Étienne-Maurice Falconet. Elles incarnent l’élégance et la délicatesse du style rococo du XVIIIe siècle. Ces sculptures rappellent fortement la célèbre statue de Falconet, « Nymphe qui descend au bain » ou « La Baigneuse », présentée au Salon de 1757 et aujourd’hui exposée au Louvre.
Ces sculptures sont d’une pureté et d’une finesse remarquables, réalisées en marbre blanc de Carrare, un matériau prisé pour sa texture lisse et son éclat lumineux. Chaque détail est minutieusement sculpté, des traits du visage de la jeune fille à la courbe gracieuse de son corps. La statue représente une jeune femme nue, saisie dans un moment de douceur et d’intimité, alors qu’elle s’apprête à tester la température de l’eau avec son pied délicat. Sa posture est à la fois naturelle et empreinte de sensualité, caractéristique des œuvres de Falconet.
La main de la baigneuse repose légèrement sur une souche d’arbre enveloppée de feuillage, ajoutant une touche de nature à la scène et servant de point d’appui à la figure gracile. Ce détail accentue l’harmonie entre l’être humain et son environnement. La robe, entrelacée autour de sa cuisse, semble glisser doucement, suggérant le mouvement et la fluidité, un autre hommage à la maîtrise technique de Falconet.
Ces sculptures ne sont pas seulement des reproductions fidèles de l’œuvre originale, mais elles capturent également l’esprit du rococo, avec son accent sur l’intimité, la nature et la beauté féminine. La précision des détails, comme les plis de la robe, la texture de la peau et l’expression douce du visage, montrent le haut niveau de compétence des sculpteurs qui ont recréé ces œuvres. Chaque sculpture respire la grâce et la sensualité, créant une impression de légèreté et de douceur.
L’originalité et la rareté de ces sculptures en font des pièces particulièrement recherchées par les collectionneurs et les amateurs d’art. Il est rare de trouver ces sculptures vendues en paire, car elles sont souvent proposées à la pièce. Posséder une paire de ces œuvres permet d’apprécier pleinement l’équilibre et la symétrie qui sont si caractéristiques de l’art classique et rococo.
La qualité du marbre de Carrare ajoute une dimension supplémentaire à ces sculptures. Connue pour sa durabilité et son éclat, cette pierre a été utilisée par certains des plus grands sculpteurs de l’histoire, y compris Michel-Ange. Le choix de ce matériau pour recréer les baigneuses de Falconet témoigne du soin apporté à chaque aspect de ces œuvres.
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François-Désiré Froment-Meurice, joli coupe papier en argent, Art nouveau
François-Désiré Froment-Meurice était un maître orfèvre français du XIXe siècle, dont le nom est intimement lié à l’Art nouveau et à la création de magnifiques pièces en argent, telles que le joli coupe-papier que vous décrivez. Né à Paris en 1837, Froment-Meurice était le fils de l’orfèvre François-Desire Froment, et il a hérité de son père un talent inné pour la création d’œuvres d’art exceptionnelles.
Le coupe-papier en argent que vous mentionnez incarne parfaitement le style de Froment-Meurice et l’esthétique de l’Art nouveau. Mesurant 20,5 cm de longueur, cette pièce remarquable capture l’essence même de cette période artistique avec son motif délicat représentant une grenouille reposant sur un nénuphar. L’Art nouveau, caractérisé par ses lignes organiques et ses motifs inspirés par la nature, trouve une expression éclatante dans ce coupe-papier où la grenouille semble figée dans un mouvement gracieux, et le nénuphar est dépeint avec une attention méticuleuse aux détails.