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Tableau Représentant François-henri De Montmorency-bouteville, Duc De Piney-luxembourg XIXe
2200,00 €Le tableau en question est une œuvre d’art remarquable représentant François-Henri de Montmorency-Bouteville, duc de Piney-Luxembourg, également connu sous le nom de maréchal de Luxembourg ou le tapissier de Notre-Dame.
Ce portrait à l’huile sur toile, entouré d’un cadre d’époque du début du XIXe siècle, offre un aperçu saisissant de l’un des plus éminents militaires français du XVIIᵉ siècle.
François-Henri de Montmorency-Bouteville est une figure emblématique de la noblesse et de l’histoire militaire française.
Né en 1628, il devint un chef militaire de premier plan sous le règne de Louis XIV. Son titre complet reflète sa position élevée et son influence : duc de Piney-Luxembourg, comte de Bouteville et comte de Luxe, pair de France et maréchal de France.
Sa carrière est marquée par ses succès sur les champs de bataille et ses contributions notables à l’armée française.
Il est particulièrement connu pour ses stratégies brillantes et ses nombreuses victoires, notamment lors des guerres de la Ligue d’Augsbourg et de la Guerre de Succession d’Espagne.
Le portrait, mesurant 106 cm de hauteur, 87 cm de largeur et 10,5 cm d’épaisseur, capture avec majesté l’allure imposante du maréchal de Luxembourg.
La technique de l’huile sur toile utilisée par l’artiste met en valeur la richesse des détails, des tissus somptueux de ses habits à l’expression déterminée de son visage.
Ce réalisme permet de ressentir la grandeur et la noblesse qui émanaient de François-Henri, tout en soulignant son rôle crucial dans l’histoire militaire de la France.
Le cadre d’époque du début du XIXe siècle qui entoure cette œuvre ajoute une dimension supplémentaire d’authenticité et de prestige. Conçu avec soin, il complète le tableau en lui apportant une aura d’élégance et de respect. Ce cadre, par ses motifs et sa finition, renforce l’impression de grandeur que dégage le portrait.
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Chambre photo-Hall à Paris avec objectif Dérogy N°1 Paris Londre
550,00 €La photographie est un art qui a évolué au fil des siècles, et les appareils photo anciens sont des témoins précieux de cette évolution.
La chambre photographique que nous avons ici est un exemple remarquable de cette histoire.
Il s’agit d’une chambre photo-Hall fabriquée à Paris, équipée d’un objectif Dérogy N°1, un modèle qui a marqué son époque par sa qualité et sa précision.
Cette chambre photographique porte la référence N°14841, un détail qui ajoute à son authenticité et à son charme.
L’objectif Dérogy, reconnu pour sa qualité optique, était utilisé par de nombreux photographes professionnels de l’époque.
La mention « Paris Londres » sur l’objectif indique que ce modèle était probablement distribué dans ces deux grandes villes, centres culturels et artistiques majeurs de l’époque.
Le soufflet de cette chambre photographique est en bon état, ce qui est remarquable pour un appareil de cette ancienneté.
Le soufflet est une partie cruciale de la chambre photographique, permettant de régler la distance entre l’objectif et le plan focal, et donc de contrôler la mise au point et la profondeur de champ.
Un soufflet en bon état est essentiel pour obtenir des images nettes et de haute qualité.
Cependant, il est à noter que cette chambre photographique manque la plaque arrière.
La plaque arrière est une composante importante de l’appareil, car c’est là que le photographe place la plaque photographique ou le film.
L’absence de cette pièce peut limiter l’utilisation de l’appareil, mais elle n’enlève rien à la valeur historique et esthétique de cette chambre photographique.
La construction de cette chambre photo-Hall est un témoignage de l’artisanat de l’époque.
Le bois utilisé pour le corps de l’appareil est en bois noble, choisi pour sa solidité et sa résistance.
Les finitions en laiton ajoutent une touche d’élégance et de durabilité.
Les mécanismes de réglage, bien que simples, sont précis et fonctionnels, permettant au photographe de contrôler avec précision les paramètres de la prise de vue.
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Vase Majolica Palissy, datant de l’époque victorienne vers 1890
580,00 €Ce superbe vase Majolica Palissy, datant de l’époque victorienne vers 1890, est une véritable œuvre d’art qui témoigne du savoir-faire et de la créativité de son époque.
La majolique, une technique de céramique italienne, a été popularisée en Angleterre au XIXe siècle, et ce vase en est un exemple remarquable.
Le décor en relief de ce vase est particulièrement impressionnant.
Il représente une scène de nature luxuriante, où grenouilles, salamandres, papillons et autres insectes cohabitent harmonieusement sur une végétation de lierre.
Chaque détail est minutieusement sculpté, donnant vie à ces créatures et à leur environnement.
Les grenouilles semblent prêtes à bondir, les salamandres à se faufiler entre les feuilles, et les papillons à prendre leur envol.
Cette représentation réaliste et dynamique de la faune et de la flore est caractéristique du style Palissy, inspiré par les observations naturalistes de Bernard Palissy, un céramiste et naturaliste français du XVIe siècle.
Le vase présente une belle harmonie de couleurs, avec des tons verts et bruns qui évoquent la nature.
Les nuances de vert, allant du vert clair au vert foncé, rappellent les différentes teintes des feuilles de lierre, tandis que les touches de brun ajoutent de la profondeur et du contraste.
Les couleurs sont appliquées avec une grande finesse, soulignant les reliefs et les détails du décor.
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VENDU
« Talisman » est une œuvre remarquable d’Emmanuel Villanis (1858-1904)
« Talisman » est une œuvre remarquable d’Emmanuel Villanis (1858-1904), un sculpteur français dont le talent a marqué la fin du XIXe et le début du XXe siècle.
Cette sculpture en bronze à patine médaille, datant d’environ 1900, est un témoignage de l’art raffiné et de la maîtrise technique de Villanis.
La sculpture représente une figure féminine allongée, dont la posture évoque une grâce et une sérénité intemporelles.
La femme est dépeinte dans une position de repos, les yeux fermés, comme plongée dans un sommeil paisible ou une méditation profonde. Ses traits sont finement ciselés, révélant une expression de calme et de tranquillité.
Les détails de son visage, notamment les paupières closes et les lèvres légèrement entrouvertes, ajoutent une dimension de réalisme et de vulnérabilité à l’œuvre.
Le corps de la femme est drapé dans une étoffe fluide qui épouse ses formes avec élégance.
Les plis du tissu sont rendus avec une grande précision, donnant l’impression de mouvement et de légèreté.
La patine médaille, une technique de finition qui confère au bronze une apparence dorée et lumineuse, accentue les contours et les volumes de la sculpture, créant un jeu subtil de lumière et d’ombre.
La signature de Villanis et le cachet de la « Fonderie de Paris » sont visibles sur la sculpture, attestant de son authenticité et de sa provenance. La « Fonderie de Paris » était renommée pour la qualité de ses épreuves en bronze, et la présence de son cachet est un gage de l’excellence technique de l’œuvre.
La hauteur de la sculpture, 59 cm, en fait une pièce imposante, destinée à être admirée de près.
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Jardinière ancienne, époque Empire, colonnes et ornements bronze doré
1200,00 €Cette jardinière d’époque Empire incarne l’excellence du savoir-faire artisanal et artistique du début du XIXᵉ siècle.
De forme rectangulaire, elle repose sur un piétement soigneusement élaboré, qui allie harmonieusement équilibre et esthétique classique. Les colonnes en façade, combinées aux montants carrés de la partie postérieure, témoignent de l’influence de l’Antiquité, une source d’inspiration majeure pour le style Empire.
Le piétement de la jardinière présente une composition architecturale remarquable.
Les colonnes en façade, ornées de bagues et de chapiteaux en bronze ciselé et doré, apportent une touche de sophistication.
Ces ornements ne sont pas seulement décoratifs : ils traduisent une maîtrise technique et un goût prononcé pour les détails soignés.
Les montants carrés à l’arrière assurent la stabilité tout en conférant une allure géométrique et équilibrée à l’ensemble.
L’entablement incurvé en façade est un élément clé du design, créant une rupture subtile avec les lignes rectangulaires de la structure principale.
Cet aspect courbé adoucit l’ensemble et lui donne une élégance fluide, tout en respectant les principes rigoureux de symétrie chers au style Empire.
Ornements en Bronze Doré :
Les ornements en bronze ciselés et dorés sont l’un des aspects les plus distinctifs de cette jardinière.
Les bagues, qui entourent les colonnes, ainsi que les chapiteaux finement sculptés, témoignent de l’influence néoclassique omniprésente sous le règne de Napoléon.
Ces détails soulignent la volonté de magnifier chaque élément fonctionnel par une touche décorative.
La galerie ajourée en bronze, qui orne le pourtour supérieur de la jardinière, est un chef-d’œuvre de finesse.
Ce détail ne se contente pas d’apporter une valeur esthétique : il met en lumière l’équilibre entre fonctionnalité et ornementation, si typique de l’époque Empire.
Les motifs ajourés permettent de jouer avec la lumière, ajoutant profondeur et texture à l’ensemble.
Intérieur en Zinc et Fonctionnalité :
L’intérieur de la jardinière est conçu en zinc, un matériau durable et résistant à l’humidité, parfaitement adapté à son usage principal.
Ce choix illustre également la prise en compte de l’aspect pratique dans la conception de cet objet décoratif.
Bien que la jardinière soit destinée à accueillir des plantes ou des fleurs, son raffinement et son esthétique en font également un élément décoratif autonome, idéal pour agrémenter un intérieur ou un jardin d’hiver.
Dimensions et État de Conservation :
Avec une hauteur de 88 cm, une largeur de 75 cm et une profondeur de 38 cm, cette jardinière offre des proportions généreuses tout en restant suffisamment compacte pour s’intégrer dans divers espaces.
Ces dimensions équilibrées renforcent son aspect majestueux sans pour autant paraître imposant.
En bon état général, cette pièce présente des signes d’usure compatibles avec son âge, soulignant son authenticité et son histoire.
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Pendulette d’officier, horloge réveil de voyage en bronze et laiton doré
260,00 €Cette ancienne pendulette d’officier, également connue sous le nom d’horloge et réveil de voyage, est un véritable bijou d’horlogerie de la fin du XIXe siècle.
Fabriquée en bronze et laiton doré, elle incarne l’élégance et la précision des objets de cette époque.
La pendulette se distingue par son design raffiné et ses matériaux nobles.
Le boîtier en bronze et laiton doré présente une dorure d’origine remarquablement bien conservée, ajoutant une touche de luxe et de sophistication.
Les carreaux biseautés offrent une vue claire sur le mécanisme interne, permettant d’admirer la complexité et la beauté de l’horlogerie mécanique.
Le mécanisme à sonnerie est l’un des points forts de cette pendulette.
Il est en parfait état de fonctionnement, témoignant de la qualité de fabrication et de l’expertise des horlogers de l’époque.
La sonnerie, qui marque les heures désirées, ajoute une dimension auditive à cette pièce, la rendant non seulement utile mais aussi agréable à vivre, mais je ne suis pas en possession de sa clé.
Avec une hauteur de 12,5 cm sans la poignée, cette pendulette est compacte et facilement transportable.
Conçue pour les officiers et les voyageurs, elle était idéale pour ceux qui devaient se déplacer fréquemment mais avaient besoin d’une horloge fiable et précise.
La poignée, visible sur les images, devait faciliter son transport, la rendant pratique pour les déplacements.
La fin du XIXe siècle a été une période de grande innovation et de raffinement dans le domaine de l’horlogerie.
Les horlogers de l’époque maîtrisaient parfaitement les techniques de fabrication et de décoration, créant des pièces qui étaient à la fois fonctionnelles et esthétiquement plaisantes.
Cette pendulette est un exemple parfait de cette époque, où l’art et la science se rencontraient pour produire des objets d’une grande valeur.
Pour les collectionneurs d’horlogerie ancienne, cette pendulette d’officier est une pièce de choix.
Sa rareté, son état de conservation et son fonctionnement impeccable en font un objet de grande valeur.
Elle peut être exposée comme une œuvre d’art ou utilisée pour sa fonction originale, ajoutant une touche d’histoire et de prestige à n’importe quel intérieur.
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VENDU
Grosse pendule marbre noir, bronze de Cléopâtre allongée a moitié nue, XIXe siècle
Cette grosse pendule en marbre noir est un véritable chef-d’œuvre d’art horloger et de sculpture.
Elle se distingue par ses éléments en bronze doré, qui ajoutent une touche de luxe et d’élégance à l’ensemble.
Les coins de la pendule sont ornés de têtes en bronze doré, qui semblent veiller sur le temps qui passe.
Ces détails sculpturaux témoignent d’un savoir-faire artisanal exceptionnel et d’une attention méticuleuse aux détails.
La pièce maîtresse de cette pendule est sans conteste la sculpture en bronze à patine brune qui la surmonte.
Cette sculpture représente Cléopâtre, la célèbre reine d’Égypte, allongée dans une pose langoureuse.
Elle tient dans sa main un serpent, symbole de son destin tragique.
Cléopâtre est représentée à moitié nue, drapée dans un tissu fluide qui laisse deviner les courbes de son corps.
Elle repose sur un matelas richement décoré de hiéroglyphes et d’ailes, évoquant l’art et la culture de l’Égypte antique.
La sculpture de Cléopâtre est un hommage à la beauté et à la tragédie de cette figure historique.
La patine brune du bronze confère à la sculpture une profondeur et une richesse visuelle, tout en soulignant les détails délicats de la figure et des motifs égyptiens.
Les hiéroglyphes et les ailes sur le matelas ajoutent une dimension mystique et symbolique à l’œuvre, rappelant les croyances et les mythes de l’Égypte ancienne.
La pendule elle-même est un témoignage de l’art horloger.
Malgré quelques chiffres manquants et l’absence du cadran avant, elle conserve une présence imposante et majestueuse.
Les dimensions de la pendule, avec une hauteur de 44 cm et une largeur de 53 cm, en font une pièce de collection remarquable, capable de capter l’attention dans n’importe quel intérieur.
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VENDU
Une éclatante paire de bougeoirs anciens en bronze doré et argenté
Une Éclatante Paire de Bougeoirs Anciens en Bronze Doré et Argenté – Témoins du Raffinement du XIXe Siècle
Plongez dans l’élégance intemporelle du XIXe siècle avec cette magnifique paire de bougeoirs anciens en bronze doré et argenté.
Ces pièces remarquables illustrent l’excellence artistique et le savoir-faire exceptionnel des artisans de l’époque.
Parfaitement conservées, elles représentent non seulement des objets utilitaires, mais également de véritables œuvres d’art, témoins du style néo-classique en vogue à cette époque.
Une Composition Harmonieuse
Chaque bougeoir est conçu pour accueillir deux bougies, une configuration qui ajoute une dimension symétrique et équilibrée à leur design. Les bras qui soutiennent les porte-bougies sont élégamment sculptés et ornés de chaînes décoratives finement travaillées, témoignant de la minutie des détails propres à l’artisanat du XIXe siècle.
Ces chaînes, d’une délicatesse, relient les différents éléments de manière à la fois fonctionnelle et décorative, accentuant l’harmonie visuelle de l’ensemble.
L’Éclat des Figures Néo-Classiques
Au cœur du design, des personnages féminins sculptés dans un style néo-classique dominent la composition.
Ces figures gracieuses, inspirées de l’Antiquité, incarnent le raffinement et la sophistication de leur époque.
Drapées dans des étoffes délicatement travaillées et rehaussées de dorures, elles se tiennent dans des poses dynamiques, donnant vie et mouvement à l’ensemble.
Les visages finement ciselés, empreints de douceur et d’expression, traduisent une maîtrise exceptionnelle dans la sculpture du bronze.
Ces figures ne sont pas seulement des éléments décoratifs, mais elles apportent une narration subtile, rappelant les mythes et légendes antiques.
Elles tiennent en hauteur les bras soutenant les bougies, leur posture conférant une majesté naturelle à l’ensemble.
Une Base d’une Richesse Exceptionnelle
Les bougeoirs reposent sur des bases solidement travaillées, elles-mêmes décorées avec une grande richesse.
Ces bases sont ornées de motifs floraux et géométriques délicats, caractéristiques des tendances ornementales du XIXe siècle.
Les pieds courbés, à la fois élégants et robustes, offrent une stabilité impeccable tout en apportant une touche supplémentaire de raffinement.
L’Alliance Parfaite entre Esthétique et Fonctionnalité
Au-delà de leur aspect décoratif, ces bougeoirs témoignent d’une fonctionnalité parfaitement pensée.
Le choix des matériaux – bronze doré et argenté – ne reflète pas seulement une recherche esthétique, mais aussi une durabilité exceptionnelle.
Cette combinaison de matériaux crée un contraste visuel saisissant, renforçant leur attrait.
Ces bougeoirs sont idéals pour illuminer une table ou une cheminée, apportant une ambiance chaleureuse et sophistiquée à n’importe quel intérieur.
Leur design intemporel permet une intégration harmonieuse dans des décors classiques comme modernes, tout en racontant une histoire riche et fascinante.
Une Pièce de Collection
Cette paire de bougeoirs constitue un ajout inestimable pour les amateurs et collectionneurs de mobilier d’époque.
Elle incarne l’alliance parfaite entre l’art et l’artisanat, offrant une fenêtre sur le savoir-faire et l’esthétique du XIXe siècle.
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Julien Leroy à Paris, belle pendule en bronze doré XIXe siècle
1400,00 €La pendule en bronze doré du XIXe siècle, circa 1880, est un véritable chef-d’œuvre de style Louis XVI, incarnant une élégance rare et un savoir-faire horloger exceptionnel.
Cette pièce, d’une beauté intemporelle, est ornée de deux amours gracieux qui ajoutent une touche de charme et de délicatesse à l’ensemble. Surmontée d’un bouquet fleuri délicatement travaillé, elle célèbre la nature et la finesse artistique de l’époque.
La pendule est ceinturée de tores de lauriers, symboles de victoire et d’éternité, qui encadrent la borne centrale, élément principal de la composition.
Ces motifs végétaux, finement ciselés, rappellent les couronnes de lauriers des héros antiques, ajoutant une dimension historique et symbolique à la pièce.
La borne centrale est encadrée par des allégories des arts libéraux, témoignant de l’influence culturelle et artistique de l’époque.
Ces allégories, représentant des disciplines telles que la musique, la géométrie et l’astronomie, soulignent l’importance des arts et des sciences dans la société du XIXe siècle.
Le cadran émaillé, sublimé par ses chiffres romains, porte la signature prestigieuse de Julien Le Roy à Paris.
Cette signature est un gage de qualité et de raffinement, renvoyant à une tradition horlogère reconnue et respectée.
Julien Le Roy, horloger du roi Louis XV, était célèbre pour ses créations précises et élégantes, et sa signature sur cette pendule atteste de son héritage et de son savoir-faire.
L’ensemble repose sur des pieds toupies, caractéristiques du style Louis XVI, apportant stabilité et finesse à cette pièce unique.
Ces pieds, élégamment tournés, confèrent à la pendule une allure gracieuse et équilibrée, typique du mobilier de cette époque.
Datée de l’époque Napoléon III, cette pendule incarne parfaitement l’harmonie entre l’héritage classique et l’esthétique du XIXe siècle.
Elle témoigne de la continuité et de l’évolution des styles, mariant la rigueur classique du XVIIIe siècle avec les innovations et les influences artistiques du XIXe siècle.
Avec ses dimensions harmonieuses (H : 48 cm, L : 37 cm, P : 17 cm), cette pendule saura trouver sa place dans tout intérieur élégant, apportant une touche d’histoire et de raffinement à votre décoration.
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VENDU
Bureau de dame, réalisée par Paul Sormani sur le modèle de Bernard II Van Risen Burgh (BVRB)
Bureau de dame en placage de bois de violette
Ce bureau de dame, remarquable par sa richesse et son raffinement, illustre parfaitement l’art de l’ébénisterie du XIXe siècle, période Napoléon III.
De forme mouvementée, il est conçu en placage de bois de violette, une essence précieuse, prisée pour son veinage élégant et sa teinte chaude.
Le bureau s’ouvre à trois tiroirs en façade, une caractéristique fonctionnelle associée à une esthétique recherchée.
Ses quatre pieds cambrés, signature du style Louis XV, ajoutent une légèreté visuelle à l’ensemble.
L’ornementation en bronze ciselé et doré apporte une touche supplémentaire de sophistication.
Chaque élément, qu’il s’agisse de la lingotière, des chutes, des sabots, des entrées ou des encadrements, témoigne d’un savoir-faire exceptionnel.
Le dessus est habillé de cuir, à la fois pratique et luxueux, offrant une surface de travail noble et durable.
Ce meuble, d’une largeur de 100 cm, d’une profondeur de 51 cm et d’une hauteur de 76 cm, est un exemple éloquent de la fusion entre utilité et élégance.
Une inspiration signée BVRB
Le modèle s’inspire directement des créations de Bernard II Van Risen Burgh (dit BVRB), célèbre ébéniste parisien du XVIIIe siècle.
Les œuvres de BVRB, souvent conservées dans des collections prestigieuses comme celle du musée du Louvre, sont réputées pour leur raffinement et leur équilibre entre opulence et subtilité.
En reprenant ce style, Paul Sormani rend hommage à l’héritage de l’ébénisterie française tout en l’inscrivant dans l’esthétique de son époque.
Une réalisation de Paul Sormani
Ce bureau porte l’estampille de Paul Sormani, un des plus illustres ébénistes du XIXe siècle.
D’origine italienne, Sormani s’installe à Paris et fonde son atelier en 1847 au 7 rue du Cimetière-Saint-Nicolas.
À ses débuts, il se spécialise dans la création de meubles inspirés des styles Louis XV et Louis XVI, combinant élégance classique et perfection technique.
En 1867, il transfère son atelier au 10 rue Charlot, où il poursuivra son activité jusqu’à sa mort en 1877.
Sormani se distingue par sa capacité à reproduire avec une extrême fidélité les meubles des grands maîtres tout en y ajoutant une touche contemporaine propre à l’époque Napoléon III.
Ses meubles séduisent l’élite parisienne et la cour impériale, ce qui le consacre comme l’un des artisans les plus recherchés de son temps.
Sa production est variée : elle inclut des bureaux, des commodes, des tables, mais également des pièces d’artisans de luxe, destinées à des expositions universelles où il remporte régulièrement des prix.
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Rare grand porte bougies, en fer forgé XIXe siècle, religieux
1600,00 €Ce porte-bougies ancien en fer forgé est un témoignage exceptionnel de l’artisanat du XIXe siècle, sublimant le savoir-faire des maîtres ferronniers de l’époque.
Avec une hauteur imposante de 170 cm, il impressionne par son allure majestueuse et son riche décor, qui reflètent à la fois l’élégance et la profondeur symbolique des objets sacrés d’autrefois.
Probablement destiné à un usage religieux dans une église ou une chapelle, cet objet a traversé les époques en conservant son authenticité et son histoire.
Son design soigné et ses détails minutieux évoquent l’atmosphère spirituelle et le raffinement esthétique caractéristique du romantisme.
En effet, cette période visait à réconcilier le sacré et la beauté, créant des œuvres aussi fonctionnelles qu’artistiques.
Le travail du fer forgé, remarquable par sa finesse, est au cœur de cette pièce.
On peut admirer de délicates volutes harmonieusement entrelacées, qui confèrent à l’ensemble une fluidité et une légèreté visuelle malgré sa structure solide.
Ces arabesques témoignent d’une maîtrise parfaite de la technique, où chaque courbe semble soigneusement pensée pour créer un équilibre esthétique.
Une barre centrale ornée de motifs végétaux raffinés ajoute une dimension poétique à l’ensemble. Ce décor, évoquant des feuillages, symbolise la vie, la foi et la connexion avec la nature divine, thèmes chers à l’art religieux de l’époque.
Bien au-delà de sa fonction première de porte-bougies, cette pièce peut être considérée comme une véritable œuvre d’art.
Ses lignes gracieuses et solides incarnent l’esthétique romantique, où chaque objet religieux se voulait porteur de sens tout en étant visuellement captivant.
Ce mariage entre spiritualité et sophistication confère à ce porte-bougies une place unique parmi les objets anciens.
Pour les amateurs d’antiquités religieuses ou de décorations authentiques, cet objet rare représente une trouvaille exceptionnelle.
En plus d’être une pièce de collection, il peut enrichir un intérieur en apportant une atmosphère intemporelle et une touche spirituelle.
Placé dans une pièce, il capte naturellement l’attention, devenant à la fois un point focal et un rappel du patrimoine artisanal et religieux.
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VENDU
Belle pendule XIXe bronze et marbre, signée Bollotte à Paris
Cette belle pendule du XIXe siècle est un exemple remarquable de l’art décoratif français, combinant harmonieusement le bronze doré et le marbre blanc.
Son design soigné illustre la finesse et le raffinement de l’époque, en mettant en valeur une esthétique classique qui demeure intemporelle.
Au centre de cette œuvre trône une figure féminine en bronze à patine brune, incarnant une femme à l’antique.
Représentée dans une posture gracieuse et décontractée, elle est accoudée sur la partie supérieure de la pendule, où se cache le mécanisme horloger.
Cette représentation féminine, à la fois élégante et sereine, illustre les canons esthétiques de l’époque, marqués par une admiration pour l’Antiquité classique.
Le contraste entre la patine brune de la figure et l’éclat du marbre blanc rehausse la sophistication de l’ensemble.
L’encadrement du mécanisme, richement orné, est en bronze doré.
On y trouve des motifs raffinés de lions majestueux, symbolisant la force et la noblesse, ainsi que des feuillages finement ciselés.
Ces ornements délicats témoignent du talent des artisans parisiens, qui maîtrisaient l’art de combiner richesse des matériaux et subtilité d’exécution.
Chaque détail est soigneusement travaillé, reflétant une exigence esthétique élevée propre aux objets d’exception.
Le mécanisme de la pendule porte la signature « Bollotte », un atelier de renom situé rue Neuve Vivienne à Paris.
Ce nom est synonyme de qualité et d’excellence, deux valeurs primordiales dans la conception d’une telle pièce.
La fabrication du mécanisme, à la fois esthétique et fonctionnelle, souligne le savoir-faire irréprochable des horlogers de l’époque. L’intégration harmonieuse du mécanisme dans cette composition sculpturale met en avant un équilibre parfait entre fonctionnalité et beauté.
Les pieds de la pendule, également réalisés en bronze sculpté, ajoutent une touche supplémentaire d’élégance tout en assurant une stabilité optimale.
Leur conception est en accord avec le reste de l’œuvre, reflétant une continuité stylistique et un souci du détail qui caractérisent les créations d’exception.
Avec ses dimensions imposantes, 49 cm de hauteur et 51 cm de largeur, cette pendule se distingue comme une pièce maîtresse.
Ses proportions généreuses lui permettent de capter l’attention et d’occuper une place de choix dans un intérieur raffiné.
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VENDU
Rare vase en verre émaillé Legras Montjoye, décor mésange et florale
François-Théodore Legras (1839-1916) est une figure centrale de la verrerie artistique française de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.
Né à Claudon, dans les Vosges, Legras a développé une sensibilité particulière pour la nature, qui allait devenir une source d’inspiration majeure pour ses créations.
Il a fondé les verreries de Montjoie à Saint-Denis, où il a perfectionné l’art du verre décoratif, contribuant à définir l’esthétique de l’Art Nouveau.
Les verreries de Montjoie étaient renommées pour leur capacité à allier innovation technique et beauté artistique.
Sous la direction de Legras, elles se sont imposées comme l’un des centres verriers les plus influents de leur époque, produisant des pièces décoratives qui alliaient utilité et art.
Le travail de Legras se distingue par son utilisation novatrice de l’émail peint à la main, une technique qui permettait de créer des motifs détaillés et colorés.
Ces motifs, souvent inspirés par la nature, comprenaient des paysages bucoliques, des fleurs, des branches et des oiseaux, en phase avec les idéaux esthétiques de l’Art Nouveau, qui prônaient une harmonie entre l’art et le monde naturel.
Les vases produits par les ateliers de Montjoie, comme celui présenté ici, sont emblématiques de l’œuvre de Legras.
Ils mettent en avant des formes gracieuses et des décors émaillés complexes, conçus pour magnifier la lumière et la transparence du verre.
Ce vase particulier, d’une hauteur de 31,5 cm, est une illustration saisissante de ce style.
Le fond en verre rouge profond constitue une base vibrante, rehaussée par des détails minutieux peints à la main.
Le décor met en scène un oiseau perché sur une branche, entouré de feuilles et de bourgeons délicatement travaillés.
Les émaillages polychromes ajoutent une richesse visuelle, et les touches d’or rehaussent les contours des éléments, créant un effet à la fois lumineux et raffiné.
Le travail de François-Théodore Legras était aussi influencé par une volonté de démocratiser l’art verrier.
Contrairement à des maisons comme Gallé ou Daum, qui ciblaient une clientèle élitiste, Legras produisait des pièces dans une gamme de prix plus variée, permettant ainsi à un public plus large d’acquérir des objets d’art.
Cette approche lui a permis de populariser ses créations tout en maintenant un haut niveau de qualité artisanale.
Les vases, lampes et autres objets décoratifs sortis des ateliers de Montjoie témoignent de cette philosophie.
Ils incarnent un équilibre subtil entre la complexité artistique et la fonctionnalité, rendant l’art verrier accessible sans compromis sur l’esthétique.
Les influences dans le travail de Legras étaient variées.
En plus des motifs naturalistes, ses créations reflétaient un intérêt pour les courants orientalistes et les scènes paysagères.
Cette diversité thématique, associée à un savoir-faire exceptionnel, a permis à Legras de s’imposer comme un artiste verrier incontournable de son époque.
Il a également su s’adapter aux évolutions stylistiques, passant des inspirations néoclassiques au style fleuri et organique de l’Art Nouveau.
Les pièces produites sous sa direction, bien que parfois non signées, sont aujourd’hui reconnues et recherchées pour leur qualité et leur élégance.
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Magnifique pendule horloge en bronze cathédrale néo gothique XIXe siècle
1600,00 €Cette pendule en bronze doré, mesurant 44 cm de hauteur, est une pièce décorative remarquable datant de la fin du XIXe siècle.
Inspirée par l’architecture gothique, elle se distingue par sa forme évoquant une cathédrale et par une ornementation riche et minutieuse, qui illustre les prouesses artistiques et artisanales de cette époque.
Une architecture miniature d’inspiration gothique
L’ensemble de la pendule s’inscrit dans une esthétique gothique, reprenant les éléments caractéristiques de ce style architectural.La base est ornée d’arcatures finement sculptées, supportées par des colonnes élancées qui rappellent les piliers majestueux des grandes cathédrales médiévales.
Ces détails accentuent l’élan vertical et la complexité ornementale de la pièce, offrant une impression de hauteur et de légèreté.
Le sommet de la pendule est surmonté d’une flèche gothique élancée, symbole architectural par excellence de ce style.
Ce détail renforce l’impression de verticalité, tandis que les ornements ajourés, combinant des motifs floraux et géométriques, enrichissent encore son apparence.
Ces éléments témoignent d’un travail de ferronnerie d’art particulièrement sophistiqué, où chaque détail semble pensé pour capturer l’essence du gothique tout en la transposant à une échelle domestique.
Un cadran raffiné et fonctionnel
Au centre de la structure, un cadran en émail blanc constitue le cœur fonctionnel de la pendule.Ce cadran circulaire est cerclé de motifs floraux délicats qui s’harmonisent avec les autres éléments décoratifs.
Les chiffres romains noirs, associés aux aiguilles en acier finement travaillées, offrent un contraste visuel élégant tout en facilitant la lecture de l’heure.
Ce cadran est également doté d’un mécanisme ingénieux qui permet de le retirer pour le remontage, soulignant à la fois la fonctionnalité et l’ingéniosité technique de l’objet.
Un éclat patiné par le temps
Le bronze doré, utilisé comme matériau principal, confère à la pendule une lumière douce et chaleureuse.Avec le temps, la dorure a acquis une légère patine, accentuant l’impression d’ancienneté et d’authenticité.
Cette combinaison de dorure brillante et de patine subtile rappelle la richesse des intérieurs bourgeois de la fin du XIXe siècle, où de tels objets étaient prisés pour leur capacité à conjuguer utilité et beauté.
Un témoignage du goût historiciste
Cette pendule illustre le goût historiciste caractéristique de la fin du XIXe siècle, période marquée par une réinterprétation des styles artistiques du passé.À travers cette pièce, le style gothique est revisité non pas pour sa fonction architecturale originelle, mais pour sa valeur décorative et symbolique.
L’objet témoigne d’un dialogue entre histoire et modernité, où les formes anciennes sont adaptées aux besoins et aux sensibilités esthétiques de l’époque.
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Paire de consoles d’appliques en bronze doré, mascarons, XIXe siècle
Ces superbes consoles d’appliques, datant de la fin du XIXᵉ siècle, incarnent le raffinement et l’élégance des arts décoratifs français de cette époque.
Réalisées en bronze doré et dotées d’un dessus en bois, elles se distinguent par leur travail d’ornementation richement détaillé et leur conception soignée, qui reflètent l’excellence artisanale de leur temps.
Un Design Élégant et Chargé d’Histoire
Ces pièces présentent une structure ajourée somptueusement travaillée, avec un décor ornemental dominé par un mascaron central, un motif souvent utilisé dans l’art classique pour symboliser la protection ou la puissance.
Le mascaron, finement sculpté, attire immédiatement l’attention et confère une présence imposante aux consoles tout en restant harmonieux avec le reste du design.
Les enroulements gracieux et les guirlandes de fleurs flanquant les consoles illustrent une abondance d’influences stylistiques.
On y perçoit un dialogue entre les inspirations rococo, avec leurs courbes délicates, et les échos néo-classiques, caractérisés par leur symétrie et leur équilibre.
Ce mélange stylistique est typique de la fin du XIXᵉ siècle, où l’éclectisme artistique atteignait son apogée.
Une Réalisation Technique Impressionnante
Le bronze doré utilisé pour ces appliques témoigne d’un savoir-faire exceptionnel.
La dorure, probablement réalisée selon la technique de dorure au mercure, confère aux pièces un éclat chaleureux et une durabilité remarquable.
Les reflets lumineux qui jouent sur la surface sculptée mettent en valeur chaque détail, accentuant la profondeur et le relief des motifs.
Le dessus en bois apporte une note de chaleur et de contraste avec le métal doré.
Cette association élégante de matériaux nobles rehausse la richesse visuelle des consoles tout en ajoutant une touche fonctionnelle, les rendant idéales pour exposer des objets décoratifs.
Dimensions et Proportions Idéales
Avec une largeur de 29,5 cm et une hauteur de 29 cm, ces consoles possèdent des proportions harmonieuses qui s’adaptent aisément à différents types d’intérieurs.
Leur taille les rend suffisamment imposantes pour servir de points focaux dans une pièce, tout en conservant une certaine discrétion, essentielle pour s’intégrer dans un ensemble décoratif plus vaste.
Une Utilisation Polyvalente
Conçues pour être fixées au mur, ces appliques s’adaptent parfaitement à une variété d’environnements.
Placées dans un salon, une entrée ou une chambre, elles peuvent servir de supports pour des objets précieux, tels que des vases, des sculptures ou des bougeoirs.
Leur style intemporel leur permet également de s’intégrer aussi bien dans des décors classiques que dans des espaces contemporains, apportant une touche d’opulence et d’histoire.
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Grande statue XIXe en plâtre représentant un guerrier africain
Je vous présente une pièce rare et spectaculaire : une grande statue en plâtre datant du XIXe siècle, représentant un guerrier africain, une figure iconique et majestueuse.
Avec une hauteur impressionnante de 203 cm (sans compter la lance en bois peint en blanc), cette œuvre combine une présence saisissante et une finesse d’exécution remarquable.
Description et détails
La statue représente un guerrier africain debout, dans une pose noble et affirmée.D’une main, il tient une lance en bois, tandis que l’autre repose sur sa hanche, exprimant force et confiance.
Le visage du guerrier est particulièrement expressif, avec des traits finement sculptés qui témoignent du savoir-faire de l’artiste.
Sa coiffure texturée, son regard fier dirigé vers l’horizon, et les détails soignés des ornements autour de son cou reflètent un réalisme et une sensibilité artistiques caractéristiques de l’époque.
Le vêtement est également élaboré avec soin : le guerrier est vêtu d’un pagne sculpté avec précision, comportant des plis et textures qui accentuent le rendu réaliste de la sculpture.
La base circulaire sur laquelle repose la statue assure stabilité et élégance.
La lance, en bois peint d’une teinte blanche pour s’harmoniser avec la pièce, donne une dynamique supplémentaire à l’ensemble, rappelant les codes du XIXe siècle où les objets exotiques étaient magnifiés dans les arts décoratifs.
Un contexte historique et artistique
Cette statue s’inscrit parfaitement dans l’esprit du XIXe siècle, une période marquée par un fort attrait pour l’exotisme et les représentations idéalisées des cultures du monde.En Europe, cet exotisme romantique influença de nombreux artistes, qui cherchaient à immortaliser des figures emblématiques et à célébrer la diversité culturelle.
Ces sculptures étaient souvent commandées pour des salons, des galeries ou des collections privées, où elles occupaient une place de choix, symbolisant à la fois un goût pour l’art et une fascination pour l’ailleurs.
Les œuvres de cette envergure, tant par leur taille que par leur qualité artistique, sont devenues rares sur le marché de l’art.
Ce modèle particulier pourrait également avoir été conçu comme une œuvre commémorative ou une interprétation libre destinée à valoriser les cultures extra européennes dans un contexte colonial.
Un atout pour vos espaces
Avec ses proportions imposantes et son allure grandiose, cette statue s’intègrera parfaitement dans divers environnements : une galerie d’art, un hall spacieux, un intérieur à la décoration classique ou éclectique.Elle ne manquera pas de devenir une pièce maîtresse, attirant l’attention et suscitant l’admiration des visiteurs.
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Plateau à fond de miroir et contour en argent massif sculpté
Ce superbe plateau ancien, de forme ovale, représente un mariage harmonieux entre élégance et fonctionnalité.
Véritable objet d’art et d’histoire, il séduit immédiatement par son raffinement et le soin apporté à ses détails.
Le centre du plateau est un miroir aux reflets subtils, qui ajoute une touche de lumière et de profondeur à la pièce.
Ce fond en glace est entouré d’un cadre en argent massif poinçonné 800/1000ème, signe de qualité et d’authenticité.
Ce métal précieux présente une patine douce qui lui confère tout le charme des objets anciens tout en soulignant son éclat naturel. L’entourage en argent est sublimé par de délicats motifs sculptés représentant des fleurs en relief, accompagnées de feuillages finement ciselés.
Ces motifs, réalisés avec une grande précision, témoignent d’un artisanat de haute qualité, typique des pièces décoratives des siècles passés.
Le contour du plateau adopte une forme légèrement ondulée, renforçant son esthétique gracieuse et fluide.
Ce design apporte une touche de mouvement et de légèreté à l’ensemble, tandis que les motifs floraux contribuent à son charme romantique. Ces décorations sont typiques de l’orfèvrerie classique, souvent influencée par les styles rococo ou Art nouveau, selon la période de fabrication.
La base du plateau est en bois massif, soigneusement poli et découpé pour correspondre parfaitement à la forme du cadre en argent.
Ce bois apporte un contraste chaleureux à la brillance de l’argent et assure une structure solide et durable.
Le plateau repose sur quatre petits pieds en forme de toupies, également en argent, qui élèvent légèrement la pièce.
Ces pieds ne sont pas seulement fonctionnels, mais également décoratifs, offrant une stabilité parfaite tout en permettant au plateau de s’intégrer avec élégance à toutes les surfaces.
Avec ses dimensions généreuses de 46 cm de longueur et 33 cm de largeur, ce plateau est aussi bien un élément fonctionnel qu’un objet décoratif exceptionnel.
Il peut être utilisé pour servir des boissons, des desserts ou d’autres éléments raffinés lors d’une réception, tout en ajoutant une touche de prestige à l’occasion.
En dehors de son usage pratique, il peut également être exposé en tant que pièce maîtresse sur une table ou un buffet, où il attirera l’attention grâce à son éclat et ses détails minutieux.
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Sculpture en terre cuite patinée – Le Fleuve – D’après Jean Jacques Caffieri
2800,00 €Sculpture en terre cuite patinée – « Le Fleuve »
d’après Jean-Jacques Caffieri, école française du XVIIIe siècleCette sculpture en terre cuite patinée, intitulée « Le Fleuve », est une œuvre d’une grande finesse, inspirée du modèle original en marbre du sculpteur français Jean-Jacques Caffieri (1725-1792), figure emblématique de l’école française du XVIIIe siècle.
Réalisée probablement vers la fin du XIXe siècle, elle témoigne de la fascination pour les chefs-d’œuvre classiques et de l’engouement pour les reproductions d’artistes illustres de cette époque.
Un hommage à l’excellence de Caffieri
Signée sur la base « Monsieur Caffier 1759 », cette pièce rend hommage à l’œuvre originale de Caffieri, conservée au musée du Louvre à Paris. Jean-Jacques Caffieri, connu pour ses portraits sculptés et ses allégories, a marqué le XVIIIe siècle par son élégance et son attention méticuleuse aux détails.
Ce modèle marbre, créé dans une période de faste artistique, représente une figure allégorique d’un fleuve, symbole de puissance et de continuité.
Cette version en terre cuite témoigne d’un savoir-faire remarquable.
Le matériau utilisé, patiné avec soin, imite avec subtilité la noblesse du marbre tout en offrant une chaleur et une légèreté propres à la terre cuite.
Sa patine confère à l’œuvre un caractère intemporel, renforçant l’impression d’avoir affaire à un original d’époque.
Description et détails
Haute de 58 cm, cette sculpture attire immédiatement le regard par ses proportions harmonieuses et la délicatesse de ses détails.
La figure allégorique, probablement masculine, est représentée dans une posture majestueuse.
Les drapés fluides et dynamiques soulignent le mouvement de l’eau, tandis que les muscles finement sculptés traduisent la force et la vigueur associées aux cours d’eau puissants.
Les traits expressifs et le travail minutieux des cheveux témoignent de l’influence baroque sur Caffieri, qui mêle puissance et grâce.
Les courbes douces et les contrastes subtilement marqués entre les surfaces lisses et texturées ajoutent à l’attrait visuel de l’œuvre. L’inscription sur la base, évoquant la date de 1759, renforce la filiation avec l’original tout en ajoutant une touche d’authenticité et d’histoire à cette version postérieure.
Une sculpture d’époque, mais intemporelle
Bien que cette œuvre ait été réalisée à la fin du XIXe siècle, elle s’inscrit dans une longue tradition d’admiration et de réinterprétation des maîtres du XVIIIe siècle.
À cette époque, les reproductions d’œuvres célèbres étaient très recherchées par les amateurs d’art et les collectionneurs, désireux de posséder une part de l’héritage artistique français.
Ce type de création, qui marie un sujet classique à une technique raffinée, reflète également l’essor de la bourgeoisie et l’élargissement de l’accès à l’art.
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Belle sculpture d’un joli bébé souriant en marbre, d’après l’atelier R. d’Arcy
450,00 €Cette œuvre remarquable, réalisée d’après l’atelier R. d’Arcy, incarne l’art de la sculpture dans sa forme la plus expressive et raffinée.
Il s’agit d’une sculpture en marbre représentant un bébé souriant, dont le visage rayonne d’une joie contagieuse, presque à la limite de l’éclat de rire.
Avec une largeur de 30 cm et une hauteur de 31 cm, cette pièce est un véritable chef-d’œuvre de délicatesse et d’émotion.
Un visage lumineux et expressif
Le point focal de cette sculpture est sans conteste l’expression du visage du bébé.
Ce dernier est finement sculpté, chaque détail capturant la pureté et l’innocence propres à la petite enfance.
Les joues rebondies, le front légèrement bombé et les fossettes marquées viennent accentuer le réalisme et la tendresse de cette représentation.
Les lèvres, délicatement entrouvertes dans un sourire éclatant, traduisent une gaieté sincère et spontanée.
Ce visage semble presque vivant, tant l’artisan a su insuffler une dynamique expressive qui capte l’instant d’une émotion fugace, mais universelle.
Les yeux du bébé, sculptés avec soin, reflètent une étincelle de malice et d’innocence, soulignant la maîtrise technique de l’artiste.
L’ensemble évoque une scène empreinte de bonheur et de simplicité, où le spectateur peut presque entendre le rire de l’enfant.
Cette capacité à transmettre des émotions à travers la pierre témoigne d’un savoir-faire exceptionnel.
Un travail de sculpture méticuleux
Réalisée en marbre, une matière noble et durable, cette sculpture met en lumière l’habileté et l’expertise des sculpteurs de l’atelier R. d’Arcy. Chaque détail est soigneusement travaillé, des courbes douces du visage aux légers plis sur le cou, qui ajoutent un réalisme supplémentaire à l’ensemble.
Le polissage impeccable du marbre donne à la surface une texture douce et lumineuse, reflétant la lumière de manière subtile et harmonieuse.
La qualité de la sculpture est telle qu’elle transcende la simple représentation figurative pour atteindre une forme d’art intemporelle.
Le jeu entre les zones lisses et les reliefs accentue la profondeur et le volume, renforçant l’impression que ce bébé pourrait s’animer d’un moment à l’autre.
Une œuvre aux dimensions idéales
Avec ses dimensions équilibrées de 30 cm de largeur et 31 cm de hauteur, cette sculpture s’intègre facilement dans divers espaces intérieurs, tout en conservant une présence imposante.
Ces proportions rendent l’œuvre à la fois accessible et suffisamment imposante pour attirer l’attention, que ce soit dans un salon, une bibliothèque ou une galerie privée.
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Grand plateau ovale, époque Napoléon III (XIXe siècle), en carton bouilli
240,00 €Je vous présente un splendide plateau de forme ovale, témoin du raffinement artistique et des techniques de fabrication caractéristiques de la seconde moitié du XIXe siècle, sous le règne de Napoléon III.
Cet objet d’art et d’usage courant, confectionné en papier mâché ou carton bouilli, illustre l’excellence des artisans de cette époque qui combinaient habilement innovation technique et goût pour l’ornementation délicate.
Un décor floral peint à la main et nacré
Le centre du plateau dévoile un magnifique bouquet de fleurs, peint à la main avec une finesse remarquable.
Ce décor, typique de l’art décoratif sous Napoléon III, met en scène une composition florale vibrante aux couleurs délicates.
L’ajout d’incrustations en nacre rehausse le design en apportant des reflets irisés qui captent la lumière et attirent l’œil.
Ces incrustations, très en vogue à l’époque, témoignent du souci du détail et de l’élégance recherchée dans les objets de ce style.
Une fabrication typique du XIXe siècle
Le plateau est fabriqué à partir de papier mâché ou de carton bouilli, des matériaux prisés au XIXe siècle pour leur légèreté et leur résistance, mais aussi pour leur capacité à être façonnés et décorés avec minutie.
Ce procédé de fabrication consistait à superposer des couches de papier ou de carton, solidifiées par la chaleur et la pression, puis vernies pour leur donner un aspect laqué.
Durant cette période, ces plateaux servaient tant pour leur fonction pratique que pour leur rôle décoratif.
Ils étaient souvent utilisés dans les salons bourgeois ou les demeures élégantes, où l’on appréciait les objets au charme à la fois fonctionnel et esthétique.
Le charme des traces du temps
Comme beaucoup de pièces utilitaires ayant traversé les décennies, ce plateau porte les traces d’un usage intensif et présente quelques anciennes réparations.
Ces marques du temps n’enlèvent rien à son authenticité ni à son charme.
Au contraire, elles racontent une histoire et soulignent la robustesse et la valeur sentimentale de l’objet.
Ce plateau est donc bien plus qu’un simple accessoire : c’est un fragment d’histoire qui saura trouver sa place dans une décoration intérieure où le vintage et l’authentique sont mis à l’honneur.
Dimensions et disponibilité
Avec ses dimensions généreuses de 49 cm x 61 cm, ce plateau s’impose comme un objet aussi pratique que décoratif.
Il peut servir à la fois pour présenter des mets lors de vos réceptions ou pour embellir un espace, tel un élément décoratif accroché au mur ou posé sur un buffet.
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Magnifique grand pichet art nouveau en métal argenté vers 1900
Magnifique aiguière ancienne en métal argenté : une pièce d’exception
Je vous propose une superbe aiguière ancienne, également connue sous le nom de grand pichet, qui incarne le raffinement et l’élégance des arts décoratifs de son époque.
Réalisée en métal argenté de haute qualité, cette pièce exceptionnelle est une véritable œuvre d’art.
Ses finitions soignées et son design richement ornementé témoignent d’un savoir-faire artisanal remarquable.
Un design empreint de poésie et de raffinement
Cette aiguière est ornée de motifs floraux stylisés caractéristiques du mouvement Art Nouveau, un style artistique qui a marqué la fin du XIXᵉ et le début du XXᵉ siècle.
Les fleurs, délicatement sculptées, semblent jaillir de la surface métallique, évoquant une nature vivante et élégante.
Les frises de grecques qui entourent l’aiguière apportent une touche d’harmonie et d’équilibre, renforçant l’impression d’un objet à la fois fonctionnel et décoratif.
L’anse en forme de gargouille est un détail spectaculaire qui attire immédiatement l’attention.
Inspirée des créatures fantastiques qui ornent souvent les édifices gothiques, cette gargouille confère une dimension mystique et fascinante à l’aiguière.
Non seulement elle est impressionnante par son réalisme, mais elle est aussi pensée pour assurer une prise en main confortable et pratique.
Un objet rare et convoité
Avec ses 40,5 cm de hauteur, cette aiguière ne passe pas inaperçue.
Son imposante présence en fait un objet idéal pour agrémenter une table de réception, un buffet ou une vitrine de collection.
Les amateurs d’antiquités et les passionnés de décoration d’intérieur reconnaîtront immédiatement la valeur de cette pièce unique.
Les aiguières en métal argenté aussi finement travaillées sont aujourd’hui extrêmement rares, ce qui ajoute à l’intérêt de cet objet.
Ce pichet ancien se distingue par son état de conservation remarquable et sa qualité de fabrication, des caractéristiques recherchées par les collectionneurs exigeants.
Il s’agit d’une pièce qui saura trouver sa place dans les plus belles demeures et qui apportera une touche de prestige à n’importe quel intérieur.
Une opportunité à saisir à Rouen
Cette pièce d’exception est visible dans ma boutique située sur Rouen Rive Droite, au cœur d’un quartier reconnu pour son charme et ses trésors antiques.
Que vous soyez collectionneur, amateur d’art ou simplement à la recherche d’un cadeau unique et précieux, cette aiguière saura vous séduire. C’est une occasion rare de posséder un objet chargé d’histoire, témoin d’une époque révolue où l’artisanat et le souci du détail étaient au cœur de la création.
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Grande sculpture en marbre de 83 cm, la baigneuse, d’après Falconet
Cette superbe et élégante sculpture en marbre, inspirée de « La Baigneuse » d’Étienne Maurice Falconet, incarne l’art raffiné du XVIIIe siècle. Reprenant avec virtuosité les caractéristiques de la célèbre œuvre originale exposée au musée du Louvre, cette pièce illustre le mariage harmonieux entre la tradition classique et l’esthétique rococo.
Représentant une nymphe descendant du bain, cette sculpture capte avec délicatesse et sensualité l’esprit de l’Antique, réinterprété avec une finesse remarquable.
Une œuvre inspirée par les maîtres de l’Antiquité et du Grand Siècle
L’œuvre originale de Falconet, conçue vers le milieu du XVIIIe siècle, s’inspire elle-même des canons de beauté classique et des peintures mythologiques, notamment celles de François Lemoyne.
Peintre éminent du Grand Siècle, Lemoyne excellait dans l’art de représenter la grâce féminine à travers des scènes mythologiques empreintes de poésie.
Ici, la sculpture reprend cette tradition en traduisant la légèreté et l’élégance picturale dans le langage sculptural.
Falconet, célèbre sculpteur du siècle des Lumières, a réussi à capturer la quintessence de la beauté féminine dans cette figure délicate.
La posture gracieuse de la nymphe, se penchant légèrement en avant tout en tenant son drapé, exprime une douce retenue et une sensualité mesurée, des traits caractéristiques de son style.
Un hommage à la pureté du marbre et au raffinement artistique
Réalisée en marbre blanc de haute qualité, cette sculpture révèle une maîtrise exceptionnelle de la matière.
Le travail des détails est saisissant : des courbes harmonieuses du corps aux plis du drapé subtilement sculptés, chaque élément témoigne d’une précision technique remarquable.
La surface polie du marbre confère à l’ensemble un éclat satiné qui magnifie la douceur des traits du visage et la fluidité des lignes du corps.
Les dimensions généreuses de 83 cm permettent de mettre en valeur cette œuvre dans tout type d’espace.
Qu’elle soit placée sur un piédestal dans un salon, une galerie ou un bureau, cette sculpture devient immédiatement un point focal, attirant les regards par son élégance intemporelle.
Une pièce décorative de grande élégance
En plus de son aspect artistique, cette sculpture constitue un élément décoratif exceptionnel.
Son esthétique classique s’intègre aussi bien dans des intérieurs traditionnels que contemporains, apportant une touche de raffinement et de noblesse.
Que ce soit pour un collectionneur passionné d’art ou un amateur de décoration sophistiquée, cette pièce trouve sa place dans tout cadre recherchant l’équilibre entre l’histoire et le goût moderne.
La thématique de la nymphe descendante du bain, symbole de pureté et de beauté naturelle, évoque également l’intimité et la sérénité.
Ce thème intemporel séduit par sa capacité à transcender les époques et les styles.
Falconet, avec sa vision empreinte de grâce et de sensibilité, a su élever cette scène apparemment simple au rang d’icône artistique.
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Belle et ancienne aiguière en étain art nouveau signé de Noel Ruffier
580,00 €Noël Ruffier, sculpteur et orfèvre français actif à la fin du XIXᵉ siècle et au début du XXᵉ siècle, est connu pour ses créations alliant symbolisme et virtuosité technique.
Né en 1847, il s’inscrit dans le mouvement de l’Art Nouveau, qui privilégie l’expression organique, les motifs naturalistes et une vision esthétique souvent empreinte de mystère et de sensualité.
L’aiguière qu’il a créée, une pièce remarquable datant d’environ 1900, témoigne de ce style et de l’habilité de Ruffier à marier fonctionnalité et art sculptural.
**Description de l’œuvre**
L’aiguière, d’une hauteur de 39 cm, est réalisée en bronze avec une sculpture en relief en étain sur sa panse.
Elle adopte une forme saisissante et narrative : celle d’un *Kantor* ou d’un satyre, créature mythologique symbolisant souvent les instincts primaires et la séduction, tendant une embuscade à une belle femme endormie.
Ce choix iconographique évoque des thématiques classiques mêlées à l’imaginaire romantique de l’Art Nouveau.
La scène sculptée présente un contraste frappant entre la douceur paisible de la femme et l’énergie dynamique du satyre.
La femme, représentée dans une pose alanguie et vulnérable, incarne un idéal de beauté gracieuse, tandis que le satyre, caractérisé par des muscles tendus et un regard intense, exprime une tension dramatique.
Ces détails donnent vie à la composition et plongent l’observateur dans une scène théâtrale où le désir et le rêve se confondent.
L’aiguière n’est pas seulement une pièce fonctionnelle destinée à contenir un liquide ; elle s’impose comme un objet d’art à part entière.
Le mélange du bronze et de l’étain enrichit l’œuvre en apportant des textures variées.
Le bronze confère une robustesse et une patine qui accentuent la richesse visuelle, tandis que l’étain, utilisé pour la scène en relief, offre un contraste subtil et raffiné.
**Signature et authenticité**
La signature de Noël Ruffier figure sur la panse de l’aiguière, confirmant son attribution à l’artiste.
Ce détail témoigne de l’importance qu’il accordait à ses créations, qu’il voyait comme des œuvres uniques et précieuses.
Ruffier, bien que moins connu que certains de ses contemporains comme René Lalique ou Emile Gallé, partage leur ambition de repousser les limites des matériaux pour créer des objets empreints de poésie et d’une qualité technique irréprochable.
**Contexte artistique et symbolisme**
À travers cette aiguière, Ruffier reflète les aspirations de l’Art Nouveau, qui s’inspire des mythes antiques et de la nature tout en explorant des thèmes psychologiques et émotionnels.
Le choix du satyre, figure de la mythologie gréco-romaine, est emblématique.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Paire de chandelier candélabre en cristal de Baccarat, Hauteur 56 cm
1600,00 €Grande Paire de Candélabres en Cristal de Baccarat
Ces superbes candélabres en cristal de Baccarat, mesurant 56 cm de hauteur, incarnent l’élégance et l’artisanat du 19e siècle, période où le savoir-faire de Baccarat en matière de verrerie et de cristal atteint des sommets inégalés.
Avec leurs trois bras de lumière gracieux et un assemblage de pendeloques étincelantes, ces pièces illuminent non seulement par leur fonction, mais également par leur esthétique, en témoignant de l’expertise et du prestige de la cristallerie française.
La présence de la marque Baccarat au revers confirme leur authenticité, offrant ainsi aux amateurs de beaux objets une opportunité d’acquérir une œuvre véritablement emblématique de cet atelier de renommée mondiale.
Description et Détails Techniques
Chaque candélabre de cette paire repose sur une monture en métal ornée, qui ajoute un contraste subtil et raffiné au cristal éclatant.
Les bras de lumière, habillés de pendeloques, projettent une luminosité qui magnifie les surfaces environnantes, rappelant l’atmosphère chaleureuse des salons aristocratiques et des demeures nobles du passé.
Les pampilles, ou « pendeloques », suspendues aux bras de lumière, créent un jeu de reflets fascinant qui attire naturellement le regard.
En examinant de plus près, quelques détails montrent que ces candélabres ont traversé les âges.
Certaines pampilles, fragiles par nature, sont manquantes ; néanmoins, il est possible de retrouver des pampilles d’époque qui pourront parfaitement compléter l’ensemble et rétablir son intégrité visuelle.
De plus, l’une des coupelles a été recollée, mais le travail de réparation a été fait avec soin, sans altérer l’harmonie globale du candélabre.
Enfin, parmi les deux bobèches qui accueillent les bougies, l’une présente quelques égrenures, témoins de son utilisation et de son passage à travers le temps, tandis que l’autre est restée intacte.
La Signature Baccarat : Tradition et Excellence
Baccarat, fondée en 1764 sous le règne de Louis XV, est devenue synonyme de cristal de luxe et d’excellence française.
Reconnaissable à son éclat inégalé et à sa qualité exceptionnelle, chaque pièce de Baccarat est le résultat de plusieurs centaines d’années d’expertise transmise de génération en génération.
La marque Baccarat, visible au revers de ces candélabres, assure aux collectionneurs la provenance et l’authenticité de ces pièces.
Cette signature est un gage de qualité qui rappelle les nombreuses commandes prestigieuses de Baccarat au fil de l’histoire, des tables royales aux maisons de la haute société européenne.
L’histoire de Baccarat est ponctuée de collaborations artistiques, et la maison est également reconnue pour avoir constamment innové dans ses designs et ses techniques de production, créant des œuvres qui marient tradition et modernité.
Ces candélabres, bien que d’une autre époque, sont représentatifs de cette capacité unique de Baccarat à concevoir des objets intemporels, qui continuent de captiver par leur sophistication et leur beauté.
Un Témoignage du Passé
L’intérêt particulier pour cette paire réside dans la dualité entre leur caractère intact et les petites imperfections qu’ils portent, comme des marques du temps.
Ce type de pièces suscite un charme unique et raconte une histoire ; il est possible d’imaginer ces candélabres illuminant des salles de réception somptueuses, témoins muets de conversations élégantes et de soirées fastueuses.
Leur acquisition invite le collectionneur non seulement à posséder un objet précieux, mais également à faire revivre une époque où l’art de la table était élevé au rang de cérémonie.
Posséder cette paire de candélabres en cristal Baccarat, c’est offrir une seconde vie à un vestige du passé et l’inscrire dans une nouvelle histoire.
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Belle sculpture ancienne de la fin du 18e, Dieux le père et Jésus
450,00 €Cette sculpture en bois massif, datant de la fin du XVIIIe au début du XIXe siècle, est une œuvre remarquable à bien des égards, tant par sa qualité artistique que par son importance historique et spirituelle.
Elle représente le Dieu Père tenant l’enfant Jésus, une iconographie rare et significative qui témoigne de la profonde dévotion religieuse de l’époque.
D’une hauteur de 62 cm et d’une largeur de 25 cm, cette sculpture imposante attire l’attention par sa présence à la fois majestueuse et apaisante, incarnant à la fois la force et la douceur des figures représentées.
Un héritage artistique du bois sculpté normand
La Normandie, région célèbre pour ses traditions artisanales, notamment dans le travail du bois, a produit au fil des siècles des œuvres d’une qualité exceptionnelle, alliant rigueur technique et expression spirituelle.
Cette sculpture semble s’inscrire dans cette lignée artistique, avec un soin particulier apporté aux détails qui suggère un savoir-faire local et une profonde sensibilité pour l’expression religieuse.
Le choix du bois massif confère à la pièce une solidité et une stabilité remarquables, mais également une patine qui révèle son ancienneté.
Les sculpteurs normands de cette période utilisaient souvent des essences de bois locales, comme le chêne ou le hêtre, réputées pour leur robustesse et leur grain fin, permettant de détailler des expressions faciales et des drapés avec une grande précision.
La représentation du Dieu Père et de l’enfant Jésus
La sculpture met en scène le Dieu Père portant l’Enfant Jésus, un sujet iconographique qui demeure relativement rare.
Traditionnellement, la représentation de Dieu le Père dans l’art chrétien était souvent réservée à des œuvres monumentales ou à des compositions plus abstraites.
Ici, le sculpteur a choisi une approche plus humaine et touchante, dépeignant Dieu le Père dans une posture de tendresse et de protection envers l’Enfant.
L’expression de bienveillance sur le visage du Dieu Père, les courbes de ses mains qui soutiennent délicatement l’enfant, créent un contraste saisissant entre la puissance divine et la fragilité humaine.
L’enfant Jésus, quant à lui, est représenté avec une expression douce et confiante, rappelant l’innocence et la pureté.
Le sculpteur a réussi à capturer cette dualité entre l’innocence de l’enfance et la dimension sacrée du personnage, symbolisant l’amour et la protection divine.
Cette juxtaposition entre le divin et l’humain confère à cette sculpture une force émotionnelle indéniable, témoignant de la foi et de la dévotion qui inspiraient les artistes de l’époque.
Traces du passé et authenticité
Cette œuvre ancienne porte les marques du temps, des signes d’usure et de vieillissement naturels, qui lui confèrent une authenticité et une profondeur supplémentaires.
Les traces d’usure sur la surface révèlent un passé chargé d’histoire, peut-être des siècles de vénération ou d’exposition dans un lieu de culte. Ces marques ne sont pas seulement des signes du temps, elles rappellent également la valeur sentimentale et spirituelle de l’œuvre pour les générations précédentes.
Une sculpture de haute qualité, témoin de son époque
Au-delà de son esthétique, cette sculpture se distingue par la finesse de son exécution.
Les détails des traits du visage, le traitement des drapés, et la qualité des proportions témoignent d’une maîtrise artistique exceptionnelle, probablement le fruit du travail d’un sculpteur chevronné.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste J. Cavana, est une représentation saisissante de l’élégance et du raffinement propres à son époque. L’œuvre illustre une femme gracieuse, dont l’allure et les traits sont immortalisés avec une précision remarquable. La minutie apportée à la réalisation de cette miniature est évidente, des plis soyeux de la robe aux teintes subtiles du visage de la dame. Chaque détail témoigne de l’expertise de Cavana, qui parvient à capturer non seulement l’apparence physique de son sujet, mais aussi une certaine aura, une présence presque palpable, malgré la petite taille du support.
Jean Cavana, né en 1830 en Italie, est un artiste qui a su se forger une place de choix dans le milieu artistique français de la fin du XIXe siècle. Il s’est installé en France, où son talent pour la miniature l’a rapidement fait connaître. Formé dans la lignée des grands maîtres, Cavana a acquis une maîtrise technique exceptionnelle qui lui permettait de traduire avec finesse les émotions et les caractéristiques de ses modèles. Sa renommée a grandi au fil des ans, notamment grâce aux nombreuses commandes qu’il recevait de la part de la haute société, qui voyait en lui un peintre capable de saisir l’essence de ses contemporains avec une rare justesse.
Cavana s’est distingué par son art de la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, car il permettait d’immortaliser les traits des personnes dans des formats réduits, souvent sous forme de portraits intimes. Il était capable de retranscrire à la perfection les moindres détails, de la texture des étoffes aux expressions faciales les plus subtiles, apportant à chaque portrait une profondeur psychologique singulière. La précision de son pinceau lui permettait de transformer de simples portraits en véritables témoignages visuels de l’âme de ses modèles.
Mais si Cavana est principalement reconnu pour ses miniatures, il ne s’est pas limité à ce genre. Son œuvre s’étendait également à d’autres domaines, comme le paysage ou des scènes plus complexes, où il exprimait son goût pour la beauté et la mélancolie. Ses créations, empreintes d’une certaine nostalgie, invitent à la contemplation et à la réflexion, révélant une sensibilité artistique raffinée. Il utilisait la miniature pour célébrer non seulement la beauté physique, mais aussi l’esprit et la personnalité des personnes qu’il représentait. Ainsi, chaque œuvre qu’il réalisait devenait un hommage à son époque et à la tradition du portrait intime, dont il s’est fait le maître incontesté.
La miniature en question est un exemple parfait de son savoir-faire. L’élégance et la grâce du sujet, rehaussées par la finesse de l’exécution, sont autant de preuves du talent exceptionnel de Cavana.
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Miniature ancienne, réalisée à la fin du XIXe siècle et signée par l’artiste J. Cavana
Cette délicate miniature du XIXe siècle, signée par l’artiste Jean Cavana, est un témoignage captivant de l’élégance de son époque. Réalisée vers la fin du siècle, elle représente une femme raffinée, probablement Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt, une figure de la noblesse. Cavana, en mettant en avant chaque détail, des tissus sophistiqués de sa tenue aux subtiles variations des traits de son visage, démontre l’étendue de son talent. L’œuvre traduit avec finesse l’atmosphère et l’esthétique de la société aristocratique de l’époque.
Jean Cavana, né en Italie en 1830, s’est installé en France où il s’est rapidement distingué par son habileté à capturer l’essence de ses modèles dans des formats miniatures. Sa formation dans la lignée des maîtres classiques lui a permis de développer une technique précise, un savoir-faire qui a séduit les élites de son temps. Ces dernières recherchaient un artiste capable de figer sur des supports de petite taille non seulement l’apparence mais aussi la personnalité de ceux qu’il peignait. Cavana a ainsi su s’imposer comme un portraitiste de renom, en grande partie grâce à cette capacité à rendre les traits psychologiques visibles dans de si petits formats.
La carrière de Jean Cavana a été marquée par de nombreuses commandes provenant de la haute société, désireuse de posséder ces miniatures raffinées, symboles à la fois d’un statut social et d’un goût pour l’art. Cavana a d’ailleurs su tirer parti de cette demande croissante pour la miniature, un genre particulièrement prisé au XIXe siècle, époque où la photographie n’avait pas encore supplanté la peinture dans l’art du portrait. Ses œuvres se distinguent par une précision remarquable et une attention méticuleuse aux détails, qu’il s’agisse des vêtements, des textures ou des visages.
La maîtrise technique de Cavana ne s’arrête pas au portrait miniature. Au-delà de ce genre, il a exploré divers thèmes, s’essayant notamment au paysage, et ses œuvres dégagent souvent une certaine nostalgie. Ce sentiment, présent dans ses peintures, contribue à leur caractère unique et à leur profondeur. L’artiste semblait avoir une sensibilité particulière pour les moments suspendus dans le temps, qu’il capturait avec une délicatesse certaine.
Dans cette miniature spécifique, Cavana excelle en restituant l’élégance d’une dame de la noblesse, sans doute Marie Thérèse Blonel d’Haraucourt. La précision des plis de la robe, les jeux d’ombre et de lumière sur le visage, et la douceur du regard traduisent un travail minutieux et une grande habileté artistique. Ces caractéristiques témoignent de l’attention que l’artiste portait à chaque élément de ses compositions, révélant ainsi sa capacité à donner vie à ses sujets dans des formats si réduits.
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Table à ouvrage en laque de Chine du XIXe siècle, garnis de détails en os
850,00 €Cette table à ouvrage en laque de Chine, datée du XIXe siècle, est un véritable chef-d’œuvre de l’artisanat.
Ses origines chinoises sont évidentes dans son esthétique, où la laque noire et les motifs dorés se rencontrent dans une harmonie visuelle qui reflète le raffinement de l’époque. Ce type de mobilier, conçu pour les travaux d’aiguille et le rangement d’accessoires de couture, se distingue par sa double fonction : pratique et décorative.
La table se présente avec un corps entièrement orné sur ses quatre faces. Le décor en laque noire, rehaussé de motifs dorés, offre un contraste saisissant. Le noir de la laque, qui symbolise souvent la profondeur et la mysticité dans la culture asiatique, est enrichi par des scènes de pagodes dorées, des paysages empreints d’une touche poétique typiquement orientale. Ces pagodes, éléments architecturaux emblématiques de la Chine, évoquent la tranquillité et la spiritualité, conférant à la pièce un air d’exotisme et de sérénité. L’utilisation de l’or, à la fois précieux et décoratif, magnifie ces motifs et apporte une dimension de luxe et de sophistication à l’ensemble.
L’intérieur de la table s’ouvre par un abattant astucieusement dissimulé. Ce dernier découvre un ensemble de compartiments destinés à ranger les différents outils de couture. Les compartiments sont ingénieusement disposés pour optimiser l’espace de rangement, avec certains d’entre eux pourvus de couvercles. Ces espaces ont été conçus pour contenir les divers instruments de couture, comme des ciseaux, des aiguilles et des bobines de fil. Ce rangement soigné et compartimenté reflète le souci de praticité et de fonctionnalité de cette table à ouvrage. Certains de ces compartiments sont garnis de détails en os, finement travaillés, apportant une touche d’élégance supplémentaire à l’objet. L’os, matériau noble et délicat, a été utilisé avec une grande dextérité, révélant le savoir-faire artisanal de l’époque.
Le plateau supérieur de la table repose sur un mécanisme de glissière, permettant son ouverture en douceur pour révéler des compartiments supplémentaires. Ceux-ci étaient initialement conçus pour accueillir un panier en tissu, aujourd’hui manquant, destiné à ranger les coupons de tissus ou autres articles de couture plus volumineux. Ce mécanisme astucieux montre l’attention portée à l’aspect fonctionnel de l’objet, tout en restant fidèle à son apparence élégante.
La structure même de la table est un modèle d’équilibre entre solidité et finesse. Elle repose sur deux pieds sculptés, se terminant par des griffes, un détail qui rappelle les motifs animaliers souvent utilisés dans le mobilier d’époque pour symboliser la force et la protection. Les griffes, délicatement sculptées, donnent à la table une assise solide tout en restant légères et gracieuses. Les deux pieds sont reliés par une entretoise, élément souvent utilisé pour renforcer la stabilité de la pièce sans alourdir visuellement l’ensemble. Cette entretoise participe à l’harmonie globale du meuble, tout en lui conférant une dimension structurée et raffinée.
Un détail notable sur cette table est la présence de la signature « Patent » gravée sur la serrure. Ce marquage indique une reconnaissance officielle du design ou du mécanisme utilisé, témoignant de l’ingéniosité technique de l’époque. Il s’agit là d’une indication précieuse sur l’importance accordée à la qualité de fabrication et à la protection des inventions au XIXe siècle, un signe que cette table à ouvrage n’était pas seulement un objet utilitaire, mais également une création innovante et exclusive.
Malgré l’usure du temps et quelques petits accidents signalés sur la surface, cette table conserve toute sa beauté et son charme. Ces signes d’usure sont en réalité les témoins d’une longue histoire, d’un usage fréquent, et confèrent à l’objet une patine authentique. Les pièces de laque de cette époque sont connues pour leur fragilité, mais aussi pour leur capacité à traverser les âges en conservant leur éclat, ce qui rend cette table à ouvrage encore plus précieuse.
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Magnifique petite armoire de maitrise en bois et marqueterie, fin XIXe siècle
Cette petite armoire de maîtrise du XIXe siècle est un superbe exemple du savoir-faire artisanal de l’époque, probablement réalisée en France, comme en témoignent son style et son exécution minutieuse. L’armoire est construite avec une attention particulière aux détails, en particulier dans son décor en marqueterie, qui couvre presque toute la surface de la pièce. La marqueterie est un procédé où différents types de bois sont soigneusement sélectionnés, découpés, puis assemblés pour former des motifs complexes et artistiques, ici principalement géométriques, avec une prédominance de losanges et d’étoiles.
Les côtés et la façade de cette armoire sont ornés de ces motifs de marqueterie, contrastant le bois clair et foncé pour créer un jeu de couleurs et de textures qui attire le regard. Ce travail de marqueterie est un indicateur de la maîtrise technique du créateur, démontrant non seulement une habileté manuelle exceptionnelle, mais aussi un sens esthétique sophistiqué. Le choix des bois et l’harmonie des couleurs révèlent une grande connaissance des matériaux, associée à une volonté de produire une œuvre qui soit aussi décorative que fonctionnelle.
La porte centrale est un élément clé de cette armoire. Elle est agrémentée d’un miroir à glace argentée, qui reflète légèrement l’âge de la pièce tout en ajoutant une dimension pratique à l’ensemble. Ce miroir, bien que modeste en taille, donne de la profondeur à l’armoire, créant un effet d’espace supplémentaire dans une pièce. Encadré par la marqueterie, le miroir devient un point focal qui renforce le style élégant de l’armoire. Il s’ouvre sur un compartiment intérieur qui, bien que de petite taille, est conçu pour le rangement de petits objets. Cette porte est équipée d’une poignée blanche, probablement en porcelaine ou en os, apportant une touche de délicatesse à l’ensemble et contrastant avec les teintes riches du bois environnant.
Sous cette porte se trouve un tiroir, élément tout aussi décoratif que fonctionnel. Le tiroir est lui aussi orné de marqueterie, avec des motifs géométriques reprenant les formes de losanges et de triangles présents sur le reste de la pièce. Ce tiroir offre un espace de rangement supplémentaire et rappelle l’équilibre entre utilité et esthétique qui caractérise les pièces de mobilier de cette époque. La poignée du tiroir est assortie à celle de la porte, créant une continuité visuelle dans l’ensemble du meuble.
Le haut de l’armoire est couronné par un fronton décoratif surmonté de petits pinacles finement tournés. Le fronton présente un motif circulaire en marqueterie, avec un motif d’étoile en bois clair et foncé, encadré par une forme demi-circulaire. Cette partie supérieure, bien que décorative, est en harmonie avec l’ensemble du meuble, reprenant les mêmes tons et motifs, tout en apportant une touche de hauteur et d’élégance supplémentaire.
Les dimensions modestes de l’armoire, ainsi que son travail de marqueterie très élaboré, indiquent qu’il s’agit très probablement d’une pièce de maîtrise. Les pièces de maîtrise étaient des objets souvent fabriqués par les apprentis ébénistes pour démontrer leur savoir-faire et obtenir leur statut de maître dans leur guilde ou corporation. Ces objets étaient souvent de petite taille, mais mettaient en valeur une gamme de compétences, incluant la marqueterie, le tournage du bois et l’assemblage précis de différents éléments de mobilier. L’armoire que nous observons ici est une illustration parfaite de cette tradition. Elle est à la fois un objet d’art et un meuble pratique, symbolisant l’alliance entre la beauté et la fonctionnalité dans le mobilier du XIXe siècle.
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Belle cave à liqueur ancienne, époque XIXe siècle, Napoléon III, Baccarat
Cette cave à liqueur, d’une grande beauté et d’une remarquable finesse, est un exemple exceptionnel de l’art décoratif du XIXe siècle, en plein dans la période du style Napoléon III. À cette époque, l’Empire français connaît un regain d’intérêt pour le faste et l’ornementation, et cette œuvre s’inscrit parfaitement dans cette tendance artistique.
La cave est réalisée en bois de placage de loupe de thuya, un matériau précieux et recherché pour son aspect décoratif unique. Le thuya, grâce à ses veines tourmentées et ses nœuds, offre un effet visuel sophistiqué, plein de relief et de contrastes, qui confère une élégance discrète à l’objet. Ce placage est encadré par du bois de rose, un autre bois noble, très prisé pour sa teinte chaude et sa texture fine, souvent utilisé dans l’ébénisterie de luxe. À cela s’ajoute un décor de bois noirci, qui vient accentuer le contraste des matériaux et donner une touche de sobriété, tout en mettant en valeur les filets de laiton qui parcourent l’ensemble de la cave. Ces filets, d’une finesse admirable, soulignent les contours et les volumes de l’objet, lui apportant une certaine légèreté et un raffinement supplémentaire.
L’une des particularités de cette cave à liqueur réside dans sa façade mouvementée. Loin des formes géométriques strictes ou des lignes droites qui caractérisaient parfois les productions antérieures, cette façade adopte des courbes sinueuses et harmonieuses, propres au style Napoléon III. Cette forme mouvementée confère à l’ensemble un dynamisme et une fluidité qui captent immédiatement le regard et témoignent du grand savoir-faire de l’artisan qui a réalisé cet objet. Le travail de la façade se prolonge sur l’abattant, qui se distingue par un cartouche feuillagé incrusté de laiton et de nacre. Cette ornementation, réalisée avec une grande précision, évoque un motif végétal riche et délicat, typique des décors de la seconde moitié du XIXe siècle. La combinaison du laiton et de la nacre apporte non seulement une brillance et une richesse visuelle, mais aussi une certaine douceur grâce aux reflets irisés de la nacre, qui varie selon la lumière. Fait intéressant, ce cartouche n’est pas monogrammé, ce qui laisse supposer qu’il n’était pas destiné à une commande spécifique, ou que son propriétaire n’a pas souhaité y apposer ses initiales, permettant ainsi à cette cave de conserver une certaine universalité.
En ouvrant cette cave, on découvre un ensemble tout aussi raffiné de 4 carafes et de 16 verres à liqueur, tous réalisés en cristal de Baccarat, un nom qui incarne l’excellence dans l’art de la verrerie et du cristal depuis le XVIIIe siècle. Chaque pièce est finement décorée de rehauts de dorure, un ornement qui ajoute une touche d’éclat et de luxe à l’ensemble. Le cristal de Baccarat, réputé pour sa pureté, sa transparence et son éclat, est ici sublimé par cette dorure délicate, qui vient rehausser les courbes des carafes et des verres. Ces derniers, de taille idéale pour déguster des liqueurs, sont non seulement des objets fonctionnels, mais aussi des pièces décoratives qui témoignent du goût raffiné de l’époque.
L’agencement interne de la cave est étudié avec soin, permettant de ranger et de protéger chaque carafe et chaque verre dans un compartiment spécifique, afin d’éviter tout choc ou dommage. Ce souci du détail montre l’importance accordée non seulement à l’apparence extérieure de l’objet, mais aussi à sa fonctionnalité.
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Belle et ancienne lampe à pétrole en bronze doré, attribué à Georges Leleu
850,00 €La grande lampe à pétrole en bronze massif que je vous présentes est une pièce d’exception, à la fois par sa richesse sculpturale et par son appartenance à l’époque de l’Art nouveau, un mouvement artistique qui a marqué la fin du XIXe siècle et le début du XXe.
Attribuée à Georges Leleu, artiste et créateur reconnu pour ses œuvres dans le domaine des arts décoratifs, cette lampe se distingue par son design floral raffiné et son exécution minutieuse.
La lampe, haute de 47 cm, est un exemple remarquable de la fusion entre fonctionnalité et esthétisme, deux principes chers aux créateurs de l’Art nouveau.
L’Art nouveau, dont l’influence s’est propagée dans toute l’Europe entre 1890 et 1910, était caractérisé par l’utilisation de formes naturelles et organiques.
Ce style visait à rompre avec les traditions académiques et à intégrer la beauté dans les objets du quotidien. Les créateurs de cette époque, qu’ils soient architectes, peintres ou artisans, cherchaient à fondre l’art dans la vie quotidienne.
La lampe en question s’inscrit pleinement dans cette démarche, en alliant l’aspect utilitaire d’un éclairage à pétrole avec une recherche artistique poussée.
Georges Leleu, bien qu’étant moins connu que certains de ses contemporains comme Emile Gallé ou Hector Guimard, a laissé une empreinte dans le domaine des arts décoratifs.
Sa maîtrise du bronze et sa capacité à retranscrire la nature dans ses créations font de lui un créateur typique de l’Art nouveau. La lampe attribuée à Leleu présente un riche motif floral, gravé dans le bronze massif, qui semble presque en mouvement, comme si les fleurs se déployaient au contact de la lumière.
La technique de sculpture du bronze, maîtrisée ici avec un soin particulier, témoigne du savoir-faire artisanal propre à cette époque. Les lignes souples et sinueuses des motifs floraux, emblématiques de l’Art nouveau, viennent adoucir la robustesse du bronze.
On y retrouve également un travail de ciselure remarquable, notamment dans les détails des pétales et des tiges, qui accentue le relief et la profondeur des motifs.
Cette dualité entre la solidité du matériau et la légèreté des formes est caractéristique des objets d’art de cette période.
Cette lampe ne se distingue pas seulement par son esthétique, mais aussi par son mode d’éclairage.
Fonctionnant à l’origine au pétrole, ce type de lampe était très répandu avant l’avènement de l’électricité dans les foyers.
Les lampes à pétrole étaient non seulement des objets pratiques, mais aussi des symboles de modernité et de confort à la fin du XIXe siècle. En tant qu’objet décoratif, elles étaient souvent réalisées avec un soin tout particulier, afin de s’intégrer harmonieusement dans les intérieurs bourgeois de l’époque.
Le design floral de la lampe fait écho aux mouvements artistiques qui cherchaient à réhabiliter les éléments naturels dans les objets quotidiens.
Les artistes de l’Art nouveau considéraient la nature comme une source d’inspiration infinie, et les motifs végétaux, floraux ou animaliers étaient souvent stylisés pour orner des meubles, des lampes et d’autres objets décoratifs.
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Sculpture bronze de la fin du XIXe siècle, représentant Molière assis dans un fauteuil avec la plume à la main, signé Pradier
1400,00 €Cette sculpture en bronze de la fin du XIXe siècle, signée Pradier, représente Molière, l’un des plus grands dramaturges français de tous les temps, assis dans un fauteuil, une plume à la main. Avec ses dimensions relativement modestes de 26 cm de haut, cette pièce se distingue par la précision de ses détails et l’expressivité de sa posture, qui incarnent l’essence même de l’artiste pensif et créatif.
Le personnage principal de la sculpture est Molière, vêtu de manière élégante avec une longue robe aux plis riches et fluides. L’attention aux détails est frappante, chaque pli de son vêtement étant soigneusement travaillé pour donner une impression de mouvement et de réalisme. La texture du tissu est finement ciselée, créant une juxtaposition entre la douceur de la robe et la dureté du bronze, matériau utilisé pour la réalisation de l’œuvre. Le bronze patiné confère à la sculpture une profondeur et une chaleur qui accentuent son caractère solennel. Molière est représenté dans une posture contemplative, avec la tête appuyée sur sa main gauche, le regard vague, comme s’il était en plein processus créatif ou en réflexion profonde.
L’autre main de Molière tient une plume, symbole indéniable de son métier d’écrivain. La plume, représentée avec une finesse délicate, renforce l’idée que cette sculpture capture un moment de création intellectuelle. Ce détail évoque non seulement la carrière prolifique de Molière, mais aussi son rôle primordial dans l’histoire de la littérature et du théâtre. Molière est connu pour avoir écrit certaines des plus grandes pièces de théâtre comique de l’histoire, telles que *Le Malade imaginaire*, *Tartuffe* et *L’Avare*. Sa plume, ici mise en avant, est l’instrument par lequel il a marqué de manière indélébile le patrimoine culturel français.
Le fauteuil sur lequel Molière est assis est lui aussi une œuvre d’art en soi. De style classique, il est richement décoré avec des motifs sculptés qui démontrent l’expertise du sculpteur. La base du fauteuil, ornée de franges et de motifs géométriques, porte également la signature de Pradier, gravée de manière lisible, affirmant ainsi l’authenticité et la qualité artistique de l’œuvre. Jean-Jacques Pradier, sculpteur de renom du XIXe siècle, est célèbre pour ses œuvres d’une grande finesse et son talent pour capturer les détails anatomiques et textiles de ses sujets.
Cette sculpture reflète parfaitement les tendances artistiques du XIXe siècle, marquées par un retour à des formes classiques et une admiration pour les grands hommes de lettres et d’art. L’art de cette période met souvent en avant les personnages historiques dans des poses héroïques ou méditatives, et cette œuvre ne fait pas exception. Molière est ici montré non pas comme un comédien sur scène, mais comme un penseur, un créateur dans un moment d’introspection. Cette représentation statique mais intense nous rappelle que l’éclat de ses œuvres vient avant tout de son génie créatif.
Le choix de représenter Molière dans un tel moment de quiétude intellectuelle témoigne également de la manière dont la fin du XIXe siècle a vu une réévaluation de la figure de l’écrivain. Molière, autrefois acteur et auteur comique, est ici érigé au rang de penseur profond, presque philosophe, soulignant la dimension intellectuelle de son travail.
Enfin, cette œuvre illustre également le savoir-faire technique des sculpteurs de cette époque.
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Gobelet à bord évasé du premier tiers du XIXe siècle
Le gobelet à bord évasé du premier tiers du XIXe siècle, probablement créé à Paris entre 1810 et 1830, représente un exemple remarquable de l’art verrier de cette période. Ce type de verrerie fine était souvent produit dans les ateliers parisiens, célèbres pour leur maîtrise technique et leur sens esthétique. Ce gobelet particulier est potentiellement assimilable à une pièce de la collection du Musée du Louvre, qui abrite de nombreuses œuvres représentatives de cette époque.
L’élément distinctif du gobelet est son fond taillé en étoile à huit pointes. Ce motif, fréquemment utilisé dans la verrerie de luxe du début du XIXe siècle, témoigne de la minutie et de l’habileté des artisans verriers de l’époque. La base du gobelet est ornée d’olives et d’un bandeau de diamants, une décoration élaborée qui ajoute à la richesse visuelle de l’objet. Ces détails ornementaux sont le reflet d’une époque où la verrerie n’était pas seulement fonctionnelle, mais également un moyen d’expression artistique.
Le décor gravé à la roue, une technique nécessitant une grande précision, est un autre aspect notable de ce gobelet. La scène gravée représente deux colombes portant une couronne dans leurs becs, symbolisant souvent la paix ou l’amour éternel dans l’iconographie de l’époque. À côté des colombes, deux flambeaux sont gravés, symbolisant la lumière ou la connaissance. Un chien assis, figuré dans la scène, pourrait représenter la fidélité ou la vigilance, des valeurs chères au XIXe siècle. La scène inclut également une partie de monument avec son jardin, évoquant peut-être un lieu de mémoire ou de contemplation, ainsi qu’une grosse colonne, élément architectural symbolisant la force et la stabilité.
Les dimensions du gobelet, mesurant 9,5 cm de hauteur avec un diamètre au buvant de 8,3 cm, sont typiques des objets de ce type et de cette période. Ces proportions indiquent un objet conçu pour être tenu en main et utilisé avec une certaine élégance, suggérant qu’il s’agissait probablement d’un gobelet destiné à une consommation domestique de boissons fines, peut-être pour des occasions spéciales ou dans un cadre cérémonial.
La finesse de la gravure et la qualité des matériaux utilisés sont des indications claires de la provenance parisienne de ce gobelet. Paris, à cette époque, était un centre de production verrière de premier plan, avec des artisans qui étaient souvent au service de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie. Le fait que ce gobelet puisse faire partie d’une collection prestigieuse comme celle du Musée du Louvre renforce l’idée de son importance artistique et historique.
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Belle et ancienne canne, pommeau en argent 1er Empire
350,00 €L’ancienne canne que nous avons ici est une pièce remarquable, imprégnée d’histoire et d’artisanat de l’époque du 1er Empire au XIXe siècle. Cette époque, qui coïncide avec le règne de Napoléon Bonaparte, est marquée par un style artistique et culturel spécifique, où l’orfèvrerie atteint un haut degré de raffinement.
Le pommeau de cette canne est en argent massif, une caractéristique qui témoigne de la qualité et du luxe associés à l’objet. L’argent, précieux et durable, était un choix prisé pour les accessoires de mode et les objets de valeur, et ce pommeau ne fait pas exception. Le poinçon argent présent sur le pommeau confirme l’authenticité et la pureté de l’argent utilisé, attestant que cette pièce a été soumise à des normes strictes de qualité lors de sa fabrication.
Le décor du pommeau est particulièrement intéressant et évocateur de l’époque impériale. Il est orné de motifs d’abeilles, symbole étroitement lié à Napoléon Bonaparte. L’abeille, choisie par Napoléon comme emblème de son empire, symbolisait l’industrie, l’immortalité et la résurrection, des valeurs que l’Empereur voulait voir associées à son règne. Les abeilles décorant le pommeau sont finement ciselées, démontrant le haut niveau de compétence des artisans de l’époque.
La canne elle-même est montée sur un support en bois, ce qui ajoute à son charme et à son authenticité. Le bois, matériau traditionnellement utilisé pour les cannes, est non seulement robuste mais aussi d’une grande élégance. Le support en bois a été soigneusement travaillé pour compléter le luxe et le raffinement du pommeau en argent, formant ainsi une unité harmonieuse et esthétique.
En termes d’état, cette canne est en bon état général, une condition rare et précieuse pour un objet de cette époque. Malgré les années qui se sont écoulées, elle a su conserver sa beauté et son intégrité, ce qui en fait un témoignage tangible et fascinant du passé. Les quelques traces d’usure, inévitables pour un objet ancien, ajoutent même au charme et à l’authenticité de la pièce, racontant silencieusement l’histoire de ceux qui l’ont possédée et utilisée.
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Statuette de prière, moine Bouddhiste fin XVIIIe en bois sculpté
Voici une magnifique et ancienne sculpture en bois polychromé, représentant un moine bouddhiste en prière. Datant de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle, cette œuvre est un exemple remarquable de l’artisanat de cette époque. Le bois utilisé pour la sculpture est exceptionnellement léger, un détail qui souligne l’habileté et la maîtrise des artisans de l’époque. Cette légèreté pourrait également indiquer l’utilisation de bois de haute qualité, soigneusement sélectionné pour ce type de travail délicat.
La statuette présente une particularité intrigante : sa tête est amovible, se détachant comme un bouchon. Cette caractéristique unique suggère que la sculpture pouvait être utilisée pour cacher un objet de valeur ou une lettre de prière. Dans les traditions bouddhistes, il n’est pas rare que des objets sacrés soient dissimulés à l’intérieur de statues, ajoutant ainsi une dimension mystique et fonctionnelle à l’œuvre. Cette possibilité confère à la statuette un intérêt supplémentaire, transformant un simple objet de dévotion en un réceptacle de secrets spirituels.
Mesurant 19,5 cm de hauteur, la statuette est d’une taille idéale pour être manipulée et exposée avec élégance. Sa taille compacte n’enlève rien à la richesse de ses détails. Les traits du visage du moine et la position de ses mains en prière sont finement sculptés, reflétant une profonde dévotion et une sérénité intérieure. La polychromie, bien que partiellement usée par le temps, reste visible et ajoute une dimension colorée et vivante à l’œuvre. Les pigments utilisés sont typiques de l’époque et apportent une touche d’authenticité supplémentaire à cette pièce ancienne.
Il est important de noter que, malgré son ancienneté, la statuette a conservé une grande partie de sa beauté originale. Quelques imperfections sont visibles, comme en témoignent les photos, mais ces marques du temps ne font qu’ajouter à son charme et à son authenticité. Elles racontent l’histoire de l’objet, témoignant de son passage à travers les siècles et de son utilisation par des générations de fidèles. Ces imperfections ne sont pas des défauts, mais des preuves de l’histoire riche et complexe de cette œuvre.
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Commode Louis XVI en acajou de plaquage et massif, marbre blanc
1200,00 €Cette splendide commode de style Louis XVI, datant du XIXe siècle, est un témoignage éloquent de l’artisanat et de l’esthétique raffinée de cette époque. Fabriquée en acajou de placage et massif, elle incarne l’élégance et le goût sophistiqué qui caractérisaient les intérieurs des demeures bourgeoises et aristocratiques du XIXe siècle.
Le dessus de cette commode est en marbre blanc, délicatement veiné, avec des bords chanfreinés sur les trois côtés, ajoutant une touche de noblesse et de sophistication à l’ensemble. Le marbre, matériau prisé pour sa durabilité et sa beauté naturelle, contraste harmonieusement avec la chaleur et la profondeur de l’acajou.
La commode est structurée de manière fonctionnelle et esthétique avec cinq tiroirs. Deux tiroirs occupent la partie inférieure, tandis que la partie supérieure est agencée avec trois tiroirs. Les tiroirs centrales sont dotés d’une entrée de serrure, témoignant du souci du détail et de la sécurité à l’époque. Chacun de ces tiroirs est encadré par un gainage de laiton, qui en souligne les contours et ajoute une touche de brillance. Les panneaux latéraux sont également embellis par ce gainage en laiton, assurant une continuité stylistique et une harmonie visuelle.
Le piétement fuseau droit de la commode, typique du style Louis XVI, est orné de cannelures et se termine par des sabots en laiton. Ces pieds fuselés et cannelés non seulement ajoutent à l’élégance du meuble, mais garantissent également sa stabilité. Les sabots en laiton protègent les pieds tout en ajoutant une touche décorative supplémentaire.
Les anneaux de tirage en bronze, décorés de motifs perlés, apportent une note luxueuse et sophistiquée. Bien qu’un anneau soit manquant, cela n’altère en rien la majesté et le charme de cette commode. Le bronze, utilisé pour les anneaux de tirage, était un matériau de choix pour ses qualités esthétiques et sa résistance à l’usure.
Malgré son âge, cette commode est en relativement bon état, ce qui témoigne de la qualité de sa fabrication et des matériaux utilisés. Les artisans du XIXe siècle, fidèles à l’héritage du style Louis XVI, ont su créer un meuble à la fois durable et d’une beauté intemporelle.
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Superbe pendule, datant de l’époque de la Restauration au début du XIXe siècle
Cette pendule est une pièce d’exception datant de l’époque de la Restauration, au début du XIXe siècle. Fabriquée en bronze doré au mercure, elle incarne l’art et le savoir-faire horloger de cette période historique. La dorure au mercure, une technique exigeante et hautement qualifiée, confère à la pendule une brillance et une durabilité remarquables, témoignant de l’attention minutieuse portée à sa création.
D’une grandeur majestueuse, cette pendule attire immédiatement le regard par sa présence imposante et son élégance. La dorure resplendissante met en valeur les détails finement ciselés, soulignant la maîtrise artistique des artisans de l’époque. La figure classique de Cérès, déesse de l’agriculture et de la fertilité, trône au sommet de cette œuvre d’art. Cérès est représentée vêtue d’une robe drapée, illustrant à la fois la grâce et la dignité de la divinité. Les plis de sa robe sont délicatement sculptés, chaque détail contribuant à l’impression de mouvement et de vie.
Le cadran de la pendule porte la signature de Mazillier à Verdun, attestant de son origine prestigieuse. Mazillier était un horloger renommé, et sa signature sur cette pièce ajoute une valeur historique et authentique. Le cadran, lui-même un exemple de sophistication, est orné de chiffres romains et de fines aiguilles, permettant une lecture claire et élégante de l’heure.
Le mouvement de cette pendule est équipé d’une suspension à fil, un mécanisme typique de l’époque, connu pour sa précision et sa fiabilité. Cette caractéristique technique témoigne de l’avancement des connaissances horlogères au début du XIXe siècle et de l’engagement des horlogers à produire des instruments de haute qualité.
L’ensemble de la pendule, de par sa grandeur, sa dorure éclatante, et sa figure de Cérès, représente un hommage à la prospérité et à la fertilité. Cérès, dans la mythologie romaine, est la déesse qui préside aux moissons et à la fertilité des terres, symbolisant ainsi l’abondance et la générosité de la nature. Cette représentation est particulièrement appropriée pour une pendule, un objet qui, par essence, mesure le passage du temps, tout en évoquant la cyclicité des saisons et des récoltes.
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Très beau Bonheur-du-jour à système, milieu XIXe siècle en acajou
Parmi les meubles anciens, certains se distinguent par une beauté indéniable. Ce bonheur-du-jour à système du milieu du XIXe siècle en est un exemple remarquable. Ce bureau de dame, entièrement réalisé en acajou de Cuba massif et en placages, est un témoignage d’une élégance rare et d’un savoir-faire artisanal d’exception.
Le meuble est conçu autour d’un miroir biseauté central, flanqué de chaque côté par deux colonnes de quatre tiroirs chacune, surmontées d’un plateau de marbre. Les tiroirs, les montants, la ceinture et la galerie sont ornés de bronze doré finement ciselé, présentant des motifs en filets et draperies délicatement travaillés. Sous le miroir, un large tiroir central renforce la symétrie parfaite de ce meuble classique.
L’une des caractéristiques les plus remarquables de ce bonheur-du-jour est son plateau amovible. En le tirant, on découvre une élégante tablette d’écriture recouverte de tissus type velours de couleur moutarde. Ce geste déclenche un mécanisme ingénieux qui déverrouille simultanément le tiroir vitrine central et les deux tiroirs latéraux. Le motif central, riche en entrelacs, rappelle les goûts néogothiques et l’éclectisme naissant de l’époque. À gauche du bureau se trouve un encrier, tandis qu’à droite, on trouve une saupoudreuse.
La ceinture du meuble est ornée de fines draperies, créant une harmonie visuelle avec le plateau. Les pieds cannelés du bureau sont agrémentés de bronze doré et se terminent en pieds toupie. Le grand tiroir central, habilement divisé visuellement en trois sections, poursuit l’idée de symétrie inspirée du néoclassicisme. En tout, ce bureau de dame comporte dix tiroirs, tous en parfait état de fonctionnement.
Ce bonheur-du-jour ne se distingue pas seulement par son apparence, mais également par la complexité de son mécanisme. En effet, le système qui permet de déverrouiller les tiroirs est une merveille d’ingénierie du XIXe siècle, intégrant à la fois esthétique et fonctionnalité. La présence de ces tiroirs et de leurs mécanismes sophistiqués montre bien l’importance accordée à la praticité et à l’organisation, tout en restant fidèle à une ligne élégante et décorative.
Le miroir biseauté, central dans la conception du meuble, non seulement ajoute à son allure majestueuse, mais reflète également la lumière, illuminant ainsi l’ensemble de la pièce où il est placé. Le marbre du plateau ajoute une touche de luxe, complétant ainsi l’acajou et le bronze doré pour un effet visuel harmonieux.
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Alexandre Falguière (1831-1900) sculpture en bronze de Diane, déesse Romaine
Alexandre Falguière : Un Maître de la Sculpture Française
Alexandre Falguière, né Jean Alexandre Joseph Falguière le 7 septembre 1831 à Toulouse et décédé le 20 avril 1900 à Paris, est une figure emblématique de la sculpture française du XIXe siècle. Il a marqué son époque par son talent exceptionnel, son inventivité artistique et son influence durable sur les générations suivantes de sculpteurs.
Jeunesse et Formation
Falguière a grandi dans une famille modeste. Très tôt, il montre un intérêt marqué pour les arts. Son talent est rapidement remarqué, et il reçoit une bourse pour étudier à l’École des Beaux-Arts de Toulouse, où il se forme sous la direction de sculpteurs locaux. À 18 ans, il part pour Paris pour poursuivre sa formation à l’École des Beaux-Arts de Paris, une institution prestigieuse qui forme les plus grands artistes de l’époque.
En 1859, Falguière remporte le grand prix de Rome de sculpture pour son bas-relief « Méphistophélès apparaissant à Faust dans son cabinet ». Ce prix lui permet de séjourner à la Villa Médicis à Rome, où il s’imprègne de l’art classique et de la Renaissance italienne, influençant durablement son style. À son retour en France, il commence à exposer régulièrement au Salon, où ses œuvres attirent l’attention du public et des critiques.
En 1864, il réalise « Le Vainqueur au combat de coqs », une sculpture en bronze qui remporte un immense succès et le propulse au premier plan de la scène artistique. Cette œuvre, caractérisée par son dynamisme et sa précision anatomique, révèle son talent pour capter le mouvement et l’émotion.
Œuvres Majeures
Parmi ses œuvres les plus célèbres figure « Diane Chasseresse » (1882), une sculpture en bronze patiné représentant la déesse de la chasse, Diane, en buste. Cette œuvre, signée et portant le cachet du fondeur «Thiébaut Frères fondeurs Paris», est remarquable par sa finesse et son élégance. Falguière excelle dans l’art de rendre la beauté et la grâce féminine tout en respectant les canons classiques de la sculpture.
Enseignement et Influence
Au-delà de sa carrière de sculpteur, Falguière a joué un rôle crucial en tant qu’enseignant. En 1882, il devient professeur à l’École des Beaux-Arts de Paris, où il forme de nombreux élèves qui deviendront à leur tour des sculpteurs renommés. Son enseignement, basé sur une solide compréhension de l’anatomie et du mouvement, a influencé une génération entière d’artistes.
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Buste bronze de Eugène Rousseau représentant une élégante
650,00 €Cette belle statue en bronze représente un buste de femme élégante, signée par l’artiste Eugène Rousseau. Elle mesure 44 cm de hauteur et date du 19e siècle. La sculpture est notable pour sa patine brune, qui présente des reflets de brillance, ajoutant une profondeur et une richesse à la pièce.
Description de l’œuvre
Le buste montre une femme gracieuse et raffinée, caractéristique de l’époque romantique. Les détails minutieux de la coiffure et des vêtements révèlent une grande maîtrise technique. Les cheveux de la femme sont coiffés de manière complexe, avec des mèches élaborées qui encadrent son visage. Son expression sereine et ses yeux fermés ajoutent une sensation de calme et de contemplation à l’œuvre.
Signature et authenticité
La signature d’Eugène Rousseau est présente sur la statue, attestant de son authenticité. Rousseau, connu pour ses œuvres en bronze, était un artiste respecté au 19e siècle. Sa capacité à capturer l’essence et la beauté de ses sujets est bien illustrée dans cette sculpture.
Patine et esthétique
La patine brune de cette sculpture est particulièrement remarquable. Au fil du temps, la patine s’est développée, donnant à la pièce une brillance subtile qui accentue les détails sculpturaux. Cette patine est un signe de la qualité et de l’âge de la pièce, ajoutant à sa valeur historique et artistique.
Contexte historique
Le 19e siècle était une période de grande innovation et de changement dans l’art, avec l’émergence de styles tels que le romantisme et le réalisme. Les artistes de cette époque, comme Rousseau, étaient influencés par les idéaux de la beauté classique et la recherche de la perfection formelle. Les bustes, en particulier, étaient populaires car ils permettaient de capturer l’essence et le caractère des individus de manière intime et personnelle.
Importance de l’œuvre
Cette statue est non seulement un exemple de l’habileté technique de Rousseau, mais aussi un reflet des valeurs esthétiques de son époque. Le buste de femme qu’il a créé représente une combinaison de grâce, de beauté et de tranquillité, caractéristiques prisées dans l’art du 19e siècle. La finesse des détails et la qualité de la patine font de cette pièce un ajout précieux à toute collection d’art ou musée.
En somme, ce buste en bronze signé Eugène Rousseau est une œuvre d’art magnifique et raffinée. La qualité de la patine, la précision des détails et l’élégance générale de la sculpture en font un exemple remarquable de l’art du 19e siècle.
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Rare grande tasse couverte en porcelaine Allemande Berlin KPM XIXe
La pièce en question est une superbe tasse couverte en porcelaine allemande, fabriquée à Berlin par la célèbre Manufacture royale de porcelaine, plus connue sous l’acronyme KPM (Konigliche Porzellan Manufaktur Berlin). Datant approximativement de la période 1820-1840, cette tasse représente une véritable œuvre d’art de son époque.
Le paysage représenté sur cette tasse transporte l’observateur dans une ambiance paisible et nostalgique. Le pont, symbole de passage et de connexion, est magnifiquement dessiné, et les ruines ajoutent une touche de mystère et de romantisme. Ce genre de décor était très apprécié à l’époque, car il évoquait à la fois la beauté de la nature et les vestiges du passé.
La tasse elle-même est d’une élégance indéniable. Sa forme est gracieuse et équilibrée, avec des lignes fluides et harmonieuses. Le couvercle assorti ajoute non seulement à la fonctionnalité de la pièce, mais aussi à son esthétique globale. La dorure qui orne la tasse et son couvercle apporte une touche de luxe et de sophistication supplémentaire. Bien que la pièce soit en très bon état général, il convient de noter un léger manque de dorure sur le couvercle, signe discret du passage du temps mais n’altérant en rien la beauté et la valeur de l’objet.
La Manufacture royale de porcelaine de Berlin, fondée en 1763 sous les auspices du roi Frédéric II de Prusse, a toujours été synonyme de qualité et de perfection dans le domaine de la porcelaine. Les pièces produites par KPM sont prisées des collectionneurs du monde entier pour leur beauté, leur finesse et leur durabilité. La manufacture a su maintenir des standards de production élevés, alliant tradition et innovation pour créer des pièces uniques et précieuses.
La porcelaine de Berlin, réputée pour sa qualité exceptionnelle et son raffinement, est ici parfaitement illustrée. La tasse arbore une signature distinctive avec le sceptre bleu, une marque de fabrique de KPM, garantissant son authenticité et son origine prestigieuse. Le sceau du sceptre bleu est un symbole de la qualité et de l’excellence des productions de la manufacture royale.
Le décor de cette tasse est particulièrement remarquable. Elle présente un paysage lacustre pittoresque, mettant en scène un pont et de vieilles ruines. Le choix du motif témoigne d’un goût prononcé pour les scènes romantiques et idylliques, très en vogue au début du XIXe siècle. Les détails du décor sont finement exécutés, chaque élément étant peint avec une grande précision et une délicatesse qui reflètent le savoir-faire des artisans de KPM.
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Joseph d’Aste, superbe statue de l’enfant Bacchus en marbre blanc
2200,00 €Une Œuvre Magnifique : L’Enfant Bacchus de Joseph d’Aste
Introduction
La sculpture de l’Enfant Bacchus, une œuvre en marbre blanc signée par Joseph d’Aste, est une pièce exceptionnelle qui attire l’œil par sa beauté et sa finesse. Né en 1181 et décédé en 1945, d’Aste a laissé derrière lui un héritage artistique impressionnant, et cette sculpture en est un témoignage remarquable. Haute de 51 cm, elle repose sur un socle aux teintes éclatantes de jaune, bordeaux et blanc, ajoutant une touche de vivacité et de contraste à la pureté du marbre.
Description de l’Œuvre
La sculpture représente Bacchus enfant, le dieu romain du vin et des festivités, avec une expressivité et une vivacité qui captivent immédiatement l’observateur. Dans une main, l’enfant Bacchus tient une coupe, symbole de célébration et de délices dionysiaques. Dans l’autre main, il tient son vêtement délicatement drapé, qui porte une grappe de raisin, emblème de l’abondance et de la fertilité.
Détails du Socle
Le socle de la sculpture, avec ses couleurs mouchetées de jaune, de bordeaux et de blanc, offre un contraste saisissant avec le marbre blanc immaculé de la statue. Les nuances vives du socle rehaussent l’éclat et la délicatesse de la figure en marbre, tout en apportant une dimension supplémentaire à l’ensemble de l’œuvre. Cette base soigneusement choisie et colorée semble souligner l’importance de la sculpture tout en la mettant subtilement en valeur.
Expression et Posture
L’expression du jeune Bacchus est d’une douceur et d’une innocence désarmantes, capturant parfaitement la joie insouciante de l’enfance divine. Sa posture, à la fois gracieuse et naturelle, témoigne de la maîtrise de d’Aste dans le rendu des formes humaines et de la vitalité. Chaque détail, des boucles de ses cheveux aux plis de son vêtement, est exécuté avec une précision minutieuse, révélant le talent exceptionnel de l’artiste.
Signification Symbolique
L’Enfant Bacchus, tenant une coupe et des raisins, symbolise la jeunesse, la vitalité et l’abondance. Cette représentation d’un dieu souvent associé à l’excès et à la joie de vivre, mais ici en version enfantine, offre une interprétation fraîche et touchante de la mythologie classique. Elle rappelle également l’importance de la nature et des cycles de croissance, des thèmes chers à d’Aste et souvent présents dans ses œuvres.
L’Héritage de Joseph d’Aste
Joseph d’Aste, dont la vie s’étend sur plusieurs siècles, a su marier tradition et innovation dans ses créations.
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Paire de statues en marbre de Carrare, les baigneuses, d’après Falconet
Les sculptures en marbre de Carrare, d’une hauteur de 42 cm, représentent deux baigneuses inspirées des œuvres d’Étienne-Maurice Falconet. Elles incarnent l’élégance et la délicatesse du style rococo du XVIIIe siècle. Ces sculptures rappellent fortement la célèbre statue de Falconet, « Nymphe qui descend au bain » ou « La Baigneuse », présentée au Salon de 1757 et aujourd’hui exposée au Louvre.
Ces sculptures sont d’une pureté et d’une finesse remarquables, réalisées en marbre blanc de Carrare, un matériau prisé pour sa texture lisse et son éclat lumineux. Chaque détail est minutieusement sculpté, des traits du visage de la jeune fille à la courbe gracieuse de son corps. La statue représente une jeune femme nue, saisie dans un moment de douceur et d’intimité, alors qu’elle s’apprête à tester la température de l’eau avec son pied délicat. Sa posture est à la fois naturelle et empreinte de sensualité, caractéristique des œuvres de Falconet.
La main de la baigneuse repose légèrement sur une souche d’arbre enveloppée de feuillage, ajoutant une touche de nature à la scène et servant de point d’appui à la figure gracile. Ce détail accentue l’harmonie entre l’être humain et son environnement. La robe, entrelacée autour de sa cuisse, semble glisser doucement, suggérant le mouvement et la fluidité, un autre hommage à la maîtrise technique de Falconet.
Ces sculptures ne sont pas seulement des reproductions fidèles de l’œuvre originale, mais elles capturent également l’esprit du rococo, avec son accent sur l’intimité, la nature et la beauté féminine. La précision des détails, comme les plis de la robe, la texture de la peau et l’expression douce du visage, montrent le haut niveau de compétence des sculpteurs qui ont recréé ces œuvres. Chaque sculpture respire la grâce et la sensualité, créant une impression de légèreté et de douceur.
L’originalité et la rareté de ces sculptures en font des pièces particulièrement recherchées par les collectionneurs et les amateurs d’art. Il est rare de trouver ces sculptures vendues en paire, car elles sont souvent proposées à la pièce. Posséder une paire de ces œuvres permet d’apprécier pleinement l’équilibre et la symétrie qui sont si caractéristiques de l’art classique et rococo.
La qualité du marbre de Carrare ajoute une dimension supplémentaire à ces sculptures. Connue pour sa durabilité et son éclat, cette pierre a été utilisée par certains des plus grands sculpteurs de l’histoire, y compris Michel-Ange. Le choix de ce matériau pour recréer les baigneuses de Falconet témoigne du soin apporté à chaque aspect de ces œuvres.
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Glaneuse, importante sculpture en bronze de Henri Godet
850,00 €Henri Godet (1853-1937) est un sculpteur français de renom, élève de Mathurin Moreau, un autre sculpteur célèbre de la même époque. Godet a commencé à exposer ses œuvres au prestigieux Salon des Artistes Français à partir de 1883, où il a progressivement gagné en notoriété grâce à son talent et à son style distinctif. Sa maîtrise du bronze et sa capacité à capturer des scènes de la vie quotidienne avec une précision et une sensibilité exceptionnelles sont particulièrement remarquables.
L’une de ses œuvres notables est une sculpture en bronze représentant une glaneuse. Cette sculpture, de taille importante (58 cm), incarne la représentation réaliste et émotive de la vie rurale à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. La glaneuse, une figure symbolique de l’époque, représente les femmes qui, après la moisson, ramassaient les épis de blé oubliés pour subvenir aux besoins de leur famille. Cette scène humble et quotidienne est élevée à une forme d’art noble par Godet.
Le bronze est un matériau de prédilection pour les sculpteurs de cette époque en raison de sa durabilité et de sa capacité à rendre des détails fins. La sculpture de Godet ne fait pas exception. Elle est marquée par une patine brun foncé, une technique qui non seulement protège le métal mais ajoute également une profondeur visuelle à l’œuvre. La patine brun foncé confère à la sculpture une certaine gravité et une qualité intemporelle, renforçant ainsi l’impact visuel de la scène représentée.
Sur cette sculpture, on trouve le cachet de la pastille ‘Bronze Garanti’, ce qui atteste de l’authenticité et de la qualité de l’œuvre. Ce cachet, bien que légèrement visible, est un signe de la vérification et de l’assurance de la qualité dans le processus de fonderie. De plus, la sculpture est numérotée, ce qui indique qu’il s’agit probablement d’une édition limitée, augmentant ainsi sa valeur pour les collectionneurs.
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Porteur d’eau Tunisien par Jean Didier Debut (1824-1893)
900,00 €Porteur d’eau Tunisien par Jean Didier Debut (1824-1893) est une sculpture orientaliste en bronze qui illustre parfaitement le goût du XIXe siècle pour l’exotisme et l’art détaillé. Cette œuvre mesure 32 cm sans son socle en marbre, qui ajoute 4 cm de hauteur et mesure 15 cm de largeur, offrant ainsi une stabilité optimale et un équilibre visuel harmonieux.
Jean Didier Debut, sculpteur français renommé, a su capturer l’essence de la vie quotidienne en Tunisie à travers cette représentation du porteur d’eau. Cette figure emblématique transporte des récipients d’eau, une scène courante dans les rues animées de la Tunisie de l’époque. Le porteur d’eau est vêtu de manière traditionnelle, ses vêtements finement sculptés révélant une attention méticuleuse aux détails et aux textures. Cette minutie permet de percevoir les plis du tissu, la musculature du porteur et même les expressions subtiles de son visage, ajoutant une dimension de réalisme et d’authenticité à l’œuvre.
Le bronze, matériau de choix pour Debut, permet une restitution fidèle des détails les plus fins et offre une durabilité qui traverse les âges. Le socle en marbre, non seulement améliore la présentation de la sculpture, mais apporte également une touche de sophistication et de noblesse. Le contraste entre la texture lisse et froide du marbre et la chaleur patinée du bronze crée un effet visuel saisissant, rehaussant la beauté de l’œuvre.
L’œuvre de Debut s’inscrit dans le mouvement orientaliste, qui a connu une grande popularité au XIXe siècle en Europe. Ce mouvement artistique et littéraire se caractérisait par une fascination pour les cultures et les paysages de l’Orient, souvent idéalisés et romancés. Les artistes orientalistes, tels que Debut, cherchaient à capturer et à transmettre l’exotisme et le mystère de ces contrées lointaines à travers leurs créations. La sculpture Porteur d’eau Tunisien témoigne de cet engouement pour l’Orient, offrant une vision à la fois poétique et réaliste de la vie en Afrique du Nord.
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Buffet de chasse style Bressan, dessus marbre, XIXe siècle
1800,00 €Buffet Type de Chasse de Style Bressan
Ce magnifique buffet type de chasse, d’une élégance indéniable, est un parfait exemple de l’artisanat Bressan de la première partie du XIXe siècle. Caractérisé par sa structure en bois massif, ce meuble combine à la fois robustesse et raffinement, deux qualités essentielles des pièces d’époque. La beauté de ce buffet est accentuée par son dessus en marbre rouge royal, apportant une touche de luxe et de distinction à l’ensemble.
Description et Style
Le style Bressan, typique de la région de la Bresse, est reconnu pour son utilité pratique associée à une esthétique soignée. Ce buffet n’échappe pas à cette règle. Il s’ouvre par deux portes en façade, ornées de motifs sculptés qui rappellent la richesse des bois utilisés et l’habileté des ébénistes de l’époque. Les deux tiroirs situés au-dessus des portes ajoutent à la fonctionnalité du meuble, permettant un rangement discret mais efficace pour divers ustensiles de chasse ou autres objets précieux.
Les boiseries, soigneusement travaillées, montrent une patine qui témoigne du passage du temps, conférant à ce meuble une authenticité et une histoire palpable. Le bois, de chêne, est magnifiquement veiné, et sa teinte chaleureuse crée une ambiance accueillante et noble.
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Lampe à décor de personnages à l’antique en marbre et bronze XIXe
1350,00 €La lampe ancienne du XIXe siècle est une pièce d’exception alliant art et fonctionnalité, caractéristique du style raffiné de cette époque. Elle présente un décor sophistiqué mettant en scène deux personnages antiques, chacun tenant dans leurs mains des urnes magnifiquement décorées. Le dessus des urnes est orné d’émaux cloisonnés, technique artisanale consistant à séparer les différentes zones de couleur par des cloisons en métal, offrant un rendu visuel particulièrement riche et coloré.
Les personnages, réalisés en bronze à patine brune, témoignent du savoir-faire des artisans de l’époque. La patine brune, obtenue par l’application de divers produits chimiques sur le bronze chauffé, confère aux personnages une profondeur et une texture qui accentuent les détails de leur réalisation. Ces figures, habilement sculptées, évoquent la grandeur de l’Antiquité, période souvent revisitée par les artistes du XIXe siècle.
Le socle de la lampe est en marbre portor vert, un matériau précieux reconnu pour sa beauté et sa durabilité. Le marbre portor, avec ses veines dorées sur fond vert profond, apporte une touche de luxe et d’élégance. Ce socle massif, d’une épaisseur de 4,2 cm, assure une stabilité parfaite à la lampe tout en rehaussant son aspect esthétique. Les veines dorées du marbre créent un contraste subtil mais élégant avec les figures en bronze, unissant harmonieusement les différents éléments de la lampe.
La tulipe cache ampoule, en verre de couleur marmoréen, est signée Muller Frères à Lunéville, réputés pour leur maîtrise de l’art verrier. Ce choix de matériau et de fabricant ajoute une dimension supplémentaire de sophistication. Le verre marmoréen, avec ses nuances délicates et son effet de marbrure, diffuse une lumière douce et chaleureuse, créant une ambiance agréable et intimiste. La signature Muller Frères garantit l’authenticité et la qualité de cette pièce, associée aux créations de verrerie de haute gamme.
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Imposante garniture de cheminée XIXe en bronze de Moreau
Description de la garniture de cheminée
La garniture de cheminée est une pièce exceptionnelle comprenant une pendule en bronze patiné et une paire de candélabres assortis. Cette garniture se distingue par la richesse de ses détails et son exécution raffinée, signée par Mathurin Moreau, célèbre sculpteur français du XIXe siècle, né en 1822 et décédé en 1912.
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Sculpture « Mephistopheles » par Alfredo Morelli en marbre et bronze
7500,00 €Sculpture : Tête d’homme ou le Diable par Alfredo Morelli
La sculpture en question est une œuvre intrigante et complexe réalisée par l’artiste Alfredo Morelli, actif à Florence au XIXe siècle. Elle représente une tête d’homme ou peut-être le visage du diable, une dualité qui invite à la réflexion sur la nature humaine et le mal. L’œuvre est composée de plusieurs matériaux : le visage est en bronze, le capuchon en marbre rouge, et les yeux sont en verre de couleur rouge, ajoutant une dimension inquiétante et mystique à la pièce. La sculpture repose sur un socle en marbre noir chiné, de forme trapézoïdale, qui confère à l’ensemble une stabilité visuelle et physique tout en accentuant l’élégance de la composition.
L’œuvre porte la signature gravée « Morelli – Florence » au dos, ainsi qu’un titre. Alfredo Morelli est un sculpteur reconnu pour son travail méticuleux et expressif. Il a étudié à l’Institut d’Art de Florence, un établissement prestigieux où il a perfectionné son art et acquis les compétences nécessaires pour créer des œuvres d’une grande qualité technique et esthétique.
En 1885, alors qu’il est encore étudiant, Morelli participe aux expositions d’Anvers et de Haarlem, où il obtient une mention, soulignant déjà la reconnaissance de son talent par la critique internationale. Cette participation à des événements artistiques de renom témoigne de son engagement dans le monde de l’art et de son désir de se mesurer aux autres artistes de son époque.
En 1898, Morelli prend part au deuxième concours pour la création d’un monument dédié à Rossini à Santa Croce, à Florence. Bien que les détails sur l’issue de ce concours ne soient pas précisés, sa participation démontre son implication continue dans des projets ambitieux et prestigieux. Le concours pour le monument à Rossini aurait été une excellente plateforme pour exhiber son talent et son sens de la monumentalité.
Pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur Alfredo Morelli et son œuvre, plusieurs références bibliographiques sont disponibles. Parmi elles, le livre de Sissi publié en 1989, les travaux de Capelli et Soldani de 1994, ainsi que l’ouvrage de Panzetta de la même année. Ces textes offrent un éclairage précieux sur la carrière et les œuvres de Morelli, fournissant un contexte historique et artistique essentiel à la compréhension de sa contribution au monde de la sculpture.
Les dimensions de cette sculpture sont également notables : elle mesure 42 cm de hauteur, une taille qui la rend imposante et remarquablement détaillée pour une sculpture de cette nature. Les matériaux utilisés — bronze, marbre rouge et noir, et verre rouge — sont choisis avec soin pour créer une harmonie visuelle et tactile, tout en évoquant des sensations variées. Le contraste entre le bronze et le marbre, ainsi que la vive couleur des yeux en verre, attire et retient l’attention du spectateur, suscitant une réflexion sur les thèmes de la dualité et de l’apparence.
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Alexandre Thomas FRANCIA, huile sur toile à thème marin avec voiliers
400,00 €« Alexandre Thomas » pourrait être le nom d’un artiste français du XIXe siècle, mais sans plus de détails, il est difficile de donner une description précise de son œuvre. Cependant, en supposant qu’il s’agisse d’un peintre du 19e siècle, voici une présentation générale qui pourrait convenir à votre demande :
L’œuvre intitulée « Francia » semble incarner l’esprit de la marine française du XIXe siècle, capturant la majesté des voiliers et la vie animée le long des côtes. Cette huile sur toile offre un paysage maritime vivant, où les voiliers naviguent gracieusement sur les eaux, accompagnés d’une barque ornée de deux figures humaines.
Au cœur de cette composition, les voiliers se dressent fièrement, leurs voiles gonflées par le vent, évoquant un sentiment de liberté et d’aventure propre à l’époque des grandes découvertes maritimes. La lumière joue un rôle crucial dans la mise en valeur de chaque détail, baignant la scène dans une atmosphère chaleureuse et enveloppante. Les nuances de bleu et de vert évoquent la profondeur et la variété des eaux, tandis que les touches de blanc captent la lumière du soleil qui se reflète sur les vagues.
Au premier plan, une barque traditionnelle occupe une place centrale, transportant deux personnages dont les activités restent sujettes à interprétation. Peut-être s’agit-il de pêcheurs rentrant de leur journée en mer ou de navigateurs discutant des prochaines destinations à explorer. Leur présence ajoute une dimension humaine à la scène, invitant le spectateur à s’immerger davantage dans cet univers maritime.
En arrière-plan, des habitations côtières se dessinent, témoignant de la vie quotidienne des communautés riveraines. Ces maisons pittoresques évoquent un sentiment de familiarité et de chaleur, contrastant avec l’immensité de l’océan qui s’étend à perte de vue.
La signature discrète en bas à gauche de la toile atteste de l’authenticité de l’œuvre et de son attribution à Alexandre Thomas Francia, un artiste qui pourrait être associé à la tradition picturale française du XIXe siècle.
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Edouard John E. RAVEL est un artiste né en Suisse en 1847 et mort en 1920, HST scène de taverne
650,00 €Edouard John E. Ravel est un artiste suisse né en 1847 et décédé en 1920, dont l’œuvre évoque souvent des scènes de la vie quotidienne, souvent empreintes de réalisme et d’un soupçon de satire sociale. L’une de ses pièces les plus remarquables est une huile sur toile captivante représentant une scène de taverne, un instantané de la vie nocturne animée de l’époque. Cette œuvre, avec ses deux personnages tenant des verres de vin, l’un assis sur une chaise et l’autre sur un tonneau, capture l’ambiance et l’esprit de l’époque de manière saisissante.
La composition de l’œuvre de Ravel est remarquablement dynamique, avec une disposition des personnages qui crée un contraste visuel intéressant. Le choix de placer un personnage sur une chaise et l’autre sur un tonneau souligne également les différences sociales ou peut-être même symbolise l’idée que l’alcool peut affecter les individus de toutes les couches de la société. Les expressions des personnages, avec leur air bien alcoolisé, ajoutent une touche de réalisme et de comédie à la scène, invitant le spectateur à s’immerger dans l’atmosphère de la taverne.
L’utilisation de la lumière et de l’ombre dans cette œuvre est également remarquable. Ravel parvient à capturer l’éclairage tamisé et chaleureux des tavernes de l’époque, créant ainsi une atmosphère accueillante et intime. Les reflets dorés de la lumière sur les verres et l’encadrement en bois doré ajoutent une touche de luxe à la scène, tout en renforçant le contraste avec la pénombre environnante.
L’encadrement en bois doré, mentionné dans la description de l’œuvre, joue un rôle important dans la présentation de celle-ci. Il encadre la scène de manière élégante, ajoutant une touche de sophistication et mettant en valeur le travail de l’artiste. De plus, il renforce le lien entre l’œuvre et son époque, évoquant le style décoratif caractéristique de la fin du XIXe siècle.
En examinant cette œuvre, on peut également envisager les thèmes plus larges qu’elle aborde. La représentation de la consommation d’alcool et de ses effets peut être interprétée comme une réflexion sur les excès de la société de l’époque, ou même comme une critique subtile des inégalités sociales. De plus, la scène de la taverne peut être vue comme un microcosme de la vie urbaine et de ses interactions sociales, offrant ainsi un aperçu fascinant de la vie quotidienne à cette époque.
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Huile sur toile XIXe représentant un gentilhomme assis dans un fauteuil et portant des décorations.
380,00 €Le tableau en question est une pièce fascinante de l’art du XIXe siècle, capturant l’image d’un homme distingué, assis avec une aura de dignité dans un fauteuil. L’œuvre, une huile sur toile, semble avoir traversé les décennies avec grâce, conservant son éclat et sa signification au fil du temps.
Au centre de la composition se trouve le protagoniste, un gentilhomme d’âge mûr dont les cheveux grisonnants suggèrent une expérience et une sagesse accumulées au fil des ans. Son visage, sculpté par les ombres et les lumières, semble refléter une vie pleine d’histoires et de souvenirs. Son regard, bien que calme, dégage une certaine intensité, peut-être témoignage de son passé militaire, comme le suggèrent les médailles fièrement affichées sur sa veste noire.
La tenue du gentilhomme est sobre et élégante, typique de l’élite de l’époque. Il est vêtu de noir, accentuant son air de dignité et de sérieux, tandis qu’une chemise blanche impeccable apporte une touche de luminosité à son apparence. Chaque détail de sa tenue semble être choisi avec soin, renforçant son statut social et son autorité.
Le cadre qui entoure la toile est tout aussi remarquable que son contenu. Fabriqué à partir de bois doré, il porte les marques du temps passé, avec des traces d’usure qui témoignent de son ancienneté. Les fissures et les imperfections ajoutent une dimension supplémentaire à l’œuvre, évoquant une histoire riche et complexe qui dépasse le simple cadre de la peinture.
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Pendule borne en bronze doré style Empire Charles X, début XIXe siècle
450,00 €La pendule borne de style Empire Charles X, datant de la période 1824-1830, est une pièce d’une élégance intemporelle, incarnant le raffinement et le savoir-faire artisanal caractéristiques de l’époque. Réalisée en bronze doré, cette pendule est une véritable œuvre d’art, symbole de l’opulence et du goût artistique qui ont marqué le début du XIXe siècle.
Au sommet de la pendule se trouve une vasque à anses, ajoutant une touche de majesté à son design. Délicatement ornée d’un tore de laurier et de fleurettes, elle témoigne du souci du détail et de l’esthétique propre au style Empire. Ces motifs, emblématiques de l’époque, évoquent la grandeur de l’Antiquité et la gloire de l’Empire romain, des thèmes qui étaient chers aux artistes et artisans de cette période.
Le mouvement à fil qui anime cette pendule est une prouesse technique pour l’époque, témoignant de l’ingéniosité des horlogers de l’époque. Ce type de mouvement, caractérisé par sa précision et sa fiabilité, était très prisé à l’époque et était souvent utilisé dans les horloges de prestige.
Le cadran de la pendule, bien que partiellement effacé par le passage du temps, conserve tout son charme et sa beauté. Indiquant les heures en chiffres romains, il évoque l’élégance classique et intemporelle qui caractérise le style Empire. Malgré son aspect patiné, le cadran continue de témoigner de la richesse de l’histoire de cette pendule et de son importance dans le contexte de l’art et de l’horlogerie du XIXe siècle.
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Lampe de bureau art nouveau en bronze massif doré, tulipe en pâte de verre signé Muller Frères
La lampe de bureau ou de commode en bronze doré massif est une pièce exquise qui incarne l’élégance intemporelle et l’artisanat méticuleux du début du XXe siècle. Cette lampe, avec son design raffiné et son esthétique Art Nouveau, est une fusion parfaite de fonctionnalité et de beauté artistique. D’une hauteur imposante, elle attire immédiatement le regard avec son piédestal richement orné de motifs de feuillage finement ciselés, créant une harmonieuse symphonie de formes organiques et de lignes fluides.
Le bronze doré, utilisé avec habileté par les artisans de l’époque de la fin du XIXe siècle, confère à cette lampe une aura de luxe et de sophistication. Ce matériau noble, par sa finition dorée, crée un contraste saisissant avec la tulipe en pâte de verre qui surmonte la douille. Cette tulipe, signée Muller Frères, est une œuvre d’art en elle-même. La transparence délicate du verre combinée aux nuances subtiles de couleur crée un jeu de lumière envoûtant lorsqu’elle est illuminée, ajoutant une touche de magie à l’espace environnant.
Le bras en arc de la lampe, typique du style Art Nouveau, est à la fois fonctionnel et esthétique. Sa courbe gracieuse évoque le mouvement fluide de la nature, tandis que la tête de la douille est orientable, permettant ainsi de diriger la lumière selon les besoins. Cette fonctionnalité témoigne de l’ingéniosité des concepteurs de l’époque, qui ont su marier l’esthétique à la praticité avec une finesse incomparable.
L’ensemble de la lampe dégage une aura de romantisme et de mystère, transportant les observateurs dans une époque révolue où l’art et l’artisanat étaient célébrés avec passion. Chaque détail, qu’il s’agisse des motifs floraux délicats du piédestal ou des lignes élégantes du bras de la lampe, témoigne du savoir-faire exceptionnel des artisans qui l’ont créée.
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Très belle petite boîte à musique en laiton et tôle émaillée
Imaginez-vous entrer dans une petite boutique antique, l’odeur douce et familière du bois vieilli et de la poussière flottant dans l’air. Vos yeux se posent sur une magnifique boîte à musique ancienne, éblouissante dans sa simplicité et son élégance. Fabriquée à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle dans le style Art Nouveau, elle dégage une aura de charme intemporel.
La boîte à musique est en laiton doré, avec une patine délicate qui témoigne de son âge et de son histoire. Ses dimensions modestes de 9,8 cm de longueur, 8 cm de largeur et 4 cm de hauteur lui confèrent une présence discrète mais néanmoins captivante. Le couvercle bombé ajoute une touche de sophistication à son design déjà remarquable.
Mais ce qui rend cette boîte à musique vraiment spéciale, c’est la miniature en tôle peinte et émaillée qui orne son centre. Une jeune élégante, vue de profil, est représentée avec une finesse exquise. Sa silhouette gracieuse et ses traits délicats sont capturés dans les moindres détails, témoignant du talent et du savoir-faire des artisans qui l’ont créée.
Lorsque vous ouvrez la boîte, le doux tintement de la musique résonne dans l’air, un rappel enchanté d’une époque révolue. La mécanique est en parfait état de fonctionnement, produisant une mélodie enchanteresse qui transporte l’esprit vers des temps plus simples et plus romantiques.
Bien sûr, après tant d’années d’utilisation et d’amour, la boîte à musique porte quelques marques du temps. Des signes d’âge et d’usure, des éraflures et des petites imperfections qui ajoutent à son charme vintage. Ces marques racontent une histoire, une histoire de moments partagés et de souvenirs chéris.
Cette boîte à musique ancienne est bien plus qu’un simple objet décoratif.
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Armoire Normande en chêne joliment sculpté du XIXe siècle
650,00 €L’armoire normande du XIXe siècle incarne une pièce de mobilier emblématique de l’artisanat et du design français de cette époque. Taillée dans le robuste chêne, cette armoire sculptée présente une esthétique remarquable et une qualité de fabrication qui témoignent du savoir-faire traditionnel transmis de génération en génération.
Dès le premier regard, l’œil est captivé par la finesse des détails sculptés qui ornent chaque centimètre de cette pièce. Sur la traverse supérieure, un motif délicat de panier fleuri évoque la nature dans toute sa splendeur. Les artisans qui ont façonné cette armoire ont su capturer la beauté éphémère des fleurs dans un élan de pérennité, conférant ainsi à cette pièce une élégance intemporelle.
Les portes de l’armoire sont encadrées par un entourage sculpté de la monnaie du pape, un motif botanique classique qui ajoute une subtile touche de sophistication à l’ensemble. Ce choix de décor témoigne non seulement du goût esthétique de l’époque, mais aussi de l’attachement à la nature et à ses symboles.
La corniche droite qui couronne l’armoire confère une majesté supplémentaire à l’ensemble, tandis que les pieds en forme de coquilles apportent une note de fantaisie et d’originalité. Ces détails architecturaux soulignent le caractère unique de cette pièce et en font un exemple exceptionnel du style normand du XIXe siècle.
À l’intérieur, des étagères offrent un espace généreux pour ranger et organiser les vêtements, la vaisselle ou tout autre objet précieux.
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Antoine Louis Barye, bel éléphant en bronze a patine brune et verdâtre, XIXe siècle
L’éléphant de Barye en bronze à patine brune est une œuvre emblématique de l’artiste français Antoine-Louis Barye, un sculpteur du XIXe siècle célèbre pour ses représentations animalières. Cette pièce magnifique, avec ses dimensions imposantes et sa patine caractéristique, incarne à la fois la force majestueuse de l’éléphant et le talent artistique exceptionnel de Barye.
Antoine-Louis Barye, né en 1795, était un sculpteur renommé de son époque, reconnu pour sa capacité à capturer la vitalité et la grâce des animaux dans ses œuvres. L’éléphant de Barye est l’une de ses créations les plus célèbres, réalisée avec un souci méticuleux du détail et une compréhension profonde de l’anatomie de l’éléphant.
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Ours couché en bronze massif a patine brune, signé de Barye
L’ours couché de Barye en bronze à patine brune est une œuvre d’art qui incarne la majesté et la force de la nature capturée dans un matériau durable et noble. Créé par le célèbre sculpteur français Antoine-Louis Barye au 19e siècle, cet ours couché est un exemple éloquent de son talent pour représenter la vie sauvage avec un réalisme saisissant.
Antoine-Louis Barye, né en 1795, était un sculpteur renommé de son époque, reconnu pour son habileté à capturer l’anatomie et le mouvement des animaux dans ses œuvres. Son intérêt pour la zoologie et ses études approfondies des animaux sauvages ont influencé son travail, lui permettant de créer des sculptures qui semblent prendre vie sous ses mains expertes.
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Très belle et ancienne armoire de mariage Normande en chêne massif XIXe siècles
1200,00 €Dans les sombres recoins de l’histoire, où le passé et l’artisanat se marient pour créer des pièces d’une beauté intemporelle, repose une armoire de mariage normande en chêne massif doré, témoin silencieux du XIXe siècle. Chaque trait, chaque courbe sculptée raconte une histoire, une époque où le mariage de l’art et de la fonctionnalité donnait naissance à des chefs-d’œuvre d’une splendeur inégalée.
Au premier regard, l’armoire se dresse majestueusement, une sentinelle de l’histoire, avec ses lignes généreuses et ses détails finement travaillés. Le chêne massif doré, patiné par le temps, ajoute une aura de noblesse à cette pièce remarquable. Mais ce n’est qu’un avant-goût de la richesse qui se cache dans ses moindres recoins.
Au sommet trône un bouquet de fleurs sculpté, une déclaration éternelle de romance et de fécondité, rappelant la célébration de l’amour qui a donné naissance à cette pièce. Chaque pétale, chaque feuille semble figé dans le temps, capturant l’essence même de la nature dans toute sa splendeur.
Mais ce n’est pas seulement l’amour qui est célébré ici ; l’armoire regorge de symboles de la vie rurale normande. Des attributs de chasse sont finement intégrés dans le bois, témoignant de la passion pour la nature et la tradition. Des paysans vaquent à leurs occupations quotidiennes, immortalisés dans des détails minutieux, rappelant la simplicité et la beauté de la vie à la campagne.
La corniche à chapeau de gendarme couronne l’armoire avec élégance, ajoutant une touche de grandeur à son allure imposante. Chaque détail, chaque motif semble avoir été façonné avec une précision méticuleuse, témoignant du savoir-faire inégalé des artisans qui ont donné vie à cette œuvre d’art.
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Belle vitrine ancienne vers 1900, en noyer massif de style Louis XVI
La vitrine que je vais décrire incarne l’essence même du style Louis XVI, avec son élégance intemporelle et ses détails raffinés. Fabriquée vers 1900 en noyer massif, elle est un témoignage exquis du savoir-faire artisanal de l’époque. Chaque élément de cette pièce respire le luxe et la sophistication.
Dès le premier regard, on est captivé par la beauté de sa structure. Les lignes droites et équilibrées, caractéristiques du style Louis XVI, confèrent à la vitrine une harmonie parfaite. Le noyer massif utilisé pour sa construction offre une richesse visuelle incomparable, avec ses nuances chaudes et ses veinures délicates qui ajoutent une profondeur fascinante à l’ensemble.
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Sculpture en Bronze de Barye représentant le lion et l’antilope
2400,00 €La sculpture de Barye représentant un lion et une antilope est un chef-d’œuvre emblématique de l’art animalier du XIXe siècle.
Créée par Antoine-Louis Barye, un sculpteur français renommé,
cette œuvre incarne la fascination de l’époque pour la représentation naturaliste des animaux et la maîtrise technique de l’artiste.
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Théodore-Joseph-Napoléon Jacques, dit Napoléon Jacques ( 1804-1876) marchand de poissons
La sculpture de Théodore-Joseph-Napoléon Jacques, surnommé Napoléon Jacques, est une pièce remarquable qui incarne à la fois le talent artistique et l’artisanat exceptionnel de ce sculpteur français du XIXe siècle. Né le 12 mai 1804 à Paris et décédé le 28 mars 1876, Napoléon Jacques a laissé un héritage durable dans le domaine de la sculpture, avec des œuvres qui continuent de susciter l’admiration et l’intérêt des amateurs d’art et des collectionneurs.
Cette sculpture en bronze doré représente un marchand de poissons, capturant un instant de la vie quotidienne dans une composition figée dans le temps. La qualité de l’exécution est superbe, témoignant du savoir-faire et de la maîtrise technique de l’artiste. Chaque détail est minutieusement travaillé, depuis les expressions du visage jusqu’aux plis des vêtements, en passant par la texture réaliste des poissons eux-mêmes.
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Paire de candélabres chandeliers bougeoirs en bronze doré au mercure XIXe siècle
Dans l’éclatante ambiance des fêtes et des rassemblements distingués du XIXe siècle, ces candélabres majestueux se dressent comme des témoins intemporels du raffinement et de l’opulence. Fabriqués à partir de bronze massif et dorés au mercure, ils portent l’héritage d’une époque où l’artisanat atteignait des sommets de perfection et où la beauté était une exigence.
Chaque détail de ces pièces exquises est un hommage à l’art et à l’esthétique de leur époque. Leurs lignes élégantes, leurs volutes gracieuses et leur décor orné d’oiseaux évoquent un sentiment de grâce et d’harmonie. Ces candélabres ne sont pas simplement des objets fonctionnels, mais des œuvres d’art en elles-mêmes, capturant l’essence de leur époque avec une finesse remarquable.
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Grand médaillon en bronze représentant Jeanne d’Arc, par Henri CHAPU / Barbedienne
650,00 €Le médaillon représentant Jeanne d’Arc, conçu par le talentueux sculpteur Henri Chapu en collaboration avec le fondeur renommé Ferdinand Barbedienne, incarne une œuvre d’une beauté saisissante et d’une signification profonde. Créé entre les années 1833 et 1891, ce chef-d’œuvre artistique a été façonné dans un bronze massif à la patine délicatement chocolatée, lui conférant une aura de noblesse et de durabilité.
Henri Chapu, artiste français de renom du XIXe siècle, est réputé pour son style néo-classique et sa capacité à capturer la grâce et l’émotion dans ses œuvres. Son partenariat avec Ferdinand Barbedienne, un fondeur de bronze célèbre pour son savoir-faire exceptionnel, a donné naissance à des pièces d’art d’une qualité et d’une élégance incomparables.
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Magnifique lustre à corbeille et pendeloques à Goutte d’eau de couleur
Le lustre corbeille ancien est bien plus qu’un simple luminaire. C’est une pièce de caractère qui allie l’opulence du passé avec l’éclat intemporel de l’élégance. Avec ses 12 points de lumière et ses 6 portes-bougies, il offre une luminosité somptueuse tout en diffusant une ambiance chaleureuse et accueillante dans n’importe quel espace qu’il occupe.
La monture en bronze et laiton confère à ce lustre une solidité et une noblesse indéniables. Ces matériaux précieux ont traversé les époques, témoignant de la qualité artisanale et de la durabilité des pièces d’antan. Ils ajoutent également une touche de raffinement et de sophistication à l’ensemble, rappelant les époques où le luxe était synonyme de magnificence.
Orné de pendeloques ou pampilles à goutte d’eau de couleur, ce lustre ne se contente pas d’éclairer l’espace, il le transforme en un spectacle visuel captivant. Les pendeloques, avec leurs reflets chatoyants, captent la lumière et la diffusent en mille éclats scintillants, créant ainsi une atmosphère enchanteresse et féérique. Chaque goutte d’eau semble suspendue dans l’air, ajoutant une dimension de mystère et de magie à l’ensemble.
Les rubans de perles qui finalisent l’élégance de ce lustre ajoutent une touche de délicatesse et de finesse. Leur disposition soigneusement pensée et leur brillance subtile viennent parfaire l’ensemble, créant un contraste harmonieux avec la robustesse de la monture en bronze et laiton. Ces détails délicats témoignent du souci du détail et du savoir-faire artisanal qui ont présidé à la création de cette pièce d’exception.
En termes de dimensions, ce lustre corbeille ancien affiche des proportions imposantes qui en font un véritable point focal dans n’importe quelle pièce.
Avec une hauteur de 90 cm et un diamètre de 52 cm, il occupe l’espace avec prestance et élégance, sans pour autant l’écraser. Sa présence imposante est équilibrée par sa grâce et sa beauté intemporelle, en faisant une pièce maîtresse dans la décoration d’intérieur.
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paire de statuettes ancienne en biscuit de porcelaine polychrome, fin XIXe
350,00 €Les statuettes anciennes en biscuit de porcelaine polychrome, représentant un couple de paysans, sont des trésors de l’art décoratif du XIXe siècle. Leur taille imposante et leur polychromie bien conservée témoignent de leur qualité et de leur importance historique. Ces pièces captivantes sont des témoins précieux de l’artisanat de l’époque, offrant un aperçu fascinant de la vie quotidienne et des valeurs esthétiques de cette période.
La finesse et le détail des sculptures révèlent l’habileté remarquable des artisans qui les ont créées. Chaque pli de vêtement, chaque expression faciale, est méticuleusement travaillé pour capturer l’essence même de la vie rurale. Ces statuettes ne sont pas seulement des objets décoratifs, mais aussi des récits visuels qui transportent les spectateurs dans un monde révolu.
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Grand vase ancien en biscuit de porcelaine et monture en bronze doré
Le vase fuseau en biscuit de porcelaine que je m’apprête à vous présenter est une pièce d’une élégance saisissante, témoignant du raffinement artistique et de l’artisanat exquis de la fin du XIXe au début du XXe siècle. Avec une hauteur imposante de 51 cm, il occupe majestueusement l’espace, captant instantanément l’attention de quiconque pose les yeux sur lui.
Le décor de ce vase est tout simplement enchanteur. Sur sa surface, une scène en relief attire le regard : une femme, représentée avec une grâce intemporelle, est assise sur un char tiré par des puttis ou angelots. Ces derniers, joufflus et ailés, ajoutent une touche de fantaisie à la composition, évoquant une ambiance à la fois mythologique et céleste. Chaque détail est minutieusement sculpté dans la porcelaine, témoignant du savoir-faire exceptionnel des artisans qui ont donné vie à cette œuvre.
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Nicolas François CHIFFLART ( 1925-1901 ) Huile sur panneau, sous bois et lac
Le tableau que vous décrivez, œuvre de Nicolas François Chifflard, semble capturer la beauté sereine d’un sous-bois en bordure d’un lac animé par la présence gracieuse de voiliers. Cette pièce d’art, réalisée à l’aide de la technique de l’huile sur panneau, évoque un sentiment de tranquillité et d’harmonie avec la nature.
Dès le premier regard, l’observateur est transporté dans un paysage idyllique où les couleurs et les formes se mêlent pour créer une scène envoûtante. Les tons verdoyants du sous-bois contrastent avec les reflets chatoyants du lac, tandis que les voiliers dansent gracieusement sur les eaux calmes, ajoutant une touche de mouvement et de grâce à la composition.
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Magnifique paire de bougeoirs avec personnages et fleurs en porcelaine de Paris XIXe
Les bougeoirs en porcelaine de Paris du XIXe siècle sont une manifestation magnifique de l’artisanat et du design de cette époque. Ces pièces exquises, ornées de décors évoquant le style du XVIIIe siècle, captivent par leur élégance intemporelle et leur raffinement.
Fabriqués en porcelaine de Paris, ces bougeoirs incarnent l’excellence et le savoir-faire des artisans de l’époque. Chaque détail est méticuleusement travaillé, des personnages représentés dans le style du XVIIIe siècle à la signature distinctive de Paris, qui atteste de leur origine et de leur qualité.
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Grande sculpture ancienne en régule signé Auguste Moreau.
La majesté figée dans le temps, l’élégance immortalisée dans le bronze – voici la Grande Statue de l’Ange Cupidon, une œuvre captivante du célèbre sculpteur Auguste Moreau. Cette pièce exquise, sculptée dans du régule avec une patine brune, incarne la quintessence de la beauté et de la grâce dans l’art sculptural.
Au premier regard, l’Ange Cupidon se révèle comme un jeune homme d’une grande prestance, ses ailes déployées lui conférant une aura de puissance et de liberté. Il tient dans sa main une flèche, prête à être décochée vers les cœurs des amoureux. Cette posture saisissante, figée pour l’éternité, capture l’instant précis où l’amour prend son envol, où les destins se croisent et où les passions s’enflamment.
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Grand coucou en bois sculpté de la forêt noire fin XIXe 94 cm
Le coucou en bois sculpté de la Forêt Noire, datant de la fin du XIXe siècle, est bien plus qu’une simple horloge ; c’est un symbole vivant de l’artisanat traditionnel et de l’ingéniosité des horlogers de cette région emblématique d’Allemagne. Mesurant une impressionnante hauteur de 94 cm, cette pièce remarquable est un témoignage de l’excellence et du dévouement des artisans qui l’ont créée.
L’horloge coucou de la Forêt Noire est un véritable trésor de l’histoire horlogère. Son mécanisme complexe, minutieusement conçu et fabriqué à la main, reflète l’expertise technique de l’époque. Chaque composant, des engrenages aux poids, est méticuleusement ajusté pour assurer un fonctionnement fluide et précis. Malgré son âge, cette horloge continue de fonctionner parfaitement, témoignant de la qualité durable de son artisanat.
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Tabouret bidet ancien, début du XIXe siècle, forme de livres
650,00 €Le tabouret bidet ancien, datant du début du XIXe siècle, est une pièce fascinante qui offre un aperçu intrigant de l’artisanat et du design de cette époque. Fabriqué à partir de bois mouluré, de carton et de papier marouflé, cet objet unique incarne à la fois l’esthétique et la fonctionnalité caractéristiques de son temps.
Au premier regard, on est immédiatement frappé par son allure élégante et son décor simulé de livres. Les détails minutieux et la finesse du travail sur le bois mouluré témoignent du savoir-faire artisanal qui a été investi dans sa création. Chaque élément semble avoir été soigneusement pensé et exécuté pour créer une harmonie visuelle remarquable.
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Ancien urinoir en verre Soufflé, époque XIXe
40,00 €Lorsqu’on évoque l’ancien urinoir en verre soufflé datant du XIXe siècle, on est instantanément transporté dans un univers où l’art de la médecine et le raffinement de l’artisanat se rencontrent. Cet objet, autrefois indispensable au confort et à la dignité des malades confinés à leur lit, revêt aujourd’hui une tout autre signification, devenant une pièce de collection prisée et même un élément de décoration recherché.
Au XIXe siècle, l’urinoir en verre soufflé représentait bien plus qu’un simple instrument médical. C’était un symbole de soutien et de soin apporté aux personnes alitées, incapables de se déplacer jusqu’aux toilettes.
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Très beau et ancien grand verre gobelet en cristal taillé XIXe siècle
60,00 €Ce superbe objet, ce verre en cristal taillé et ciselé, incarne l’élégance intemporelle et la sophistication artisanale qui caractérisent les pièces de haute qualité de la fin du XIXe siècle. Avec sa silhouette conique majestueuse et sa taille imposante, il se présente comme une véritable œuvre d’art fonctionnelle.
Au premier regard, on est immédiatement captivé par sa beauté éclatante. La transparence cristalline de ce gobelet révèle la précision de sa fabrication et la pureté de son matériau. Chaque rayon de lumière qui traverse ses parois révèle un jeu de reflets étincelants, témoignant du savoir-faire exceptionnel de l’artisan qui l’a façonné
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Très beau et grand verre ancien en cristal, taillé a côtes plates
60,00 €Ce verre en cristal taillé est bien plus qu’un simple récipient : c’est une œuvre d’art qui incarne l’élégance intemporelle et le raffinement artisanal. Sa forme ballon évoque un style classique et sophistiqué, caractéristique des pièces produites à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, une période où l’artisanat était à son apogée.
Dès le premier regard, on est captivé par sa beauté. Chaque facette de ce verre semble refléter la lumière d’une manière unique, mettant en valeur la délicatesse de ses contours taillés à la perfection. Son pied, taillé en huit côtes plates, ajoute une dimension supplémentaire à sa splendeur. Cette technique de taille complexe témoigne du savoir-faire des artisans qui l’ont façonné, leur maîtrise des techniques traditionnelles du travail du cristal.
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salon 5 pièces, époque Charles X, époque XIXe siècle, palissandre & citronnier
Entrez dans l’élégance intemporelle d’un salon remarquable, où chaque pièce raconte une histoire de style et d’époque. Ce somptueux ensemble de trois pièces, dans le magnifique style Charles X, évoque l’artisanat raffiné et le luxe discret qui caractérisent cette période de l’histoire du mobilier français.
Le salon, réalisé en palissandre marqueté de filets et de rinceaux de citronnier, est une véritable œuvre d’art. Chaque détail, de la conception des meubles à la finesse des motifs incrustés, témoigne du savoir-faire exceptionnel des artisans du XIXe siècle. Le mariage harmonieux du palissandre et du citronnier crée une palette de couleurs chaleureuse et subtile, offrant un contraste élégant et une richesse visuelle.
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Grande sculpture en bronze « Mignon » d’Eugène Aizelin, 1880
Eugène Antoine Aizelin (1821-1902) était un sculpteur français dont l’œuvre a laissé une marque significative dans le monde de l’art du XIXe siècle. Né à Paris, Aizelin a développé un talent précoce pour la sculpture et a étudié à l’École des Beaux-Arts de Paris, où il a été élève d’Auguste Dumont et de Jules Ramey. Son style a été influencé par le mouvement néo-classique, mais il a également incorporé des éléments du réalisme dans ses œuvres, les dotant d’une certaine vivacité et d’une sensibilité particulière.
L’une de ses grandes sculptures en bronze les plus remarquables est « Mignon », qui représente une paysanne assise se reposant avec sa petite guitare. Cette pièce captivante capture un moment d’intimité et de tranquillité, où la figure féminine semble être plongée dans ses pensées tout en prenant un moment de repos. La posture délicate de la paysanne et la présence de la guitare évoquent un sentiment de grâce et de douceur.
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Sculpture française en bronze d’Eugène Aizelin représentant Psyché par la fonderie F. Barbedienne
Eugène Aizelin, un sculpteur français né en 1821 et décédé en 1902, demeure une figure emblématique de l’art sculptural du XIXe siècle. Son œuvre témoigne d’une maîtrise exceptionnelle de la forme, de la composition et de l’expression, faisant de lui l’un des artistes les plus remarquables de son époque.
La sculpture antique en bronze « Psyché », réalisée par Aizelin, incarne à elle seule l’excellence de son talent. Réalisée en 1863, cette pièce magnifique capture l’essence même de la mythologie grecque à travers la figure mythique de Psyché, une jeune femme d’une beauté incomparable.
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Encensoir – Hebreux dans la fournaise – Brûle encens- Orfèvrerie médiévale – Haute époque
Cet encensoir en bronze doré est véritablement une pièce remarquable, à la fois par sa beauté et son histoire fascinante. Il incarne l’élégance et la sophistication de l’art néo-romain, tout en portant en lui des liens avec une époque ancienne et des artisans légendaires.
D’une hauteur imposante de 20 centimètres et d’une largeur équivalente pour son assiette, cet encensoir est une reproduction fidèle de l’original conservé au musée des beaux-arts de Lille. Son design évoque les riches traditions artistiques de l’Antiquité romaine, mais ce qui rend cet objet encore plus spécial, c’est son histoire et son attribution.
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François-Désiré Froment-Meurice, joli coupe papier en argent, Art nouveau
François-Désiré Froment-Meurice était un maître orfèvre français du XIXe siècle, dont le nom est intimement lié à l’Art nouveau et à la création de magnifiques pièces en argent, telles que le joli coupe-papier que vous décrivez. Né à Paris en 1837, Froment-Meurice était le fils de l’orfèvre François-Desire Froment, et il a hérité de son père un talent inné pour la création d’œuvres d’art exceptionnelles.
Le coupe-papier en argent que vous mentionnez incarne parfaitement le style de Froment-Meurice et l’esthétique de l’Art nouveau. Mesurant 20,5 cm de longueur, cette pièce remarquable capture l’essence même de cette période artistique avec son motif délicat représentant une grenouille reposant sur un nénuphar. L’Art nouveau, caractérisé par ses lignes organiques et ses motifs inspirés par la nature, trouve une expression éclatante dans ce coupe-papier où la grenouille semble figée dans un mouvement gracieux, et le nénuphar est dépeint avec une attention méticuleuse aux détails.
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ÉCRITOIRE DE BUREAU EN ARGENT MASSIF ET FAIENCE, XIXe
Laissez-moi vous transporter à une époque d’élégance et de raffinement, au cœur du XIXe siècle, où chaque objet était un symbole de statut et de sophistication. Imaginez-vous dans un salon luxueusement décoré, où trône un magnifique ensemble d’écriture en argent massif, témoignant du savoir-faire artisanal incomparable de l’époque, tout en évoquant les voyages et les échanges culturels internationaux qui caractérisaient cette période.
Cet ensemble, d’une beauté saisissante, se compose de deux encriers et d’un porte bougie, tous réalisés avec le précieux métal qu’est l’argent. Dès le premier regard, on est captivé par la finesse des détails, par la délicatesse des motifs ciselés qui ornent chaque pièce. L’argent, symbole de richesse et de sophistication, reflète la lumière ambiante, ajoutant une touche d’éclat à l’environnement.
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Magnifique buffet deux corps normand de mariage, Fécampoise, dit d’armateur !
L’armoire de mariage de Fécamp, en Normandie, est bien plus qu’un simple meuble en chêne sculpté. C’est une pièce d’histoire, de prestige et de splendeur qui incarne toute l’élégance et le raffinement de son époque. Construite avec du chêne blond, elle se distingue par sa magnificence et ses détails exquis, dont les trois roses sculptées qui lui confèrent une aura particulière.
Dès le premier regard, cette armoire transporte ses spectateurs dans un monde de luxe et de sophistication. Chaque courbe, chaque motif sculpté révèle l’habileté et le savoir-faire des artisans qui l’ont façonnée. Mais c’est surtout la symbolique des trois roses qui intrigue et fascine. Ces fleurs, bien plus que de simples ornements, étaient le signe distinctif de la bourgeoisie importante à laquelle appartenait son propriétaire. Elles représentent la prospérité, le statut social et le goût pour le raffinement qui caractérisaient l’époque
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Louis Vidal (l’aveugle) dit Natavel, Grande sculpture bronze d’un taureau, 50 x 32 x 18
Superbe et grande sculpture en bronze massif représentant un taureau.
Cette sculpture de Louis Vidal est très connue, car elle a été réalisé par l’artiste étant aveugle.
Elle a une très belle patine, elle est en bon état
Dimensions : Longueur 50 cm, Largeur 18 cm et Hauteur 32 cm
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Vitrine de style Louis XVI en marqueterie de bois de placage, fin XIXe
880,00 €Le prix initial était : 880,00 €.750,00 €Le prix actuel est : 750,00 €.La description de cette magnifique vitrine de style Louis XVI en marqueterie de bois de placage évoque une pièce d’une grande élégance et d’une certaine époque. Remontant à la fin du XIXe siècle, elle témoigne du raffinement et du savoir-faire artisanal caractéristiques de cette période.
Dès le premier regard, cette vitrine séduit par sa structure élaborée. Composée de deux vitres latérales et d’une porte frontale, toutes en verre, elle offre une vue dégagée sur les trésors qu’elle renferme tout en préservant leur intégrité. La finesse de la marqueterie de bois de placage, caractéristique du style Louis XVI, confère à cette pièce un charme intemporel et une sophistication certaine.
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Guéridon style baroque en bois sculpté, style vénitien, XXe
450,00 €Le guéridon ancien en bois sculpté que je vous présente est un véritable chef-d’œuvre de l’artisanat de la fin du XIXe au début du XXe siècle. Ce magnifique meuble incarne à la fois l’élégance du style baroque italien et la finesse de la sculpture sur bois de l’époque.
Au centre de l’attention se trouve le plateau, soutenu par la figure majestueuse d’un Triton. Cette créature mythologique, mi-homme mi- poisson, est représentée en ronde-bosse avec une précision remarquable. Ce Triton, d’une allure presque céleste, évoque l’esthétique divine de la Renaissance italienne. Sa présence confère une aura de mystère et de majesté au guéridon.
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Vitrine XIXe siècle en bois doré et fond de glace
La majesté du passé se révèle dans cette superbe vitrine en bois doré, véritable trésor d’une époque révolue, ancrée au XIXe siècle. Imprégnée de l’artisanat raffiné de cette période emblématique, cette pièce offre une fusion sublime entre l’élégance intemporelle et la fonctionnalité pratique.
Lorsque le regard se pose sur cette vitrine, l’imposante stature de 105 centimètres de hauteur, 100 centimètres de largeur et 24 centimètres de profondeur évoque instantanément l’impression de grandeur et de prestige. Chaque courbe, chaque détail minutieux du bois doré témoigne du savoir-faire méticuleux des artisans qui l’ont façonnée il y a plus d’un siècle.
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Buffet deux corps de mariage Normand XIXe siècle
Le buffet deux corps de mariage Normand est une pièce d’une beauté intemporelle, incarnant l’artisanat et le raffinement du XIXe siècle. C’est bien plus qu’un simple meuble, c’est un symbole de tradition et d’histoire, parfait pour ajouter une touche de caractère et d’élégance à n’importe quelle pièce.
Ce buffet, tout d’abord, se distingue par son impressionnante taille. Avec une hauteur de 244 cm, une largeur de 144 cm et une profondeur de 62 cm, il occupe une place majestueuse dans n’importe quel intérieur. Ses dimensions généreuses en font un élément central, attirant immédiatement le regard et captivant l’attention par sa présence imposante.
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Edmund Mahlknecht (1820-1903 ) tableau huile sur toile représentant des vaches, brebis et mouton
6500,00 €Le tableau que je vous présente est une œuvre d’art d’une valeur et d’une beauté exceptionnelles, réalisée par le célèbre peintre autrichien Edmund Mahlknecht. Ce peintre, renommé pour son talent et sa maîtrise de la technique, a créé une scène saisissante qui capture la vie rurale avec une précision et une sensibilité remarquables.
Cette peinture, exécutée à l’huile sur toile, nous transporte dans un paysage bucolique où la nature est magnifiée. Au centre de la composition, nous découvrons un fermier, figurant en taille réelle, qui se tient debout dans une prairie verdoyante. Ses vaches, brebis et mouton paissent paisiblement à ses côtés, créant une atmosphère de quiétude et de sérénité. Le choix des couleurs et des nuances, typique du style de Mahlknecht, confère à la scène une luminosité envoûtante, où chaque détail est sublimé par la lumière du jour.
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joli pastel ancien, portrait d’une jeune et belle femme
450,00 €Le tableau que je vais vous présenter est une œuvre remarquable à bien des égards. Il s’agit d’un portrait d’une jeune femme d’une beauté saisissante, réalisé avec la technique délicate du pastel.
Le pastel est une technique picturale qui remonte à des siècles, mais qui a atteint son apogée au cours des siècles derniers. Il consiste en l’utilisation de bâtonnets de couleur composés de pigments, d’une charge et d’un liant. Cette technique offre une palette de couleurs riche et vibrante, ainsi qu’une texture veloutée et douce qui confère une profondeur et une luminosité particulières aux œuvres.
La réalisation d’un portrait au pastel est un défi artistique en soi. La manipulation précise des bâtonnets pour capturer les nuances subtiles de la peau, des cheveux et des traits du visage nécessite une grande habileté et une attention méticuleuse aux détails. Chaque coup de pastel est stratégiquement placé pour exprimer la personnalité et la beauté du sujet.
Ce portrait en particulier dépeint une jeune femme dont la grâce et la délicatesse sont capturées avec une étonnante précision. Son visage est empreint d’une douceur envoûtante, ses yeux reflètent une profondeur d’âme et ses traits sont modelés avec une finesse remarquable. Chaque nuance de couleur est parfaitement équilibrée pour créer un effet de réalisme saisissant.
Les dimensions du tableau, avec une largeur de 36.5 cm et une hauteur de 44 cm, ajoutent à son charme. Ces proportions permettent une appréciation détaillée de chaque aspect du portrait, des plus grands traits aux plus infimes détails, tout en conservant une harmonie visuelle.
En contemplant cette œuvre, on ne peut s’empêcher d’être captivé par la beauté intemporelle de la jeune femme et par le talent exceptionnel de l’artiste qui a su la capturer avec tant de finesse. Ce portrait en pastel est bien plus qu’une simple représentation visuelle ; c’est une exploration de la beauté et de l’émotion humaine, figées dans le temps pour l’éternité.
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Peinture ancienne, époque fin XIXe, scène érotique
250,00 €Laissez-moi vous présenter une ancienne peinture datant de la fin du XIXe siècle, une époque où l’art était souvent un moyen d’explorer des thèmes sociaux et émotionnels de manière subtile, parfois même provocante. Cette pièce particulière offre une représentation légèrement érotique, un sujet qui a toujours fasciné les artistes à travers les âges, mais qui était souvent traité avec une certaine retenue à cette époque.
La peinture capture une scène qui semble jouer sur les frontières du désir et de l’intimité, avec une sensibilité et une esthétique qui lui sont propres. Les personnages, bien qu’ils puissent sembler conventionnels à première vue, sont présentés dans des poses suggestives et des expressions qui évoquent une certaine tension sexuelle ou émotionnelle. L’artiste semble avoir capturé un moment intime et privé, peut-être même un instant fugace de passion ou de désir.
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Importante commode coiffeuse ancienne de style Louis XV en placage de noyer
La commode de type coiffeuse que je m’apprête à vous présenter incarne à la fois la grandeur du style Louis XV et l’élégance intemporelle du mobilier d’époque. Datant de circa 1900, cette pièce remarquable en placage de noyer a su traverser les décennies avec une prestance et un charme qui lui sont propres.
Dès le premier regard, on est captivé par ses piétements gracieux en forme de coquilles, caractéristiques du style Louis XV, qui confèrent à cette commode une allure à la fois majestueuse et délicate. Avec une largeur de 146 cm, une profondeur de 64 cm et une hauteur d’environ 205 cm, elle impose sa présence avec une élégance imposante.
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Important cache pot Jean Bénard pour la Manufacture MLA Paris ? dans le goût de Théodore Deck
Le magnifique cache-pot présenté incarne l’élégance et le raffinement de l’artisanat français, très probablement conçu par Jean Bénard pour la célèbre Manufacture de Porcelaine de Limoges, MLA Paris. Avec ses dimensions imposantes et ses détails exquis, il capte l’essence même du talent et de la créativité de l’époque.
Fabriqué en porcelaine émaillée, ce cache-pot se distingue par son harmonieux mélange de couleurs, avec des teintes jaunes et bleues qui s’entrelacent pour former un décor enchanteur. Son motif, mettant en scène une faune et une flore délicatement stylisées, évoque une nature luxuriante et épanouie.
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Chambre à coucher de style Louis XV en placage de noyer, vers 1900
Entrez dans l’ambiance intemporelle d’une chambre à coucher d’époque, datant du début du XXe siècle, où le charme du passé se mêle à la qualité intemporelle du mobilier en placage de noyer. Au cœur de cette pièce, trône majestueusement une armoire imposante, véritable symbole de l’artisanat d’antan.
L’armoire, véritable pièce maîtresse de cet ensemble, s’ouvre avec grâce par le biais de deux portes ornées de miroirs, ajoutant une touche d’élégance et de luminosité à l’espace. Mais elle cache également un secret : un tiroir dissimulé dans sa base, révélant la minutie et l’ingéniosité des artisans qui l’ont conçue. À l’intérieur, trois étagères simples et une étagère dotée d’un tiroir offrent un espace de rangement généreux pour les précieux trésors de son propriétaire.
Lit :Literie en 130 x 190 cm
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Belle jardinière ou cache pot ancien en porcelaine Allemande, décor d’anges
La jardinière que je vais vous présenter est une pièce d’une élégance intemporelle, une merveille de porcelaine d’origine allemande datant de la première moitié du XXe siècle. Au premier regard, elle capture l’imagination avec un décor exquis mettant en scène trois anges aux ailes déployées, semblant presque flotter au-dessus de la table. Ces anges portent un cache-pot orné, comme s’ils présentaient fièrement leur précieuse cargaison florale.
Ce cache-pot lui-même est une œuvre d’art miniature, avec des fleurs en trompe-l’œil habilement peintes à la main, donnant l’illusion de véritables pétales et feuilles émergeant de la porcelaine. Chaque détail, chaque nuance de couleur, semble avoir été minutieusement pensé et exécuté pour créer un effet de réalisme saisissant. Même à l’intérieur du pot, le décor floral se poursuit, ajoutant une touche de beauté à chaque angle de cette pièce.
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Tahoser, harpiste égyptienne – Georges Charles Coudray (1862-1944)
La sculpture en bronze intitulée « Tahoser », représentant un harpiste égyptien, est une œuvre magnifique et significative datant du XIXe siècle, réalisée par l’artiste Georges Charles Coudray (1862-1944). Coudray, né à Paris le 31 janvier 1862 et décédé dans la même ville le 6 décembre 1944, était un sculpteur et médaillé français renommé de son époque. Son œuvre « Tahoser » témoigne de son talent et de sa maîtrise dans le domaine de la sculpture.
Cette sculpture en bronze a été produite par la prestigieuse « Société des bronzes de Paris », ce qui garantit sa qualité et son authenticité. La signature et le tampon de la société attestent de l’origine et de l’authenticité de l’œuvre, ajoutant une valeur supplémentaire à cette pièce d’art exceptionnelle.
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Tahoser, harpiste égyptienne – Georges Charles Coudray (1862-1944)
La sculpture en bronze intitulée « Tahoser », représentant un harpiste égyptien, est une pièce remarquable qui témoigne du talent artistique de Georges Charles Coudray, un sculpteur français du XIXe siècle. Né à Paris le 31 janvier 1862 et décédé dans la même ville le 6 décembre 1944, Coudray a laissé un héritage artistique significatif à travers ses œuvres, dont cette sculpture en bronze qui demeure une création emblématique de son époque.
La sculpture capture la figure gracieuse et majestueuse d’un harpiste égyptien, probablement inspirée par l’art et la culture de l’Égypte ancienne qui ont fasciné de nombreux artistes à cette période. « Tahoser » incarne une harmonie entre la précision anatomique et la fluidité des lignes, démontrant le savoir-faire exceptionnel de Coudray dans la représentation sculpturale. La posture du harpiste, captée dans un moment d’intense concentration, évoque la passion et le dévouement de l’artiste pour son art.
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Très belle et ancienne colonne en marbre de couleur vert, datant du XIXe siècle
1400,00 €La description que vous avez fournie dépeint une pièce remarquable, à la fois esthétiquement et historiquement significative. Une colonne de marbre datant de la première moitié du XIXe siècle offre un aperçu fascinant de l’artisanat et du goût de l’époque.
À première vue, son apparence est sûrement impressionnante. Le marbre vert moucheté, délicatement travaillé pour créer une texture visuellement captivante, est le témoignage d’un savoir-faire artisanal raffiné. La présence d’un décor de guirlande en façade ajoute une touche de grâce et de délicatesse à cette pièce déjà imposante. La combinaison de ces éléments confère à la colonne une élégance intemporelle qui la distingue indéniablement.
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Rare sculpture de marbre réalisé et signé par François Mathieu Mourgues (1884-1954)
La sculpture en marbre de François Mourgues que vous avez décrite semble être une pièce remarquable à bien des égards. Né à Marseille en 1884 et décédé à Paris en 1954, Mourgues était un sculpteur et médailleur français dont le travail a laissé une empreinte significative dans le domaine artistique.
La représentation de deux chats se câlinant dans cette sculpture en marbre témoigne de la sensibilité artistique de Mourgues. Les chats, avec leur élégance naturelle et leur grâce, sont des sujets populaires dans l’art depuis des siècles, et Mourgues les a capturés dans un moment d’intimité qui évoque une tendresse universelle.
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Cartel pendule de style Louis XV en écaille de tortue XIXe siècle
La description que vous avez donnée évoque une pièce d’une grande élégance et d’une grande valeur historique. Une garniture de cheminée de style Louis XV, avec un cartel et deux candélabres, offre une vision du raffinement artistique de l’époque.
Le style Louis XV, caractérisé par ses courbes gracieuses et ses ornements délicats, était une période de grande créativité dans l’art et l’artisanat. Cette garniture semble incarner parfaitement ces caractéristiques, avec ses ornements en bronze doré et son utilisation de l’écaille de tortue, un matériau qui était très prisé à l’époque pour sa beauté et sa rareté.
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Adolphe Joseph Thomas Monticelli ( 18824-1886 ) Peinture huile sur panneau acajou, scène de dames
Le tableau que je suis sur le point de vous présenter est une magnifique œuvre attribuée à Adolphe Joseph Thomas Monticelli, un artiste dont le nom résonne dans les cercles artistiques du 19e siècle. Né en 1824 et décédé en 1886, Monticelli était réputé pour sa maîtrise de la peinture à l’huile et son style expressif et coloré.
Cette pièce captivante dépeint une scène charmante mettant en scène cinq dames en train de discuter dans un parc luxuriant. L’atmosphère tranquille du parc, enveloppée de verdure et de lumière, contraste avec l’animation des conversations entre les femmes, capturant ainsi un moment de vie sociale et d’échange.
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Jean Baptiste Louis GUY ? Huile sur panneau, combat de deux bouledogues
950,00 €Le tableau que je vais vous présenter est une véritable pièce d’art ancien, capturant un moment intense et dynamique : le combat de deux bouledogues, une scène qui résonne avec l’authenticité des époques révolues.
Dès le premier regard, l’œil est captivé par la vivacité des chiens représentés. Leur posture agressive et leurs expressions féroces témoignent de l’intensité du conflit qui les oppose. Chaque muscle tendu, chaque dent découvrant, le détail de la représentation est saisissant, témoignant d’un talent artistique indéniable.
Le tableau que je vais vous présenter est une véritable pièce d’art ancien, capturant un moment intense et dynamique : le combat de deux bouledogues, une scène qui résonne avec l’authenticité des époques révolues.
Dès le premier regard, l’œil est captivé par la vivacité des chiens représentés. Leur posture agressive et leurs expressions féroces témoignent de l’intensité du conflit qui les oppose. Chaque muscle tendu, chaque dent découvrant, le détail de la représentation est saisissant, témoignant d’un talent artistique indéniable.
Cadre : Hauteur 52 cm, Largeur 60.5 cm, Profondeur 6 cm
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Sculpture en bronze, pyrogène, moine, tonneau, XIXe
350,00 €Ce pyrogène en bronze massif est une pièce d’une grande beauté et d’une grande valeur historique. Cette sculpture représente avec finesse et détails un moine, symbole de sagesse et de tranquillité, en train de savourer un verre de vin directement de la bouteille. La scène dépeinte est empreinte de calme et de sérénité, le moine semblant trouver une forme de réconfort dans ce moment de dégustation.
La posture du moine est minutieusement travaillée : le panier sous le bras suggère un voyage ou une quête, le bougeoir dans une main évoque une ambiance chaleureuse et intime, tandis que le tire-bouchon reposant près de ses pieds évoque le plaisir de la dégustation du vin. À ses côtés, un tonneau, qui joue un double rôle : celui de contenir les allumettes, avec un système ingénieux de cordage permettant de les gratter pour les allumer.
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Très belle et grande boîte ancienne, en marqueterie de rose, décor dites à la Reine
La beauté intemporelle d’une ancienne boîte en marqueterie de rose s’épanouit dans les détails minutieux de son artisanat. Chaque élément, soigneusement façonné, raconte une histoire de savoir-faire et d’élégance.
Lorsque vos yeux se posent sur cette merveille, ils sont immédiatement attirés par l’éclat du bronze ornant ses contours. Chaque motif, chaque courbe semble avoir été conçu avec une précision exquise, ajoutant une touche de sophistication à l’ensemble. Le dessus de la boîte, délicieusement garni de Marie, est une ode à la délicatesse, chaque détail en filet doré et incrustation de nacre témoignant du talent de l’artisan qui l’a créée.
Il y a un petit manque de rond de perle sur un entourage sur la partie supérieur ( voir photo )
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Très belle boîte en marqueterie de style boule, boîte à thé estampillé de Théodore Année
La boîte en marqueterie de style boule est une pièce d’une beauté intemporelle, capturant l’essence même de l’artisanat traditionnel. Chaque détail révèle l’habileté et la précision de l’artisan qui l’a façonnée, faisant de cette boîte à thé estampillée de Théodore Année un véritable trésor.
Dès le premier regard, on est frappé par l’élégance de cette boîte. Son extérieur est orné d’une marqueterie complexe, où des motifs délicats se mêlent dans un jeu harmonieux de couleurs et de formes. Le style boule, caractérisé par l’utilisation de boules de bois incrustées pour former des motifs géométriques, confère à la boîte une esthétique raffinée et sophistiquée.
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Beau lustre à pampilles de cristal taillées style Baccarat XIXe
1200,00 €Imposant et majestueux, ce lustre à pampilles de cristal est une véritable œuvre d’art lumineuse, captivant instantanément le regard par sa splendeur et son élégance intemporelle. Ornementé de cristaux scintillants et soutenu par une monture en laiton massif, ce lustre incarne le raffinement et le luxe caractéristiques du XIXe siècle.
Sa forme en cage lui confère une présence imposante et théâtrale, rappelant les lustres somptueux des palais et des demeures aristocratiques de l’époque. La combinaison du laiton massif et du cristal étincelant crée un contraste saisissant, ajoutant une touche de sophistication à tout intérieur.
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Très beau et ancien lustre à pampilles de fruits en verre de Murano
Le lustre que je m’apprête à présenter est bien plus qu’une simple source de lumière, c’est une pièce d’histoire imprégnée de l’artisanat raffiné et du savoir-faire traditionnel. Datant de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, ce lustre incarne l’élégance intemporelle et le charme du passé. Avec ses pampilles de verre exquisément confectionnées, il captive le regard et transporte l’observateur dans une époque révolue mais toujours magnifique.
Les pampilles, éléments essentiels de tout lustre digne de ce nom, sont ici d’une qualité exceptionnelle. Fabriquées à Murano, célèbre pour ses artisans verriers de renom, ces pampilles arborent des motifs délicats de fruits qui ajoutent une touche de délicatesse et de sophistication à l’ensemble. Chaque pampille semble être une œuvre d’art en soi, témoignant du talent et de la minutie des artisans qui les ont façonnées.
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Peinture du XIXe siècle, Fort ou Baie de Saint-Malo par temps d’orage
1450,00 €Imaginez-vous transporté au XIXe siècle, dans un petit atelier baigné de lumière tamisée par des volets mi-clos. Au centre, trône un tableau majestueux qui semble capturer l’essence même de l’océan en furie. C’est une œuvre d’art intemporelle, une fenêtre ouverte sur le passé, représentant deux voiliers luttant contre les éléments déchaînés de la baie de Saint-Malo.
La scène se déroule dans un tableau de dimensions généreuses, où chaque détail est soigneusement peint à l’huile sur une toile robuste. Les couleurs, initialement vibrantes, se fondent maintenant dans une palette de gris et de bleus sombres, évoquant la violence de la tempête qui gronde au loin. Les voiliers, jadis fiers et majestueux, sont désormais des silhouettes fantomatiques se découpant contre le ciel en colère.
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Sculpture de marbre représentant une main posé sur un oiseau
Jolie sculpture ancienne du XIXe siècle,
en marbre de carrare, représentant une main posé sur un oiseau.
C’est un très beau presse papier ancien, objet de vitrine.
Je signal malheureusement, une réparation ancienne de la tête de l’oiseau
Dimensions : Diamètre de la base de forme légèrement ovale 10.5 cm x 11.5 cm, et la hauteur 4.5 cm
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Tableau HST portrait d’une dame, époque XIXe siècle
La beauté intemporelle d’une peinture ancienne réside souvent dans sa capacité à capturer l’essence d’une époque révolue, à figer l’instant dans une étreinte immortelle. Tel est le cas de cette remarquable œuvre du XIXe siècle, une huile sur toile qui dépeint avec une finesse exquise le portrait d’une dame énigmatique.
Dès le premier regard, l’observateur est saisi par la qualité exceptionnelle de cette peinture. Les traits du visage sont rendus avec une précision remarquable, chaque détail contribuant à composer une figure à la fois élégante et mystérieuse. Les yeux, en particulier, semblent capter la lumière d’une manière qui confère à la toile une vie presque palpable.
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Édouard Français Millet de Marcilly (1839-1923), buste d’un magistrat en terre cuite
1250,00 €Le superbe buste d’un homme de loi en terre cuite de la fin du XIXe siècle, réalisé par Édouard Français Millet de Marcilly (1839-1923), est une pièce remarquable à plusieurs égards. D’une hauteur de 34 cm, cette œuvre captivante témoigne du talent et de la finesse artistique de son créateur, ainsi que de l’époque dans laquelle elle a été conçue.
Édouard Français Millet de Marcilly, artiste de renom, a laissé une empreinte indélébile dans le monde de la sculpture de la fin du XIXe siècle. Sa capacité à capturer la dignité et la gravité de ses sujets se reflète pleinement dans ce buste d’un homme de loi. Chaque détail, depuis les traits du visage jusqu’aux plis des vêtements, est exécuté avec une précision remarquable, démontrant un niveau de maîtrise artisanale et artistique remarquable.